Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
J’aime bien faire remarquer avec une certaine perfidie que cela fait bien longtemps que l’on n’entend plus parler des retraites par capitalisation qui seraient un système extraordinaire venu des Etats-Unis et qui devrait vite être mis en place sous les latitudes hexagonales.
Vous n’en entendez plus parler à vrai dire, depuis que les banques centrales du monde libre (comprendre occidental et pro-américain) ont fixé les taux d’intérêt proches de 0! Il faut dire qu’avec des placements qui rapportent rien du tout, il est très difficile de faire gagner de l’argent au fonds de retraite par capitalisation et accessoirement au futur retraité.
Les taux à zéro posent donc un immense problème au système de retraite par capitalisation américain évidemment basé sur la valeur de l’argent matérialisée par les taux! Si l’épargne ne rapporte rien, si l’épargne ne s’apprécie pas, alors elle perd du pouvoir d’achat. C’est l’inverse de ce qu’il faut pour faire un système par capitalisation. Capitaliser c’est recevoir des intérêts que l’on conserve chaque année, qui se « capitalisent » et qui « rapportent » pour constituer une somme très importante qui sera reversée plus tard sous forme d’une rente.
Lorsque la FED, la banque centrale américaine monte les taux d’intérêt, c’est exactement cela qu’elle veut combattre, à savoir lutter contre l’évidente faillite du système de retraite.
Ce qui est valable pour le système privé par capitalisation, l’est aussi pour la sécurité sociale « publique » américaine qui fait face à un trou officiel non comptabilisé dans la dette publique puisqu’il s’agit des engagements futurs toujours comptés dans « le hors bilan ». (En France aussi beaucoup de choses sont « cachées » dans le hors-bilan).
Les chiffres sont ahurissants et donnent le vertige.
Les engagements futurs de la sécu américaine sont de 176 000 milliards de dollars… vous avez bien lu!
Les recettes estimées dans la même période sont de 130 000 milliards de dollars…
Le déficit lui est de 43 000 milliards de dollars la différence étant dans un fonds qui détient quelques actifs pour l’équivalent de 3 000 milliards de dollars.
Conclusion?
Les Américains vont soit se voir diminuer de 43 000 milliards les prestations sociales, soit se voir augmenter d’autant les ponctions fiscales ce qui devraient se passer dans les années qui viennent. Mais ce n’est là qu’un des aspects d’un total à 239 000 milliards de dollars, oui, vous avez bien lu. 239 000 milliards de dollars. « Je vais bien, tout, va bien, il n’y a pas de problème »!!!
Voici ce qu’en dit cet article dont j’ai traduit pour vous l’essentiel.
La Sécurité sociale vient d’avoir un déficit de 9 000 milliards de dollars, et personne n’a remarqué
« Le rapport annuel des administrateurs de la Sécurité sociale a été publié récemment et montre que la Sécurité sociale a enregistré un déficit gigantesque de 9 000 milliards de dollars entre l’année dernière et cette année. Le passif non capitalisé à long terme du système s’élève maintenant à 43 000 milliards de dollars , contre 34 000 milliards l’an dernier.
C’est drôle, personne n’a remarqué.
Ai-je raté un tweet du président? Je ne pense pas. Qu’en est-il de la presse? Quelqu’un a-t-il vu un article sur le déficit de la Sécurité sociale dépassant le déficit fédéral d’un facteur 11? Non.
La presse couvre la dette fédérale « officielle » dans les bilans, mais ignore la dette fédérale non officielle dans les hors-bilans.
Le fait qu’un ensemble de dettes figure dans les bilans en raison du choix des catégories par le Congrès et un autre ne l’est plus, encore une fois, en raison du choix des catégories par le Congrès. En matière économique, la presse croit trop souvent simplement ce qu’on lui dit.
Qu’en est-il des myriades de démocrates qui se présentent à la présidence? La Sécurité sociale est leur fierté et leur joie. Ont-ils pesé sur la hausse massive de sa dette massive? Aucun d’entre eux n’en parle.
Le secrétaire au Trésor, Steve Mnuchin, a sûrement fait part de ses préoccupations concernant le déficit de 9 000 milliards de dollars de la Sécurité sociale. Après tout, il est l’un des administrateurs du système. Il a signé le rapport. Curieusement, il ne l’a pas fait.
Le passif non capitalisé est le chiffre le plus important et le plus effrayant du rapport. Le secrétaire et ses collègues administrateurs l’ont ignoré dans leur déclaration sommaire pour la même raison qu’ils l’ont enterré à l’arrière de leur rapport.
