Sandrine Rousseau et la gauche qu’elle incarne à savoir celle de l’assistanat et la génération de richesse spontanée qui déteste le travail et encense la paresse en vomissant sur l’effort, revendique le droit à la paresse.
Soyons très clairs.
Celui qui veut ne rien faire, qu’il ne fasse rien et que grand bien lui fasse. Je ne revendique pas le travail forcé !
Néanmoins, que le droit à la paresse de Pierre, Paul, Jacques, ne vienne pas me coûter un sou !
Car si les paresseux ont le droit à la paresse, et personne ne les force à travailler ou à devenir “riches” il ne faut pas oublier qu’en réalité on demande à la collectivité c’est-à-dire à tous ceux qui payent des impôts et des charges sociales ou autres cotisations de payer pour le droit à la paresse des autres.
En fait Sandrine Rousseau me demande de me lever le matin, d’aller bosser pour que les fainéants aient droit à la paresse.
Je ne vous parle pas ici d’aider celui qui chute, d’aider et d’accompagner le malade ou l’accidenté du travail, non mes amis.
Elle revendique bien le droit à la paresse avec votre pognon. C’est le summum.
D’ailleurs, je veux noter également que nous faisons travailler dans les ESAT nos handicapés… oui. A nos handicapés nous demandons de travailler tandis que nous laissons les fainéants revendiquer leur droit à la paresse.
Ce droit-là est un vol comme un autre. Sauf que ce vol des plus travailleurs par les plus fainéants se fait légalement avec la complicité de l’Etat qui ponctionne les uns pour récompenser injustement les autres.
Encore une fois je ne parle pas de l’aide juste.
Nous parlons bien du droit à la paresse.
🤦🏽♀️Pépites du jour par @sandrousseau :
– le chômage est un droit à la paresse
– le travail est une valeur de droiteLe travail est un essentiel pour tous et notamment pour les femmes qui se sont battues pour avoir le droit de travailler et ainsi gagner en liberté/indépendance pic.twitter.com/KbVyxu2kZG
— Prisca THEVENOT (@priscathevenot) September 15, 2022
Nous sommes ici en plein délire économique et social.
Si tout le monde cesse de travailler, il n’y aura plus de pompiers, d’infirmières ou personne pour ramasser les poubelles, pour enseigner ou transporter les gamins dans des cars pour aller jusqu’à l’école. La société s’effondrera et Rousseau et ses acolytes ne pourront même plus se nourrir de grains de boulgour ni picorer des graines de sésame bio. C’est une évidence.
La paresse n’est pas une option. C’est un vice. Dire cela n’est ni de gauche, ni de droite, c’est une évidence.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Bonjour Charles
Vraiment étonné que vous prêtiez attention a un sujet qui concerne une infime minorité… Et qui donc met a mal votre diatribe…sans intérêt.
Je vous vous trouve formidable et très compétant sur ce que vous faites le mieux…
Laissez celà aux simples d’esprit qui opposent chômeurs et travailleurs
Cela risquerait de vous décridibiliser durablement
d’après sa fiche wiki elle a un doctorat d’economie industrielle.
ça laisse reveur…
mais attention, cette engeance n’est pas stupide, elle met son intelligence au service de la “deconstruction’. et quandce sera vraiment la m… elle fera parti des kapot zélés pour martyriser la populaion.
cette clique est TRES dangereuse.
Cette femme est folle, comme tous ceux qui tirent les ficelles.
Mon pays, la France, me fait peur…
Je ne le reconnais plus.
CONSEIL À UN NOURRISSON
Soit fainéant
Soit fainéant,
Tu vivra content
Soit fainéant
Mon enfant
Tu vivras longtemps
« Coluche »
Au vu de “l’évolution sociétale” de la gauche, la paresse est peut-être bien devenue une de ses “valeurs”.
A quand une vraie droite qui insiste sur les devoirs du citoyen vis à vis de la société et une vraie gauche qui insiste sur les droits que la société doit au citoyen ? On aurait ainsi un retour à l’équilibre : la société a des droits et des devoirs envers le citoyen, le citoyen a des droits et des devoirs envers la société.
