Nous vivons une époque d’une grande tristesse, une période où les princes charmants qui sauvent les belles princesses tellement jolies qu’ils se marièrent et eurent plein de beaux enfants !
Aujourd’hui la « princesse » n’a plus le temps d’être enceinte, ni ne veut plus accepter les vergetures sur son corps parfait.
La femme moderne, ne veut plus voir les outrages du temps et de la vie sur les corps.
La femme moderne veut sous-traiter la grossesse, comme on sous-traite son ménage faute de temps.
Pourtant, on parle ici, d’enfants.
Quelle genre de mère peut-on devenir quand on ne veut pas porter son enfant ?
Je ne dis pas quand on ne peut pas ! Quand on ne peut pas porter un enfant et que l’on en veut un, l’attente, la souffrance, la douleur, obligent à penser sa maternité autrement, mais elle est pensée et désirée, profondément désirée généralement.
Lorsque l’on veut des mères porteuses de confort, car c’est de cela qu’il s’agit, nous entrons dans un univers totalement différent.
Les princesses sont devenues des petites connes capricieuses et égoïstes … à l’image de ce monde.
La parentalité, c’est l’abandon de soi et de ses égoïsmes.
Ce reportage est d’une grand tristesse.
D’une très grande tristesse, parce qu’il montre bien que ce monde passe à côté de l’essentiel, et comme disait Saint-Exupéry, l’essentiel est invisible pour les yeux, parce que l’on ne voit qu’avec le cœur.
L’essentiel c’est évidemment l’amour.
On ne parle plus d’amour.
On ne parle plus d’aimer, de s’aimer.
Avoir un enfant, adopter un enfant, s’occuper d’un enfant, peu importe, c’est vouloir et pouvoir faire acte d’amour inconditionnel.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
C’est le même genre d’individu qui achète un bébé chien tout mignon et qui l’attache à un arbre car considéré comme encombrant lors d’un départ en vacance.
Ce comportement commence par le refus de l’allaitement par certaines mères, on sait que c’est pas bon pour la santé de l’enfant…Bon pas la peine de garder le pti veau 3 ans non plus sous le sein…La voie du milieu entre les extrêmes débiles semble disparaître…
Même si on ne peut pas en avoir, il y a encore la solution de l’adoption ou… tout simplement de s’en passer et de s’occuper de ses neveux et nièces ou autre enfant en difficulté. Là est véritablement l’amour pour l’enfant.
Surtout que cela ne devienne pas « un droit A l’enfant » au détriment « des droits DE l’enfant » ! Rien que de l’égoïsme, du confort de situation, de l’irresponsabilité et j’en passe.
Faire fabriquer un enfant c’est autre chose :
c ‘est mettre le doigt dans la marchandisation de l’être humain, d’un business où 90 % du profit va aux intermédiaires (agences, médecins, avocats…) et d’un monde de toutes les dérives (manipulations génétiques). L’horreur !
La protection de la Nature ,tant en vogue de nos jours,
c’est aussi celle de l’Etre Humain.
Vous avez compris pourquoi je suis contre la GPA pour toutes, quoique les princesses n auront même pas à se pencher pour avoir leur certificat médical. Nouveau marché ? Meuh non, souvenons nous des nourrices qui allaitaient pour d autres…
Je me suis arrêté à la première minute, sans intérêt, trop de vulgarité. Guillaume Canet et Gérard Lanvin parlaient des stars qui ne font plus rêver, nous comprenons en voyant toute cet égoïsme et cette vulgarité.
Dans ma maison (2 filles et 1 garçon) se débat fût animé et je me fis taxer de réac pour finalement rallier les esprits ( ce fut long), tout simplement parce que le but n’est pas de savoir si cela est bien ou mal, si la femme a le droit d’être libre de ses décisions, mais plutôt de définir la place de l’enfant à venir dans ce processus et de ses droits et de nos devoirs ( Adieu les cons, Dupontel).
Force est de constater que l’enfant dans ce processus est devenu une quasi marchandise. Il ne manque plus que le développement de chimères nous permette de lui donner toutes ses fonctionnalités pour définir sa place au rayon jouet.
La boite de Pandore a été ouverte sans aucun garde-fou d’humanité.
