Nous vivons décidemment une bien triste époque.

Avec la précarisation, la fermeture de nombreux commerces, bars et restaurants en tête ce sont des milliers de postes et d’emplois généralement partiels qui se sont envolés et qui, pourtant, permettaient par exemple à nos étudiants et étudiantes de financer leurs études supérieures qui sont de plus en plus coûteuses.

Avec le ralentissement économiques, les Restos du cœur sont de plus en plus sollicités pour apporter une aide alimentaire aussi bien vers les étudiants que les actifs plus ou moins jeunes et de moins en moins actifs faute de travail.

Voici un extrait de l’intervention sur France Inter du président des Restos du cœur.

Il faut nous assurer que personne ne manque de rien, et vu les milliards que nous dépensons actuellement, quelques centaines de millions d’euros pour remplir les gamelles ne seraient pas de trop.

Le gouvernement devrait donc intervenir pour soutenir de façon plus importante le tissu associatif qui vient en aide directe à la population.

Charles SANNAT

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