J’étais invité sur Ecorama pour parler de l’avenir du Bitcoin.
L’une des questions était qu’elle est le potentiel de hausse du Bictoin ?
En soi, ce potentiel est énorme.
Colossal, considérable, car comme je l’explique, nous avons de nouvelles générations avec de nouveaux usages qui poussent les vieilles générations dont je fais partie.
Le potentiel de nouveaux « entrants » sur ce marché des cryptos est donc monumental.
Il y aura donc des flux acheteurs.
L’essentiel du problème n’est pas là.
Fondamentalement les cryptos sont haussières, politiquement, les cryptos privées risquent d’être surtout interdites par les banques centrales qui ne laisseront pas le secteur privé s’arroger ce droit de battre monnaie.
C’est en ce sens, encore une fois, que le Bitcoin peut monter très très haut, et valoir pourtant 0 du jour au lendemain.
C’est donc un actif spéculatif, mais certainement pas ni une monnaie, ni un outil patrimonial.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Bonjour à Tous,
« C’est donc un actif spéculatif, mais certainement pas ni une monnaie, ni un outil patrimonial. »
De plus, ni sûr à 100% sur le plan sécurité informatique (cf articles de presse concernant le vol de 300 millions de dollars de Bitcoins par des hackers Nord-Coréens).
Le problème d’une crypto d’Etat, c’est qu’elle ne sera pas spéculative. L’avantage, c’est qu’il n’y aura ni super dépenses d’électricité, ni mineurs à payer. Ce ne sera ni plus, ni moins qu’un portefeuille électronique, ce que devait être le bitcoin à la base, pour pouvoir s’acheter des pizzas avec
Qui tient les rennes du bitcoin ?
Qui pourrait modifier le nombre de bitcoins en
circulation ?
Et si le Bitcoin devenait, progressivement, la future monnaie unique mondiale gérée par Google….!
Les GAFAM et les BATX peuvent-ils s’unir ?
Comment pourrait s’articuler le monde ?
Quelles seraient les phases transitoires ?
Comment interdire le bitcoin ça serait contre productif. Pour interdire il faudrait couper internet ou l’électricité.
Je comprend ton point de vue Charles , mais les cryptos ont etait creer par des anarchistes qui avaient penser a cette eventualiter , il existe des possibiliter techniques pour pallier a cette interdiction bien sur et la finance centraliser en n est une , les VPN , et les clees froide etc.. je pense que nous sommes dans un changement de systeme et il y auras de la resistance du vieux systeme pour ne pas etres remplacer …mais toutes resistance est unitile face a un tsunami …
« Ce n est pas une monnaie », l’or non plus.
« Il peut être interdit », oui, l’or peut être confisqué aussi. Complique dans les 2 cas tout de même.
Et il y a toujours eu un marché de l’or, il y aura toujours un marché pour le Bitcoin.
Ce n est pas un outil patrimonial, et ben si, comme l’or, à condition de diversifier bien évidemment.
Le BC repond à la même mefiance que l’or vis à vis des monnaies officielles, la securité en MOINS.
Bonjour à tous ,
voici la vidéo avec notre économiste préféré !