J’ajouterai que ces droits et ces devoirs ne sont pas n’importe quoi. Ils ont été clairement définis dans la déclaration originelle des droits de l’homme et du citoyen. Depuis, certains ont essayé de brouiller les cartes.
ah oui quand même…il faut effectivement regarder la vidéo. Cà vaut le détour.
Je la prend au mot “Le sens du partage” : elle va donc partager sa (mirobolante) paie et ses avantages de députée avec au moins 1 sans abri ? Bah, ça pourrait même ruisseler sur au moins une cinquantaine…, voire même sur des travailleurs !
“…Donnez, donnez, do-onnez, Dieu vous le rendra” – E. Macias
J’suis fatigué de leurs con…
“J’ai lu ton Tweet, mon camarade, suppôt des multi-nationales.
Putain, mon vieux, t’es mal tombé, tu m’en veux pas: je vais pas “Tweeter”.
C’est bien tenté, bien essayé, avec tes potes collaborants,
Ouais, d’essayer de faire passer pour des fous les Indépendants.
Je suis du peuple travailleur, j’suis pas du show-biz à quatre pattes.
Avec moi, les fils du labeur, ceux qui font pousser des tomates
Ceux qui en ont marre de s’faire baiser, par les rois de l’intermédiaire.
Par tous ces gens-là, qui ne créent rien, sûr, autour d’eux que la misère. ..” Damien Saez – Peuple manifestant
Il s’agit de Sandrine Rousseau. Pourquoi citer quelqu’un qui n’existe que par son outrecuidance politique associée à l’opportunisme le plus abject sur les sujets à la mode ?
Bonjour
Les gens intelligents et travailleurs n’ont pas besoin de politique pour vivre car ils ont déjà un emploi Combien gagne Sardine Ruisseau ?
Pauvre monde !
Le monde est fou…
Ce qui est bien avec Sandrine Rousseau c’est qu’elle lance des débats.
Dès qu’elle ouvre la bouche, tout de suite après ça fait réagir !
A chaque fois ça marche !
Et en fait ça lui donne du crédit parce qu’on parle d’elle.
Ce qui serait intéressant c’est qu’on ne revienne jamais sur ses propos.
Dès qu’elle dit quelque chose et bien personne ne réagit.
Lorsque j’ai été recruté, jeune diplômé, dans une grannnnnde entreprise semi etatique des collegues m’ont vite fait remarquer d’avoir à travailler moins vite afin de ne pas devaloriser leur travail….
Encore un bel exemple de caution stupide et dogmatique au projet funeste de papy Schwab : vous ne posséderez rien mais vous serez heureux.
dit autrement : on va vous laisser sombrer dans l’idiocratie à grand renfort de perfusion universelle et on va continuer de déstructurer vos sociétés pour votre bien.
La honte.
Merci Charles
Et on continue depuis 40 ans, avec des politiques qui ont détruit notre économie .
“la travail c’est quand même une valeur de droite”
Donc c’est quand même” une valeur” et une valeur de bon sens, en produisant on enrichi notre pays, notre performance, notre vie en société, notre capacité à s’adapter, etc, et on occupe notre jeunesse, et les autres.
Tout ce discours fait le jeu des mondialistes, vers le crédit social, 7 miliards de pauvres, 150 milions de très riches et les autres qui vont courir dans tous les sens pour essayer de survivre.
Grâce à Sandrine Rousseau nous irons vers ce système
Elle aura eu un beau passage politique, pour sa personne et pour les faignant.
“les inutiles” selon Harari
Ne pensez-vous pas , qu’avec toutes les aneries qu’ils nous font gober depuis si longtemps, qu’ils se foutent de notre gueule ouvertement en se disant que les moutons vont encore avaler leurs stupidités et les trouver normales ??? Ils sont au bout de leur plan et s’amusent, on les amuse !! Et ça les fait bien rigoler …
Oui, Rousseau et Roussel même combat de gauche.
Tout le monde doit avoir un travail, un travail garanti par l’état et bien payé, et surtout, surtout les amis, ne pas avoir trop à travailler, voir même si possible, ne pas travailler.
Allons donc, le droit à la paresse c’est logique, non ?
Lorsqu’une collectivité ou un organisme d’état a besoin de 10 salariés, pourquoi pas en embaucher 50 ! non ?
