Le président argentin, Javier Milei a été très peu applaudi lors de son dernier discours. Il faut dire qu’il a expliqué devant les politiciens professionnels avec l’argent du peuple qu’il mettait fin aux financements des partis politiques par l’État: « Le soutien financier aux partis politiques est désormais terminé, ceux qui le souhaitent peuvent financer leur parti par des contributions volontaires. » et que « les personnes reconnues coupables de corruption en appel ne pourront pas se présenter aux élections ».

Au passage il a également décidé de la fermeture de l’agence de presse publique d’Argentine après l’avoir accusée de propagande, je vous passe la grande réforme fiscale annoncée et la réduction des dépenses de l’État à 25 % du PIB.

Avec, comme objectif un nouveau contrat social se basant sur l’équilibre budgétaire, la propriété privée et la fin de l’Etat providence.

Il ne faut pas se tromper. Oui à l’entraide. Mais non à l’assistanat. Il ne faut pas se tromper mes amis. Il n’y a pas de liberté sans propriété privée et responsabilité individuelle. C’est difficile, surtout pour les cigales qui doivent se faire violence pour devenir fourmis au moins un peu, mais il n’y a pas d’autre solution. Il n’y a pas d’Etat providence autre que totalitaire. Cette dérive totalitaire et autoritaire, vous pouvez la visualiser chaque jour dans notre pays.

Quand l’Etat est providence, l’Etat devient trop puissant. Ce sont les Etats qui font les génocides, pas les individus. Trop d’Etat cela se termine toujours mal.

Charles SANNAT

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