C’est une excellente nouvelle pour UBER, nettement moins bonne pour les taxis classiques qui sont, hélas je le crois – en particuliers pour ces malheureux endettés par l’achat de leur plaque –, condamnés si ce n’est par UBER dans les 5 ans sinon par les voitures automatiques dans 10 ans, ce qui condamnera UBER par la même occasion d’ailleurs.
Tous les chauffeurs se retrouveront donc amis… chez Pôle emploi !
D’ici-là, “dans une décision rendue publique ce 9 mars, le Conseil d’État a jugé qu’il était contraire au droit communautaire d’interdire, avant la réservation, la géolocalisation (localisation et disponibilité) des véhicules de transport avec chauffeur (laquelle permet aux utilisateurs de l’appli de “voir” les VTC disponibles à proximité).
Voilà de quoi déplaire aux taxis, une fois de plus.
Le Conseil d’État a en effet jugé contraire au droit européen d’interdire aux plateformes de type Uber d’informer leurs clients à la fois de la localisation et de la disponibilité des VTC (voitures de transport avec chauffeur), a annoncé la juridiction dans une décision publiée ce mercredi 9 mars”.
Voilà donc de quoi raviver la guerre autour de l’entreprise UBER.
Charles SANNAT