Ainsi, tout le monde aurait du travail, plus de chômage, et un certain nombre pourrait ainsi avoir un droit à la paresse !
Le problème c’est qui, qui va payer.
Et bien à gauche, on a toujours la solution à ce problème.
Il suffit d’imposer jusqu’à 90% les revenus de ceux qui souhaitent faire des efforts et mouiller le maillot, et même de leur prendre tout arrivés à un certain seuil.
Il est pas beau les amis notre changement de paradigme ?
Le peuple n’aura plus rien, mais il parait qu’il s’y fera et qu’il sera heureux ! .. Ah bon !!!!
Toutes les ORDURES GAUCHISTES qui sont élus grâce à la propagande médiatique (médiats branleurs pervers comme ceux qu’ils manipulent, fainéants par excellence), ont bien compris qu’avec 50% de cons qui ne vont pas voter, vont faire arriver au pouvoir cette bande de pervers psychopathes qui représentent 15% du corps électorale. Présidentielles, UN souverainiste sur DOUZE, législatives dans ma circonscription, UN souverainiste sur DIX. Pour ceux d’en face tous des FENEANTS GAUCHISTES! Cherchez l’erreur! Il faut interdire l’éligibilité aux étudiants et à toutes personnes n’ayant pas travaillées dans le secteur PRIVE non subventionné, qui jouent aux chefs d’entreprises avec notre ARGENT, ou la notion d’équilibre budgétaire et de rentabilité est leur CADET de leurs soucis!
Bonjour,
Sardine Ruisseau, c’est Greg Toussaint qui en parle le mieux!
Notre chance, c’est qu’avec une furie pareille qui surfe sur le buzz, lzs zécolos n’auront aucune chance de se faire rembourser de leur campagne éléctorale
Oui , ils devront travailler pour payer les BUZZ de leur égérie!
Merci Sardine!
Il n’est pas frais, le poisson
La sphère politique Française de 2022 est le reflet de nos fruits et légumes industrialisés : hors-sol, sans saveur, sans valeurs…
Charles, n’écoutez pas cette femme çà vous fait du mal !
Coupez le son en appréciant simplement de la voir en chemisier rouge s’occuper sous vos yeux aux heures creuses.
Remplir le vide d’une vie n’est pas simple Charles. C’est de la gouvernance faite pour occuper les esprits mal éclairés.
Elle résume à elle seule la quintessence de l’écolo.
Pendez les haut et court …. Mais qui vote ça ???
…..
Cela dit, en Polynésie, C monnaie courante : cela se nomme :
– « Être Fiu…! »
Mais ce qui était « charmant » par le passé…est devenu d’une telle « arrogance » aujourd’hui….
Parions que ce « nouveau droit » ne tardera pas à embellir nos relations quotidiennes….!
VG
“Qu’on fasse travailler les handicapés” …. il faut voir, Charles !
J’ai un neveu, handicapé, doté d’un BTS de comptabilité, qui pourrait donc travailler sans problème, qui vit avec une jeune femme handicapée, mais très fortunée, et qui touche une pension mensuelle de 1800 € environ…
Faut-il reconnaître aux handicapés, tout au moins à ceux qui peuvent travailler, le droit à la paresse ?
Je précise quand même que j’adore mon neveu, bien sûr, mais qu’il faut savoir parfois prendre du recul .
C’est normal, elle pense avant tout à ce qui l’a concerne…
Enfin comment s’intéresser encore a cette folle ,c’est du délirium tremens sinon épais,le malheur est que nos institutions sont pleines de ces parasites plus dangereux que les morpions et il y a des électeurs qui ont voté pour ce bulot !!! un grand reset uniquement pour nettoyer tout ça
Mon premier commentaire…
Faut dire que je n’en peux plus de tous ces parasites.
Que les fainéants fainéantent, mais qu’ils le fassent en silence et sans notre pognon.
Notre monde, notre Patrie est plus en danger encore qu’en 1792, que disparaissent ces parasites avec la chute finale qui pointe le bout de son nez.
Trump disait que l’avenir appartient aux patriotes de toutes les nations. Complétons qu’il appartient aux patriotes travailleurs desdites nations.
On aime Sandrine Rousseau, elle permet de nous esclaffer et de nous scandaliser à peu de frais..
