Thierry Breton parle de paix. Enfin de paix. C’est dire si la situation sur le front ukrainien doit être mauvaise.

Je suis mauvaise langue, mais depuis le début de la guerre en Ukraine nos camarades commissaires et autres europathes n’ont que des mots guerriers et une volonté belliciste.

La présidente de la grosse Commission, la terrible cruelle Von der Leyen, a d’ailleurs toujours dit que ce n’était pas le temps de parler de paix.

Elle incarne l’Europe de la guerre.

Et voici le camarade commissaire politique évoquant les inévitables négociations, qui, un jour, après des centaines de milliers de morts auront lieu.

C’est le même drame humain siècle après siècle.

Après la pluie le beau temps.

Après la guerre, souvent inutile. La paix.

Mais surtout des millions de vies brisées à jamais.

Terrible bilan.

Effroyable bilan de morts pour rien ou pour si peu.

Charles SANNAT

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