Trés bien dit!
Ce texte, et le discours plein de verdeur de Bolsonaro hier sur le COVID, me donnent de la joie! Lucidité et résistance.
C’est une forme de dérive du transhumanisme (lequel peut, par ailleurs, avec une certaine éthique, être valable et souhaitable). L’erreur pire, la faute perverse, est de vouloir marchandiser l’humain: ventres à louer, santé à rentabiliser, enseignement payant, agriculture intensive, ressources constituées sur des millions d’années gaspillées en quelques années…. Le chant de l’humanisme devient bien ténu.
Nous avons sombré dans un monde athée et matérialiste. Nous devons accepter nos destins et tout le reste n’est que du bricolage de pseudo-intellectuels. Forcer la nature, pourquoi pas, mais en vertu d’une éternelle loi d’équilibrage de nos actes (comprend qui peut ou qui veut !), un jour ou l’autre nous sommes remis en face des expériences que nous devons vivre pour avancer sur le plan spirituel. Et je ne suis pas un cul-béni ! nous devons respecter le corps que la nature nous a donné, il n’est ni à vendre ni à acheter.
Affolant, mépris de la vie, de la subtilité et richesse infinie d’un lien qui s’élabore… et le lien à un père ?
Le monde du fric et de la perversion, voilà
AH! Quelle belle aubaine boursière ,allons-nous bien pouvoir opérer sur l’ensemble de ces imbéciles LGBT et autres !!!
Mesdames , Messieurs ,Charles , Je vous convie à un brain storming dont nous sortirons plus intelligent !!!
Voyez plus loin, ils développent déjà des utérus artificiels. Bientôt le bébé ogm sera à la carte et plus performant que celui du voisin. Mais cela pour une élite 2.0 pas pour un gueux.
Et d’un côté je préfère rester gueux avec des valeurs fondamentales que eux qui sont dans leur démence du fric et du pouvoir divin…
Manipuler le génome, gérer les naissances, repousser l’âge de la mort, ces élites se prennent pour des dieux…
Le genre humain est vraiment con. Mais heureusement nous ne sommes pas tous pareils. Et certains sont moins cons que d’autres. Heureusement !!!!
On peut en acheter sur mamazone ? Pas encore ? Ah bon.
Bienvenu dans « Le meilleur des mondes » – Aldous Huxley
OK, je sors…
Malheureusement ce bizness est florissant dans certains pays de l’est 🙁
Souvenez-vous des cours royales…il n’y avait pas d’enfants car ils étaient en « nourrisse » c’est à dire que l’on sous-traitait déjà l’allaitement et la « corvée » de la petite enfance à de bonnes paysannes allaitantes !
Notez que si les enfants vouvoyaient leurs parents c’était certes par respect mais aussi du fait qu’ils étaient de parfaits inconnus…
Les nazis avaient crée les « Lebenroms », les femmes étaient mises enceintes par des nazis bien blonds pour faire une race nouvelle,moyennant des avantages en natures-nourritures, logement notamment : aujourd’hui des femmes et des hommes passent au supermarché pour commander l’enfant qu’ils souhaitent; célébrant une nouvelle société transgenre. Il s’agit d’eugénisme dans les deux cas, ou de marchandisation de la vie.
Je parie que le modérateur de service va me censurer!
Ce n’est que l’aboutissement logique de 50 ans de féminisme hystérique. Quand vous confiez vos enfants, dès l’âge de 6 mois, à des nounous à qui vous ne confieriez pas votre bagnole. L’étape d’après, c’est de ne même plus accoucher et de laisser ça aux mêmes nounous. Le pire dans tout ça, c’est que dans 10 ans, la GPA sera la norme. Elle est pas belle la vie ?!
Humpff, autant que je sache le ménage n’est pas la seule affaire des femmes, donc on ne parle pas de « son ménage ». Enfin, il est de bon sens de l’interroger sur le rôle du masculin derrière cette action de dépossession des femmes de leur pouvoir procréatif, depuis combien de temps le pouvoir patriarcal et notamment médical s’ingénie t’-il à intervenir dans la naissance, la procréation…surmédicalisation, anesthésie, aucune aide pour accoucher à la maison… etc et j’en passe, la prédation sur le côté féminin du vivant est effarante et se fait bien sur avec la complicité inconsciente des femmes, jusqu’à « copier » les comportements sociaux masculins présentés en exemple… donc allons voir la responsabilité de tous les acteurs et actrices…donner corps à la vie est aujoud’hui attaqué… quels sont les intérêts en jeu ?