Il existe un site parodique qu’il faut visiter..
Chaque jour un peu plus, on se croirait dans Atlas Shrugged / La Grève d’Ayn Rand… Ça va mal terminer !
“Le travail est l’aliment des âmes nobles”.
Sénèque. Philosophe et homme d’état romain. (4 av JC / 65 ap JC)
Certains le croyaient déjà il y a longtemps !
S. Rousseau qui se goberge de grands formules à la noix ferait mieux de lire autre chose que des psychopathes comme Karl Marx.
Mais, du point de vu d’un riche … le droit à la paresse est bien une réalité ancestrale : Faire travailler les autres pour vivre comme un prince … C’est bien LEUR droit qu’ils justifient ici.
Idem la libre circulation des capitaux et des hommes : C’est leurs droits à la liberté pour eux et la concurrence des travailleurs pauvres venus d’ailleurs contre le travailleur local. Le droit est un rapport de force et sa justification est toujours de la com’
A ce niveau de crasse, on se demande si c’est de la provocation ou si vraiment , elle pense ce qu’elle dit….
Je suis de gauche , mais ça , j’en ai les poils qui se dressent sur mes bras !!!
Inadmissible , indécent , criminel …et très con !
Et après on s’étonne que les écolos ne votent plus écolos…..
Jadot et Rousseau m’ont dégoûté de l’écologie politique..
Elle ferait bien d’exercer son devoir d’utilité publique en disparaissant des médias.
Nous faisons travailler non handicapés en ESAT….
Vous avez raison, et dans quelles conditions : pas de droit social, de syndication, salaire de misère très inférieur à celui du droit commun, décisions prise à la place des travailleurs qui sont généralement shootés de médicaments…
Lisez quelques minutes google, il y a quelques articles, et même un bouquin récent qui sont très intéressants si on tape ‘ESAT conditions travail’ ou une expression du même acabit…
Tout ça pour quoi ?
Déculpabiliser les entreprises qui préfèrent payer une amende ou faire du ‘handicap washing’… Avec la complicité de l’état depuis, j’ose même pas regarder le chiffre…
Entreprises (il y a des exceptions) et État ne veulent pas voir que handicapé on l’est surtout parce que la société n’est pas disposée à mettre chacun sur un pied d’égalité…
Attendons le vieillissement de la population, quand chaque centime devra être compté pour aménager l’accès à tous, bonne idée
c’est du délire – elle devrait être internée en HP
Le pire c’est qu’on leur donne la parole à ces gens là. Incroyable. Par contre inviter Charles Gave ou Charles Sannat sur les plateaux..; ah non ils disent tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Ou dire la vérité dérange peut-être. CQFD.
j’approuve totalement votre analyse et j’applaudis de toutes mes mains !
Ça sent le revenu minimum universel ds ps longtemps qd les ets auront toute fermé avec la crise énergétique mise en place par la CE.. le plan Great Reset se déroule sans accrocs. Le libre covid19 la grand réinitialisation est à Klaus Schwab ce que mein kampf est à adolphe. Cqfd
Bonjour,
Ce droit à la paresse, ça m’évoque l’excellent film “Alexandre le bienheureux”. En y faisant référence, Sandrine Rousseau se place clairement dans l’héritage de Mai 68. Elle assume son côté bobo et son idéologie décroissante.
Je n’adhère pas à cette vision des choses. Mais, il faut au moins lui reconnaître une certaine cohérence.
Et tout n’est pas à jeter non plus, dans son discours. L’idée qu’une certaine sécurité puisse permettre aux gens de changer d’orientation et de métier n’est pas mauvaise. Ce serait de nature à fluidifier le marché du travail au moins autant, si ce n’est plus, que de faciliter les licenciements, comme le réclame une certaine droite depuis au moins Raymond Barre ministre de l’Economie.
TROP TARD , en apportant des fainéants rémunérés en France par des Français au boulot, le pli est pris ! Mieux protégés que nous ils ne voudront plus retourner au boulot ! NOTRE faute…
Comme Toujours,
Le poids de l ETAT EST LE PROBLEME
le travail DOIT payer…sinon autant rien faire
Celle ci , on ne demande qu’une chose ” qu’elle disparesse ” …
Cette femme est une calamité publique !