C’est de la dynamite politique.
Il indique aux personnes âgées que ce qui leur a été promis ne sera probablement pas intégralement payé. Et cela indique aux jeunes qu’ils pourraient être confrontés à des taxes supplémentaires pouvant aller jusqu’à 43 000 milliards de dollars, dont le paiement ne leur rapporterait absolument rien.
Le secrétaire au Trésor est un banquier et les banquiers connaissent les bilans. Le passif non capitalisé est une déclaration importante concernant le bilan de la Sécurité sociale.
Sur le côté droit du bilan de la Sécurité sociale se trouvent ses passifs, tous évalués au présent, c’est-à-dire à la valeur actuelle. Les engagements du système correspondent aux obligations au titre des prestations projetées (176 000 milliards de dollars) envers les retraités actuels, les travailleurs actuels et futurs.
À gauche se trouvent les actifs du système. Il s’agit de la valeur du fonds en fiducie (3 000 milliards de dollars) et de la valeur actuelle de ses recettes prévues au titre des taxes sur la masse salariale (130 000 milliards de dollars) des travailleurs actuels et futurs.
Les bilans sont destinés à être équilibrés, d’où leur nom.
Quand ils ne le sont pas, faites attention.
Cela signifie que l’entité est en faillite. Lorsque les passifs non cachés (cachés) d’Enron ont été rendus publics, Enron a immédiatement fait faillite car son passif total (inscrit dans les livres) dépassait de loin ses actifs.
Lorsque les actifs de Lehman Brothers ont été évalués à un niveau proche de zéro au beau milieu de la panique financière de 2008, elle a été obligée de fermer ses portes.
La Sécurité sociale n’est pas différente.
Son passif dépasse de 43 000 milliards de dollars son actif.
Le système est en ruine en raison de changements dans les prévisions des actuaires.
La Sécurité sociale est sous-financée à 33% (43 000 milliards de dollars divisés par 130 000 milliards de dollars). Il s’agit du pourcentage d’augmentation immédiate et permanente du taux de 12,4% de la taxe sur la masse salariale de la Sécurité sociale nécessaire pour éliminer l’écart financier du système.
Cela représente 4,1 cents de plus d’impôts FICA que nous devons payer pour chaque dollar que nous gagnons, dans la limite du plafond des gains couverts de la Sécurité sociale, qui s’élève maintenant à 139 200 dollars. Alternativement, nous pourrions réduire toutes les prestations de la Sécurité sociale, immédiatement et de façon permanente, de 24% (43 000 milliards de dollars divisés par 175 000 milliards de dollars).
Plus nous attendons, plus le fardeau des jeunes générations sera lourd.
Le reste du système fiscal ne peut-il pas sauver la Sécurité sociale? Certes, nous pourrions utiliser les recettes générales pour aider à combler le déficit de la Sécurité sociale. Malheureusement, la réponse est non.
L’écart financier pour l’ensemble du gouvernement fédéral ne correspond pas aux 17 000 milliards de dollars de dette publique (calculés par le Bureau du budget du Congrès et rapportés par la presse).
Ces 17 000 milliards de dollars de dettes ne sont pas non plus la dette officielle totale.
Au lieu de cela, c’est la dette publique de 17 000 milliards de dollars, auxquels il faut rajouter les 43 milliards de dollars de dette hors-bilan de la Sécurité sociale sans oublier les 179 000 milliards de dollars du reste de la dette hors-bilan du système fiscal!!
Autrement dit, le système fédéral dans son ensemble présente un déficit financier de 239 000 milliards de dollars !
239 000 milliards de mille sabords!!
Bon lorsque l’on atteint ce genre de chiffre, nous ne sommes tout simplement plus dans le vrai monde ni dans la véritable vie. Nous sommes dans un délire collectif, dans une fiction imaginaire d’un système que l’on peut appeler argent-dette et qui vit évidemment ses derniers instants.
Toutes les grandes institutions, pour le moment, jouent le jeu, elles jouent la partie.
On imprime les billets nécessaires.
On demande à tous de croire que tout va bien. Que tout est normal.
Si quelqu’un dit que les monnaies imprimées ne valent rien et qu’il faut acheter de l’or, on lui tord le bras, si ce n’est pas assez on envoie les porte-avions et on lui casse la gueule.
Dans un système de changes flottants, où les monnaies ne sont jamais arrimées à un étalon-de valeur fixe comme pourrait l’être l’or, alors chaque mauvaise monnaie flotte par rapport aux autres. Quand le dollar baisse parce que la FED vient d’imprimer 5 000 milliards, l’euro lui monte. Mais cette hausse n’est pas durable, puisque l’année d’après c’est la BCE qui imprime… 4 500 milliards d’euros. L’euro baisse, le dollar remonte.
