« Trump espionné ? Le FBI n’en serait pas à son galop d’essai »… Ce titre n’est même pas de moi mais de notre très sérieuse AFP qui serait presque en train de prendre la défense du président américain, qui nous est présenté depuis deux ans comme le plus illustre abruti qui soit bien que ces derniers temps cela semble changer et qu’une inflexion du discours officiel peut être noté.

« Le président américain Donald Trump l’a affublé d’un nom : le « Spygate ». Il accuse la police fédérale (FBI) d’avoir infiltré sa campagne en 2016, une opération « inédite » et « illégale » qu’il considère pilotée par les démocrates.

« De gros dollars ont été payés à l’Espion, bien au-delà du niveau normal. Ça commence à ressembler à l’un des plus importants scandales politiques de l’histoire américaine », a encore tweeté le milliardaire vendredi, alors qu’il a déjà ordonné à son ministère de la Justice d’enquêter.

À ce stade, il n’existe aucune preuve étayant ces affirmations. Mais la longue histoire du Bureau fédéral d’investigation de se mêler de politique pourrait instiller un doute.

Dès ses balbutiements, le FBI s’est immiscé ou a été aspiré dans le maelström politique américain jusqu’aux plus hauts niveaux, s’exposant à des accusations pérennes d’abus de pouvoir. »

Le combat est terrible aux États-Unis entre nos deux factions mondialistes et national-souverainistes. Nous avons une autre facette de ce combat de titans en Italie.

Charles SANNAT

Source AFP via Romandie ici

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