Qu’ elle ait des responsabilités nationales dans un parti politique montre le niveau d’ irresponsabilité du parti en question…
Je ne comprends toujours pas pourquoi on donne la parole à cette bonne femme.
Cette écolo-gaucho-bobo mérite bien le site pastiche qui la hérisse : Sardine Ruisseau
Je ne résiste pas à recopier ici ce texte prophétique de Frédéric Bastiat, extrait du Chapitre XIV des Harmonies Économiques, et qui correspond parfaitement au sujet
172 ans et il n’y a pas une virgule à changer
”
Les classes laborieuses s’étant donc élevées, par la suite des temps, et grâce au progrès de la civilisation, jusqu’au Salariat, ne se sont pas arrêtées là dans leurs efforts pour réaliser la stabilité.
Sans doute le salaire arrive avec certitude à la fin d’un jour occupé ; mais quand les circonstances, les crises industrielles ou simplement les maladies ont forcé les bras de chômer, le salaire chôme aussi, et alors l’ouvrier devrait-il soumettre au chômage son alimentation, celle de sa femme et de ses enfants ?
Il n’y a qu’une ressource pour lui. C’est d’épargner, aux jours de travail, de quoi satisfaire aux besoins des jours de vieillesse et de maladie.
Mais qui peut d’avance, eu égard à l’individu, mesurer comparativement la période qui doit aider et celle qui doit être aidée ?
Ce qui ne se peut pour l’individu devient plus praticable pour les masses, en vertu de la loi des grands nombres. Voilà pourquoi ce tribut, payé par les périodes de travail aux périodes de chômage, atteint son but avec beaucoup plus d’efficacité, de régularité, de certitude, quand il est centralisé par l’association que lorsqu’il est abandonné aux chances individuelles.
De là les sociétés de secours mutuels, institution admirable, née des entrailles de l’humanité longtemps avant le nom même de Socialisme. Il serait difficile de dire quel est l’inventeur de cette combinaison. Je crois que le véritable inventeur c’est le besoin, c’est cette aspiration des hommes vers la fixité, c’est cet instinct toujours inquiet, toujours agissant, qui nous porte à combler les lacunes que l’humanité rencontre dans sa marche vers la stabilité des conditions.
Toujours est-il que j’ai vu surgir spontanément des sociétés de secours mutuels, il y a plus de vingt-cinq ans, parmi les ouvriers et les artisans les plus dénués, dans les villages les plus pauvres du département des Landes.
Le but de ces sociétés est évidemment un nivellement général de satisfaction, une répartition sur toutes les époques de la vie des salaires gagnés dans les bons jours. Dans toutes les localités où elles existent, elles ont fait un bien immense. Les associés s’y sentent soutenus par le sentiment de la sécurité, un des plus précieux et des plus consolants qui puissent accompagner l’homme dans son pèlerinage ici-bas. De plus, ils sentent tous leur dépendance réciproque, l’utilité dont ils sont les uns pour les autres ; ils comprennent à quel point le bien et le mal de chaque individu ou de chaque profession deviennent le bien et le mal communs ; ils se rallient autour de quelques cérémonies religieuses prévues par leurs statuts ; enfin ils sont appelés à exercer les uns sur les autres cette surveillance vigilante, si propre à inspirer le respect de soi-même en même temps que le sentiment de la dignité humaine, ce premier et difficile échelon de toute civilisation.
Ce qui a fait jusqu’ici le succès de ces sociétés, — succès lent à la vérité comme tout ce qui concerne les masses, — c’est la liberté, et cela s’explique.
Leur écueil naturel est dans le déplacement de la Responsabilité. Ce n’est jamais sans créer pour l’avenir de grands dangers et de grandes difficultés qu’on soustrait l’individu aux conséquences de ses propres actes.