Pourtant les banques centrales européennes et américaines viennent d’imprimer 10 000 milliards ces dernières années.
Tout le monde fait mine de croire que les euros et les dollars valent la même chose.
Tout ceci peut durer tant que tous les acteurs de la pièce seront d’accord pour que la partie dure.
Pourtant au bout du compte, nous ne paierons pas toutes ces dettes, parce que c’est tout simplement impossible. Nous les paierons en monnaie de singe au mieux. Au pire nous ferons une grande réforme du système monétaire. Nul n’en connaît ni la date ni l’heure mais ce moment arrivera.
C’est en préparation de ce moment, que vous avez intérêt à sur-pondérer les actifs tangibles dans votre patrimoine.
Pour m’écrire [email protected]
Pour écrire à ma femme [email protected]
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »20
Vous avez votre maison avec potager , de l ‘or et aucune dette ? Alors vivez Carpe Diem!
LES ETATS UNIS est le pays le plus endetté au MONDE…
Je me demande si la profession d’expert-comptable n’est pas vouée à disparaître; la raison d’être de la comptabilité est de fournir des informations aussi honnêtes que possible aux actionnaires, banques et à l’Etat.
Bien entendu les aigrefins ont trouvé le moyen de contourner cet « obstacle » en inventant le hors-bilan qui cache aujourd’hui les elements les plus importants.
Quelle différence avec l’Argentine ou bien le Vénézuela ?
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Cela fait 10 ans que je me prépare et je ne vois rien venir de factuel si ce n’est la bourse qui monte et l’or qui baisse ou stagne …
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Je me répète après censure mais cela fait 10 ans que je me prépare et malgré cela l’or stagne et la bourse monte !
L’argent est le sang du Diable. Tant que le monde sera aux mains des gens d’argent il ira à sa perte.
Le procédé est actif et irréversible, ils ont été prévenu mais la soif de posséder était plus forte, ils ont condamné l’humanité…
GDB
salut Charles,
Merci pour cet éclairage, mon cousin américain avocat à NY me disait que c’est la merde dans ce pays et que cela empire de jours en jours.
Les grands vainqueurs de 45 se sont pris pour les dieux du monde, leur futur risque d’être l’horreur totale, beaucoup de jeunes ricains cherchent le salut vers l’Europe, s’ils savaient notre réalité.
Le problème, c’est que personne n’étudie vraiment la solution en dehors de ceux qui n’ont pas de pouvoir pour décider ; et surtout ils ne sont pas écoutés.
Faudra t il vivre comme en Papouasie quand le système va imploser ? En serons nous capables ?
La dette, c’est comme un trou noir, tout le monde est aspiré, mais, en dehors de la mémoire du passé, que va t il se passer ?
Totalement abscons et abstrait pour un non initié !
Yaka prendre sur le budget militaire ….
Vivre et tuer , il faut choisir .
Bonjour à tous
Merci Charles de nous informer , de nous donner la température de ce monde , qui est devenu fou , à trop vouloir de tout , à consommer à outrance , à vouloir être plus fort que les autres . Nous avons dépensé depuis des années de l argent que nous n avions pas . Si c est ça le progrès , c est moche , que vont faire les générations futures , quelle va être leur vie , les publicités passent en boucle des voitures électriques , de belles maisons , des voyages ,bref de la consommation , nos jeunes rêvent avec l insouciance de leurs vingt ans , mais que pourrons t ils faire , la réalité va leur être douloureuse . Chez nous aussi le futur risque d être l horreur totale
Loire 42 ou Luc 42 ….
Vous n’avez pas été modéré, vu cette répétition !
En ce qui me concerne la situation est assez claire :
le système a réussi à être maintenu vaille que vaille jusqu’à maintenant, mais pendant encore combien de temps …?!
Les paris sont ouverts…
«L’incroyable déficit à 239 000 milliards de dollars des Etats-Unis!»
Les américains s’en foutent, leurs dettes sont plutôt les problèmes des autres que les leurs ! En plus, ils ont l’armée pour se permettre de ne jamais rembourser. Alors les questions intelligentes consisteraient plutôt de savoir, est ce que la France a prêté de l’argent aux américains ? Et si oui, alors doit on continuer de leurs en prêter ? Enfin si non, alors dans ce cas ça n’a aucune incidence sur nous français car ça ne sera pas nous que les américains vont flouer….