Pour aller un petit peu plus loin, c’est rendre le bébé comme un bien de consommation, » j’achète un bébé » fait par un ventre loué. c’est se ramener soit même , l’humain, au rang de produit de consommation.
On est de plus en plus loin chaque jour qui passe des lois naturelles.
Quelle tristesse, quelle société dégénérée a pu produire de telles monstruosités.
Ainsi, cette société qui prétend mettre en avant l’humanisme, a clairement défini qu’un enfant n’est pas un don, mais un bien matériel, une sorte d’animal de compagnie mais qui en plus, pourra gagner sa vie dans le futur. Et les journaleux qui commentent ne le relèvent même pas.
On a supprimé l’esclavage pour se lancer dans l’élevage et dans la sélection des meilleurs bestiaux.
La seule institution qui a prévu que cela se terminerait de cette manière est l’Église Catholique, désolé d’avoir à le dire.
Pour rappel « Humanae Vitae », encyclique de St Paul VI, qui, dans son argumentaire pour dénoncer la contraception non naturelle, avait prédit que l’être humain finirait par considérer ses enfants comme des objets. On y est, une génération plus tard. La logique continue son chemin, mais pour moi, c’est un des signes de l’effondrement imminent de toute notre civilisation.
Bonjour Charles, la parentalité, c’est l’abandon de soi et de ses égoïsmes.
Tout est dit.
Il y a quelques jours j’ai vu un documentaire sur netflix dont le titre est la sagesse de la pieuvre (my octopus teacher). Au dela du lien affectif très fort qui s’établit entre le cinéaste et la pieuvre, la beauté des images, du texte parfois un peu mélo, c’est l’intelligence, la capacité d’adaptation et surtout l’amour inconditionnel de la pieuvre pour ses petits en développement qui m’ont marquée. Un merveilleux documentaire, triste (la pieuvre ne vivant qu’un an ne verra pas ses petits) mais réconfortant. L’espèce humaine et le monde moderne en perdition ont beaucoup à apprendre de la pieuvre.
Bonjour, un pas vers l’eugénisme, les idées s’installent étape par étape et bientôt on pourra commander son enfant sur catalogue. Saviez vous qu’ils échangent déjà sur l’opportunité de reconnaître le couple à 3 ?
L’humanité est condamnée
Bravo pour votre texte ! C’est comme ces jeunes couples qui ne veulent pas ou pas trop d’enfants parce que ça pollue…..
Que c’est triste d’entendre de telles affirmations ! Et on est sur 2 ou 3 enfants….
Bonjour à tous
C’est quoi la GPA ?
La GPA , c’est un bébé , du fric ….. et une esclave .
Mettez cela dans l’ordre que vous voudrez .
Rien de nouveau sous le Soleil !
Salutations
Vive le progrès…
bonjour
enfant par une autre personne ???
l’amour par une autres personne ???
le sexe par une autre personne ???
la connerie et bien personnelle
CELA FAIT PEUR
la joie d’attendre un enfant qui vous donne la force de vivre le meilleur pour ce petit être sans défense qui vous apportera la joie d’être sa mère et vous le rendra au centuple si vous êtes à la hauteur. c’est ça la vraie vie !
les tourments s’oublient vite quand l’Amour est là…
Euh… Au 19eme siècle, quand une femme avait de la tune, elle n’elevait pas ni ne nourrissait ses enfants elle même.
C’était mal vu dans la bonne société, ce n’était pas de son haut niveau social.
Aujourd’hui, c’est le même style de femmes qui les feront porter par d’autres (avant la fécondation in vitro, il fallait que monsieur couche avec la bonne et ce n’était pas souhaitable, même si ça se faisait aussi).
Il n’y a rien de neuf sous le soleil !
La maternité est un concept variable adaptée à la classe sociale où elle se vit.