Le jour où tous les citoyens diraient : « Nous nous cotisons pour venir en aide à ceux qui ne peuvent travailler ou ne trouvent pas d’ouvrage, » il serait à craindre qu’on ne vît se développer à un point dangereux le penchant naturel de l’homme vers l’inertie, et que bientôt les laborieux ne fussent réduits à être les dupes des paresseux. Les secours mutuels impliquent donc une mutuelle surveillance, sans laquelle le fonds des secours serait bientôt épuisé. Cette surveillance réciproque, qui est pour l’association une garantie d’existence, pour chaque associé une certitude qu’il ne joue pas le rôle de dupe, fait en outre la vraie moralité de l’institution. Grâce à elle, on voit disparaître peu à peu l’ivrognerie et la débauche, car quel droit aurait au secours de la caisse commune un homme à qui l’on pourrait prouver qu’il s’est volontairement attiré la maladie et le chômage, par sa faute et par suite d’habitudes vicieuses ? C’est cette surveillance qui rétablit la Responsabilité, dont l’association, par elle-même, tendait à affaiblir le ressort.
Or, pour que cette surveillance ait lieu et porte ses fruits, il faut que les sociétés de secours soient libres, circonscrites, maîtresses de leurs statuts comme de leurs fonds. Il faut qu’elles puissent faire plier leurs règlements aux exigences de chaque localité.
Supposez que le gouvernement intervienne. Il est aisé de deviner le rôle qu’il s’attribuera. Son premier soin sera de s’emparer de toutes ces caisses sous prétexte de les centraliser ; et, pour colorer cette entreprise, il promettra de les grossir avec des ressources prises sur le contribuable.
« Car, dira-t-il, n’est-il pas bien naturel et bien juste que l’État contribue à une œuvre si grande, si généreuse, si philanthropique, si humanitaire ? » Première injustice : Faire entrer de force dans la société, et par le côté des cotisations, des citoyens qui ne doivent pas concourir aux répartitions de secours. Ensuite, sous prétexte d’unité, de solidarité (que sais-je ?), il s’avisera de fondre toutes les associations en une seule soumise a un règlement uniforme.
Mais, je le demande, que sera devenue la moralité de l’institution quand sa caisse sera alimentée par l’impôt ; quand nul, si ce n’est quelque bureaucrate, n’aura intérêt à défendre le fonds commun ; quand chacun, au lieu de se faire un devoir de prévenir les abus, se fera un plaisir de les favoriser ; quand aura cessé toute surveillance mutuelle, et que feindre une maladie ce ne sera autre chose que jouer un bon tour au gouvernement ? Le gouvernement, il faut lui rendre cette justice, est enclin à se défendre ; mais, ne pouvant plus compter sur l’action privée, il faudra bien qu’il y substitue l’action officielle. Il nommera des vérificateurs, des contrôleurs, des inspecteurs. On verra des formalités sans nombre s’interposer entre le besoin et le secours. Bref, une admirable institution sera, dès sa naissance, transformée en une branche de police.
L’État n’apercevra d’abord que l’avantage d’augmenter la tourbe de ses créatures, de multiplier le nombre des places à donner, d’étendre son patronage et son influence électorale. Il ne remarquera pas qu’en s’arrogeant une nouvelle attribution, il vient d’assumer sur lui une responsabilité nouvelle, et, j’ose le dire, une responsabilité effrayante. Car bientôt qu’arrivera-t-il ? Les ouvriers ne verront plus dans la caisse commune une propriété qu’ils administrent, qu’ils alimentent, et dont les limites bornent leurs droits. Peu à peu, ils s’accoutumeront à regarder le secours en cas de maladie ou de chômage, non comme provenant d’un fonds limité préparé par leur propre prévoyance, mais comme une dette de la Société. Ils n’admettront pas pour elle l’impossibilité de payer, et ne seront jamais contents des répartitions. L’État se verra contraint de demander sans cesse des subventions au budget. Là, rencontrant l’opposition des commissions de finances, il se trouvera engagé dans des difficultés inextricables. Les abus iront toujours croissant, et on en reculera le redressement d’année en année, comme c’est l’usage, jusqu’à ce que vienne le jour d’une explosion. Mais alors on s’apercevra qu’on est réduit à compter avec une population qui ne sait plus agir par elle-même, qui attend tout d’un ministre ou d’un préfet, même la subsistance, et dont les idées sont perverties au point d’avoir perdu jusqu’à la notion du Droit, de la Propriété, de la Liberté et de la Justice.