https://www.youtube.com/watch?v=pqh8S5LpK7A
Fabuleux, le Bitcoin et les cryptos, et les passions qu’elles déclenchent. Les crypto-monnaies ont prouvé qu’une devise, ou « étalon de valeur », pouvait se passer intégralement de la souveraineté de l’Etat – droit souverain et exclusif de « battre » monnaie – , et qu’il lui suffisait de gagner la confiance de ses utilisateurs pour, tout simplement, exister et fonctionner. C’est le paradigme dont les « classiques » et les nostalgiques de l’étalon-or, ne parviennent à se défaire, car c’est accepter que TOUTE MONNAIE ne soit qu’une représentation consensuelle, sans autre « légitimité » que la confiance que lui accorde la population. En revanche, cette confiance, dont jouissent encore les monnaies traditionnelles BIEN PLUS que les cryptos (j’y reviendrai en fin de note), et qui forme la base du succès des cryptos (en plus de l’engouement générationnel technologique, l’aspect « moderne », l’aspect « alternatif » antisystème, etc.…) est fondée sur des perceptions aussi fragiles que l’ancienne croyance que seul l’Etat était en mesure d’attribuer une valeur à sa monnaie en fonction de la richesse nationale. Par exemple, n’oublions pas que, encore maintenant, seuls les Etats peuvent déterminer quels moyens de paiements « ont cours », c’est à dire sont « legal tender », comprenez « ont prérogative légale d’effectuer/régler les échanges ». Donc oui, les cryptos sont encore soumises à la tolérance des Etats. Quid si la Chine, la Russie, les US ou la BCE déclaraient le bitcoin inéligible aux règlements? OU instituaient un régime fiscal particulier – et pénalisant – sur les cryptos?
En outre, comment avoir une confiance saine en une crypto, dont la création reste un techno-mystére, et dont l’existence est exclusivement une structure numérique, par définition altérable, hackable, falsifiable, sabotable, bref manipulable… et dont les timoniers restent anonymes – et pas la peine de me sermonner sur l’inviolabilité du blockchain, please – ? Comment ne pas s’étonner, et comment offrir une explication satisfaisante, devant une unité crypto capable d’augmenter son pouvoir d’achat de 100% en 2 semaines, puis d’en perdre 30% en 24h? Les adeptes des cryptos devraient se poser la question « quels sont les mécanismes en jeu pour voir de telles variations? » Bon, ils se la poseront peut-être le jour où les cryptos perdront 75% en 2 jours… pour peut-être remonter de 400%… Tout ce que je dis est qu’il est imbécile de disqualifier les cryptos comme une mode, ou une arnaque. Les cryptos sont pionnières dans une nouvelle façon de « stocker » la valeur, et de la préserver la manipulation « classique », c’est à dire debasement (or, argent), dévaluation, impression/QE/inflation… pour les plus courantes. En revanche, les cryptos ont encore à se trouver une structure institutionnelle légitime aux yeux des usagers (des populations) qui sera garante de la représentativité économique des dites cryptos (une monnaie n’est que le reflet de la richesse collective pour permettre les échanges, c’est sa fonction première et son essence), une structure numérique dont les caractéristiques (accès, vitesse, update/maintenance, surveillance) seront transparentes, connue de tous, et spécifiées contractuellement, et dont l’inviolabilité sera constamment préservée et gardée par… quoi que ce soit de légitime et de transparent. Il leur faudra enfin une stabilité et une accessibilité totale. Avec tout ça, ces monnaies-pionnières – et surtout le paradigme blockchain – nous ont ouvert un champ des possibles insoupçonnable il y a encore 10 ans, gagneront la confiance de tous, et deviendront mainstream. Pour le moment, elles n’en sont qu’au stade du prototype, phase II. La preuve? Essayez de dire à un salarié que son salaire sera versé en Bitcoin! Ou tentez d’évaluer votre bien immobilier en Bitcoin: bonne chance, car il faudra refaire l’évaluation tous les jours! Pourquoi? Parce que la volatilité extrême des cryptos est le symptôme de leur fragilité: les cryptos ont encore besoin du référentiel des monnaies classiques pour avoir une valeur pérenne, pour être véhicules patrimoniaux, et s’imposer comme étalon, car elles ne sont pas encore référence. Parce que le triptyque CONFIANCE – TRANSPARENCE – STABILITE INSTITUTIONNELLE n’est pas encore instauré. J’en veux pour preuve, dans un autre domaine, le toute nouvelle défiance qui affecte des géants de la communication tels que FaceBook ou Twitter face à la gestion de comptes (censure, fermetures de comptes) arbitraire et discrétionnaire dont fait preuve leur direction. Tant qu’aucun mécanisme n’en garantit la stabilité, ni qu’aucune organisation transparente (qui peut d’ailleurs s’affranchir de l’Etat et prendre la forme d’un société privée, ou d’une « association », avec des statuts et une Direction connue et responsable juridiquement) et légitimement reconnue n’en garantira la création/allocation, les crytpos resteront un prototype. Il y a encore du chemin, mais c’est la direction la plus passionnante depuis l’avènement de l’Internet. En attendant, amis des cryptos, accrochez vos ceintures car c’est rock n’ roll. Amitiés a tous, Jean.
