Sandrine Rousseau et la gauche qu’elle incarne à savoir celle de l’assistanat et la génération de richesse spontanée qui déteste le travail et encense la paresse en vomissant sur l’effort, revendique le droit à la paresse.

Soyons très clairs.

Celui qui veut ne rien faire, qu’il ne fasse rien et que grand bien lui fasse. Je ne revendique pas le travail forcé !

Néanmoins, que le droit à la paresse de Pierre, Paul, Jacques, ne vienne pas me coûter un sou !

Car si les paresseux ont le droit à la paresse, et personne ne les force à travailler ou à devenir “riches” il ne faut pas oublier qu’en réalité on demande à la collectivité c’est-à-dire à tous ceux qui payent des impôts et des charges sociales ou autres cotisations de payer pour le droit à la paresse des autres.

En fait Sandrine Rousseau me demande de me lever le matin, d’aller bosser pour que les fainéants aient droit à la paresse.

Je ne vous parle pas ici d’aider celui qui chute, d’aider et d’accompagner le malade ou l’accidenté du travail, non mes amis.

Elle revendique bien le droit à la paresse avec votre pognon. C’est le summum.

D’ailleurs, je veux noter également que nous faisons travailler dans les ESAT nos handicapés… oui. A nos handicapés nous demandons de travailler tandis que nous laissons les fainéants revendiquer leur droit à la paresse.

Ce droit-là est un vol comme un autre. Sauf que ce vol des plus travailleurs par les plus fainéants se fait légalement avec la complicité de l’Etat qui ponctionne les uns pour récompenser injustement les autres.

Encore une fois je ne parle pas de l’aide juste.

Nous parlons bien du droit à la paresse.

Nous sommes ici en plein délire économique et social.

Si tout le monde cesse de travailler, il n’y aura plus de pompiers, d’infirmières ou personne pour ramasser les poubelles, pour enseigner ou transporter les gamins dans des cars pour aller jusqu’à l’école. La société s’effondrera et Rousseau et ses acolytes ne pourront même plus se nourrir de grains de boulgour ni picorer des graines de sésame bio. C’est une évidence.

La paresse n’est pas une option. C’est un vice. Dire cela n’est ni de gauche, ni de droite, c’est une évidence.

Charles SANNAT

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