“
Personne ne parle du livre “Le droit à la paresse” écrit en 1881 par Paul Lafargue, gendre de Marx, dans lequel il écrivait que la plus grande erreur du prolétariat au XIXème siècle, c’était d’avoir revendiqué le droit au travail. Effectivement, ceux qui arrivent à devenir milliardaires le font grâce au travail de nombreux salariés qu’ils appellent aujourd’hui des collaborateurs
Ils reversent à l’état sous forme d’impôts le moins possible avec toutes les optimisations autorisées, les fraudes et les paradis fiscaux qui existent encore.
J’ai honte de voir que des merdias réalisent les interviews avec ce genre d’invités.
On se demande si c’est sérieux !!!!
A la limite, si droit à la paresse = droit à ne pas emmerder les autres en piochant dans leur poche, pourquoi pas !
S’ils ont mis avant de l’argent de côté pour tenir la période de temps de paresse, cela ne me dérange pas.
Tout est question de bien expliquer le fonctionnement de ce concept
Sinon si en face du droit à la paresse n’arrive pas le droit d’éliminer. Bah oui, celui d’éliminer les vermines qui usent injustement le temps de ceux qui passent leur temps à vider les poubelles, taillent les haies, tondent les pelouses, enseignent, luttent contre les incendies, etc…
Vous parliez dans un post récent la pénurie au niveau de nos aciéries, il existe pourtant une usine qui résiste bien celle de la fabrique de fainéants avec comme dirigeants les politiques et l’état avec comme objectif
leur élection ou leur ré-élection.
Au fond, le travail rend les gens malheureux contrairement à ce que l’on nous dit, puisque on peut perdre sa vie en travaillant, plus on travaille plus on paye d’impôts pour nourrir les fainéants, on est exonéré d’aides, etc …
Un travailleur qui gagne 2000€, qui a le sens du travail parcequ’il a été éduqué dans ce sens, ne se sent il pas frustré comme par ce couple qui vit au RSA, qui a 3 enfants et qui attend un 4ème et qui compte sur la société pour les nourrir. Quand en plus la TV le montre en exemple pour les aides énergie, et que l’homme en question en pleine force de l’âge se contente de se balader alors qu’il pourrait bénéficier d’une formation gratuite pour travailler, n’y a t’il pas là matière à se révolter ? Que va transmettre ce couple à ses enfants si ce n’est la fainéantise.
Ces aides n’existaient pas du temps de mes parents et mes grands parents, nous avons commencé à travailler très jeunes en voulant gagner de l’argent pour ne pas dépendre d’eux ce qui nous a forgé notre avenir.
Je suis pour certaines aides mais bien ciblées, je suis contre l’assistanat, et surtout je suis en total désaccord qu’on nous pompe notre argent pour aider les fainéants alors que nous avons tant à faire avec nos propres enfants et petits enfants.
La messe est dite.
Le droit à la paresse ? ELLE a le droit évident à “être conne” !!!!
Elle ne va pas être contente la Rousseau si le test du rsa versé aux seuls bénéficiaires effectuant 22 heures effectives de travaux d’utilité collective pas mois dans des services (comme bénévoles pour les services) se généralise…parce que ses électeurs ils vont faire grève et peut-être que certains retourneront au bled parce que la caf envoie plus d’allocs au maghreb que ce qu’ elle paye en France mdrrrr
La réalité c’est que :
– au siège de MMA
– en gendarmerie
– dans les emplois sociaux,
Pour être bien vu, bien noté, bien augmenté, il ne faut surtout pas travailler trop.
Il faut faire le minimum absolu ET dire au chef “Comment on devient chef, chef ? Vous avez dû abattre un boulot considérable pour en arriver là…. Moi je vous admire”.
Et ensuite on s’étonne que la France coule depuis des décennies…
Et c’est une prof d’université !!! On s’étonnera par la suite que l’on aura des générations de “j’en foutre”
D après vous pourquoi les gens veulent ils être riche ? C’est peut-être qu ils espèrent ne plus à devoir travailler ! Et ceux qui aiment leurs travail ne sont pas jaloux des autres, quoi qu’ils fassent.
Etre envieux et jaloux n est pas plus jolie que d être paresseux.
on est pas plus cons à ne pas voter plutôt que voter
pour des ânes ou des despotes cher monsieur ROSSIGNOL Georges
en l’an 1327 Jean Le Bon écrivait :
“Que celui qui ne travaille pas ,ne mange pas”
Il précisait qu’il s’agissait des gens valides .