Bonjour,
La banque centrale du Kenya à décidé hier de « changer pour le Bitcoin »
L’idée selon laquelle les États sont seuls à avoir le droit de frapper monnaie est révolue.
Les banques ont toutes fait faillite en 2008 mais ont les a gardées en vie en les « nationalisant » .
Il n’ est pas étonnant que les marchés aient eu envie de sécuriser leurs propres transactions en dehors des banques.
La block chain est mieux sécurisée que les transactions bancaires…..
Puisque l’on peut acheter 1 Tesla avec 2.9 bitcoins ne pensez-vous pas que la « valeur » de l’action Tesla devrait baisser si le bitcoin s’apprécie ?
Chris,
Merci pour ton commentaire 🙂
Il me fait bien rire. On voit que tu n’as pas compris le principe de la block chain, comme énormément de monde. Il est vrai que débattre de quelque chose qu’on ne maîtrise pas est assez français !
Il n’y a jamais eu de hack de la block chain BTC.
Je te laisse dans ton monde.
Charles ils ne pourront pas interdire le BTC, en Chine ils n’ont pas réussi ! En Europe no souci !
Mon point de vue, je me permets : le risque est la volatilité, trop forte, entraînant une perte de confiance.
Une question aussi me turlupine. Le FBI and Co ont mis la main sur des milliers de BTC, voir quelques millions qui sait. Que vont-ils en faire ?!
Malgré les différences d’idées générationnelles (génération Y) c’est toujours un plaisir de vous lire.
Bien à vous,
Je vous suis avec grand intérêt mon cher Charles, mais sur la question du Bitcoin et plus généralement des crypto-actifs en toute humilité vous ne voyez pas le réel intérêt de la technologie qui se cache derrière à savoir la blockchain. Il s’agit là d’une réelle révolution qui concerne grand nombre de secteurs que ce soit dans la finance, la logistique, l’administratif, la communication ou tant d’autres domaines… Il est pour ceux qui s’intéressent au sujet, du même ordre que la révolution internet que la France n’a pas voulu voir à la fin des années 90. Dans un monde de décentralisation, les crypto-acteurs sont avangardistes, il faut savoir prendre le train en marche… Non le Bitcoin ne sera jamais une monnaie (un outil patrimonial ça se discute…), mais lorsqu’on voit l’engouement des multinationales, des institutionnels voire même des états (plusieurs partenariats en cours dans certains pays), je trouve dommage de réduire le BTC à un simple actif spéculatif.
Salutations
Battre monnaie est un attribut de la souveraineté d’un Etat. Laisser un tel pouvoir entre les mains d’une blockchain revient à dire que l’intelligence artificielle gouverne notre portefeuille ce qui en cas de conflit juridique pose un problème juridique qui n’est pas réglé aujourd’hui.
Le Bitcoin est une monnaie numérique qui n’est pas un actif tangible, on ne touche pas ses bitcoins. Les fluctuations à la hausse comme à la baisse sont énormes.
Voilà un mode placement et de dépense qui est très instable et qui est exposé à la lourde dépendance du téléphone portable et de l’ordinateur fonctionnant grâce à la fée électricité. Une panne géante de l’Internet pourrait aboutir à l’effacement de compte Bitcoins.
Que des « Hedge funds » investissent massivement en Bitcoins me donne le sentiment que nos retraites sont en grave danger de péricliter!
L’obtention de crypto via les plateformes d’échange est très encadrée. Je ne vois pas pourquoi les autorités soulèvent le problème du blanchiment alors que tous nous respectons les règles qu’ils nous ont imposés.