Marco l’a dit : “Ça sent le revenu minimum universel ds ps longtemps”
Marco sur 16 septembre 2022 à 11 h 14 min
_
C’est bien Marco, tu n’as loupé aucun épisode.Les événements s’annoncent en toute logique comme prévu globalement. Sauf que c’est toujours plus tôt que prévu.
Je suis d’accord avec vous sur le fond mais il me semble que vous exagérait un peu son propos anyways, tout cela c’estdu vent il y a des sujets qui ont plus de sens…
c’est bien juste tout ça, de plus je rajouterai que ses propos ne me donnent plus envie de bosser. Si je bosse pour nourrir les glandeurs, je glanderai avec eux. Et plus il y aura de glandeurs, moins y aura à bouffer. Ce discours ne tient pas la route dans notre société, mais à la limite tient la route dans une tribu amazonienne qui pratique la chasse au besoin et TOUTE la collectivité s’y met. L’âge aussi est important. Cette femme est une grosse c….
L’assurance chômage fonctionne sur un principe de caisse, comme celle de la sécurité sociale d’ailleurs.
Si vous avez lu Zola, vous savez que chaque employé cotisait à cette caisse, tenue alors par tous les employés… Cet argent ne rapportait pas un rond au patronat, donc …
Aujourd’hui, le système est le même : une partie de votre salaire _quand vous êtes salarié_ va dans ces caisses pour le moment où vous en aurez besoin, peut importe votre raison : formation, besoin de faire un point avant de repostuler pour un boulot, envie de prendre le temps d’investir ou devoir vos gosses… c’est votre pognon !
C’est un pourcentage de votre salaire que vous avez accepté de confier à l’état qui le gère pour vous !
Mais ça reste votre salaire, qui doit vous être reversé.
C’était aussi la promesse que l’état ferait en sorte que vous auriez toujours un boulot, et pas qu’un boulot de merde uberisé et précaire, mais un boulot dont vous pourriez vivre bien et faire en sorte que vos gosses soient sur les bancs de l’école… Tout ça pour un monde civilisé !
Et non, ce ne sont pas vos impôts qui financent l’assurance chômage !
Et c’est un droit, juste parce que c’est votre temps travaillé qui vous permet d’y accéder. Encore une fois, c’est votre salaire qui est dans ces caisses !
Vous savez ce qui va se passer à force de détruire les droits du salariat ?
Ils vont se renseigner sur leurs véritables droits.
Ça va prendre du temps parce que les discours “antisociaux” biaisés comme votre petite crise de nerfs et le FN les retardent, mais ça va venir. La transition écologique que vous détestez pareillement ne va être retardée qu’un tout petit temps parce que COVID, guerre, crise… Mais cette transition est sociétale. Et il faudra permettre à des gens qui n’ont pas été formés pour, de s’y adapter.
Qu’ils commencent à bien payer les employés ( réduction de charges sur fiche de paie, augmentation de salaire…). transporter des gamins services en deux fois pour un salaire de misère: ça ne vaut pas le coup, autant glander malheureusement si l’état nous en donne le droit. Mais si quelqu’un veut entreprendre, et bien qu’il entreprenne… Les lois françaises communistes sont la il faut faire avec.
Sandrine Rousseau veut apparemment établir une nouvelle sorte d’esclavagisme, finalement assez proche de l’ancien, dans lequel certains doivent travailler parce que d’autres ont le droit de ne rien faire.
Si vous êtes pour l’esclavage, libres à vous de la soutenir, mais si vous avez en vous des valeurs d’égalité quelles que soient votre origine, votre sexe, votre génération, ou votre religion … alors vous saurez quoi faire à chaque fois qu’elle ou les gens qui la soutiennent ouvertement se présenteront à une élection.
Pardon, mais ce que Charles a voulu exprimer ce n’est pas la contestation de l’existence d’une caisse assurance chômage qui est là pour l’accident de parcours comme la SS est là en cas de pb de santé.
Ce qu’il conteste c’est l’expression “droit à la paresse”. Ça c’est inadmissible de la part d’un politique.
On n’a pas le droit de parasiter sciemment la société. On DOIT contribuer à son développement ou ne rien demander à ladite société.