Concernant la sécurité des cryptomonnaies, des acteurs soutenus par de grands groupes ont fait évoluer les services : le français Ledger partenaire de Thalès propose des clés coffre-forts qui rendent très difficile le piratage puisque les clés privées restent sur le matériel.
Vous l’avez trés bien dit, c’est un ACTIF et non une monnaie. C’est vraiement le discour des néophyte de dire Bitcoin = Cryptomonnaie donc c’est une monnaie.
Cela montre a quel point la personne liant Bitcoin et monnaie on un niveau d’enfant sur les crypto-actif.
C’est bien un actif.
Dubois,
Merci pour ton commentaire, très intéressant !
Attention quand même, il y a des fois se sentir au dessus du lot fait qu’on trébuche ! 🙂
Je suis Suisse résident dans le sud de l’Espagne et Directeur R&D de la Sté CO2Bitcoins basée au US….
Alors pour le mal français et ne pas savoir de quoi on parle, je te laisse devant le miroir.
Charles,
les cryptos ne sont certainement pas encore des outils patrimoniaux, on est d’accord – mais le fait que les banques centrales ou les gouvernements ne savent pas comment gérer quelque chose ne va pas empêchera ces initiatives d’avancer.
Je suis 100% d’accord avec Emmanuel.
Bye
Le bitcoin comme la plupart des investissements actuels sont un grand casino qui laisse croire qu’on peut s’y enrichir facilement.
Cette une escroquerie organisée comme par exemple la valeur de l’action Tesla. Cette société qui n’a jamais versé de dividende ni réalisé un bénéfice a été ajouté dans l’indice du SP 500, le principal indice de la bourse mondiale, que toutes les caisses de pensions du monde doivent détenir ainsi que tous les fonds de placements indiciels. Je suis et lis beaucoup d’informations financières. Je n’ai jamais lu une fois un article qui soulevait cette question de l’action Tesla dans l’indice SP 500.
Encore une fois, le système financier américain se finance dans l’épargne mondiale comme avec l’escroquerie des crédits dérivés responsables de la crise 2008.
Le bitcoin comme la plupart des investissements actuels sont un grand casino qui laisse croire qu’on peut s’y enrichir facilement.
Cette une escroquerie organisée comme par exemple la valeur de l’action Tesla. Cette société qui n’a jamais versé de dividende ni réalisé un bénéfice a été ajouté dans l’indice du SP 500, le principal indice de la bourse mondiale, que toutes les caisses de pensions du monde doivent détenir ainsi que tous les fonds de placements indiciels. Je suis et lis beaucoup d’informations financières. Je n’ai jamais lu une fois un article qui soulevait cette question de l’action Tesla dans l’indice SP 500.
Encore une fois, le système financier américain se finance dans l’épargne mondiale comme avec l’escroquerie des crédits dérivés responsables de la crise 2008.
Une fois encore : pour qu ‘ une économie fonctionne sans anicroche , elle doit reposer sur une monnaie STABLE . Le contrôle de cette monnaie fait partie des devoirs régaliens d ‘ un État , sinon c ‘ est l ‘ anarchie , le chaos . Demandez aux Allemands ce qu ‘ ils pensent de leur monnaie flottante des années 1920 , vous connaissez le résultat en 1940 !!!
Maintenant , ceux qui veulent faire joujou avec leur pognon , c ‘ est leur affaire , mais qu ‘ ils n ‘ oublient pas que tout ce qui monte à pour vocation de descendre !!
Quoi qu’en pense certains ici la blockchain est une invention de génie et les cryptos sont fascinantes. Pour qui veut protéger un tant soit peu son capital vis-à-vis de la crise énorme qui se met en place doit investir dans les métaux précieux, acheter des ares de terre et de forêt et investir dans les cryptos. Le bitcoin est une invention de génie et je vous met dans le mille qu’une crypto comme Stellar Lumens remplacera peut-être nos euros et dollars dans les années à venir …un monde est révolu et rien n’arrêtera les cryptos car c’est l’AVENIR.
Certains ici me font penser à l’ancien débat qu’il y avait sur le bien-fondé d’internet ou non …tout un monde « parallèle » se met en place à vitesse grand V pendant que certains passent leur temps à se demander si le btc ou autre crypto est fiable ou non mais personne ne se pose la question lorsqu’il touche son salaire si ses euros ont encore de la valeur …la planche à billet va tous nous mettre sur la paille car les fiat perdent de la valeur à mesure que l’on avance dans le temps alors qu’une blockchain est infalsifiable , en résumé j’ai plus confiance au bitcoin qu’à l’euro et puis certains commentaires sont typiquement français ou européens mais dites-vous qu’en Asie il en est tout autrement car les cryptos sont entrés dans les moeurs et dans la pratique. Penchez-vous sur DeFi …moi ça me fait beaucoup réfléchir.
Bonne soirée à toutes et tous.
Elon Musk est un manipulateur des marchers boursier. Il a fait monter le bitcoin mais il va investir des millions pour ramasser des milliards avec une vente à découvert pariant que le bicoin va tomber à zéro. L’inspecteur des marchers boursier va le laisser faire car c’est ce qu’il veut.
Alors quand Elon va faire un autre coup d’éclat en vendant une forte partie des bitcoin qu’il vient d’acheter, il va déclencher la frénésie à la baisse.
Il y a quand même 2 évolutions à noter pour le bitcoin
1 des institutionnels et maintenant une boîte du SP500 y stocke une partie de leur liquidités, difficile d’interdire sans créer des pertes importantes et contaminer la bourse.
Des pays africains comme le Nigeria utilisent le bitcoin pour des transactions internationales de bien et services légitimes. Sanctions, circuit bancaires défaillants, restrictions sur le dollars font en sorte que le bitcoin répond très bien à un besoin réel et facilite des échanges.
Dans un scénario ou la finance déraille, le bitcoin pourrait donner cette même ligne de survie au commerce, il a une utilité potentielle immense.
Le systême financier s’est dévelopé sur l’or qui n’était pas transportable avec les lettres de change.
Le bitcoin a en lui des similitudes avec l’or, c’est la première crypto (pas la meilleure) comme l’or était le premier metal que l’homme a utilisé.
C’est un concentré d’énergie car il en faut beaucoup pour le minage tout comme l’or.
Sa croissance est limitée à environ 3 : par an comme pour l’or.
Il a comme désavantage d’être immatériel et de dépendre d’un réseau mais c’est aussi un avantage car il voyage et sans votre mot de passe pas moyen de vous le dérober.
L’histoire dira si c’est un bulbe de tulipe ou une arme de libération des peuples (ou d’anarchie diront certains)
Les 2 grands dangers sont une interdiction concertée des bourse d’échange du minage etc par les plus grand pays
Et une défaillance.
Jusqu’ici les bugs ont été corrigés car les intervenants n’avaient aucun intérêt à voir le système se disloquer et donc perdre toute valeur.
Un pirate qui arriverait à créer de fausses transactions ferait disparaître la confiance et donc toute valeur au bitcoin.
Si d’autres intervenants comme les banques centrales décident de financer des attaques pirates sur le bitcoin leur but sera différent dëtruire un concurrent et les pertes seront plutôt bienvenues pour attirer les utilisateurs vers leurs nouvelle monnaie numérique de banque centrale.
Les esprits complotistes diront que le ver est peut être déjà dans le fruit et que le bitcoin a été conçu dans ce but mais c’est peu probable car c’est open-source et chacun peut analyser le code.
super intervention ;o)
Si jamais le bitcoin devient une monnaie mondiale, qui contourne les contraintes étatiques via les vpn, alors qui se soucie de la volatilité ? Valoir 10 ou 1000 par rapport à une monnaie dont plus personne ne veut ça n’a plus d’importance.
Tant que bitcoin n’ a pas pouvoir liberatoire de paiement de l’impôt je n’investis pas .