Vous prêchez un convaincu: En Suisse, au milieu des années 80, il a été voté un « 2ème pilier » à l’AVS (la retraite).
Déjà à cette époque, j’étais totalement contre ce système car il a provoqué une explosion des prix de l’mmobilier et des loyers en Suisse.
En effet, les caisses, pour avoir du rendement sûr, achetaient ou faisaient construire des immeubles qu’ils mettaient en location.
Une fois les immeubles loués, elles le revendaient à une autre caisse bien plus cher que ce qu’elles avaient payé et encaissaient une forte plus-value (et une commission pour la personne qui réalisait l’opération à l’intérieur de la caisse).
L’augmentation se répercutait rapidement sur les loyers, et la nouvelle caisse ne tardait pas à rejouer le même scénario que la précédente.
Ainsi, très rapidement, les prélèvements sur les salaires au titre du « 2ème pilier » (par capitalisation) ne servaient qu’à diminuer le pouvoir d’achat des ménages tout en augmentant les loyers et les logements.
Les caisses ont très rapidement été contraintes « d’investir » en bourse car l’immobilier en était arrivé à une bulle dans laquelle il était désormais quasi impossible de « faire du fric » pour payer les rentes des ayant droit.
Les 1ères années, il semblait que ça marchait et tout le monde était euphorique (sauf moi), mais en 2008: PATATRAS! La bourse s’est effondrée et les caisses ont pris un bain terrible. Certaines ont fait faillite, d’autres se sent concentrées et la boîte centenaire dans laquelle je travaillais a été emportée par la faillite de sa caisse de pension.
Les caisses des fonctionnaires ont pu, sans autre, être recapitalisées: il suffisait d’augmenter les impôts…
Donc j’étais au chômage à cause de la ruine de ma caisse de pension et je devais payer plus d’impôts pour assurer une retraite royale aux fonctionnaires…$$
Plus grave, La caisse AVS ( « 1er pilier » par répartition) a été autorisée à investir en bourse « pour faire jeu égal avec le 2ème pilier2, ce qui lui était interdit auparavant…
Après 2008, on a commencé à parler, avec insistance, de l’augmentation de l’âge de la retraite (aujourd’hui à 65 ans pour les hommes).
Il était question de travailler jusqu’à 68, voire 70 ans…
ça a été les hauts cris dans le landernau: tous ceux qui trouvaient normal de « gagner » en bourse avaient oublié qu’on y perdait aussi… donc ce sont les femmes, dont l’âge de la retraite était fixé à 62 ans, qui ont vu leur retraite retardée à 63, puis 64 ans et bientôt à 65 ans, elles qui sont déjà prétéritées à cause des différences de salaire hommes/femmes, du temps partiel, et des divorces, etc.
les rentes du 2ème pilier ont été fortement baissées (même que c’est pas fini), sauf bien sûr, celles des fonctionnaires (Genève vient de revoter une enième recapitalisation de la caisse des fonctionanires…).
pendant ce temps, je vivote avec une rente misérable et je me rends malade rien qu’à penser à ce qu’aurait pu et dû être mon AVS si ces montants ASTRONOMIQUES (le mot est faible) prélevés sur tous les salaires en Suisse pour la prévoyance vieillesse avait été attribués à la caisse AVS et que celle-ci n’ait toujours pas eu le droit d’investir ailleurs qu’en Suisse.
Le GROS fric suinterait à travers toutes les fenêtres et tous les logements en Suisse, et le moindre trou de souris serait tapissé d’or!
Chaque suisse travaillerait quasiment de 20 à 28 ans et passerait le reste de sa vie à contempler le reste du monde en pleins turbin.
Au milieu de ça, les jeunes travaillent comme des esclaves et sont payés au lance-pierres, tandis que les prélèvements sur salaire aux titres des « prévoyances sociales » (maladie-accident-AVS-2ème pilier) ponctionne leurs salaires d’une manière insupportable.
Bien sûr, les caisses maladie (privées en Suisse) AUSSI (tout comme Félicie) ont investi leurs avoir surs les marchés boursiers … : ça fait toujours de bonnes commissions à prendre pour les agents « gestionnaires » à l’achat ou à la vente! Peu importe si la transaction soit bénéficiaire ou pas: l’agent, lui, gagne à tous les coups).
Et quand je pense que les jeunes (dont mon fils) ne verront sûrement rien de tout cet argent qui leur est volé chaque mois, comme au coin d’un bois, par les « assurances sociales »…
Et avec cela, il y a « le taux zéro »… et il paraît qu’en Suisse, on s’en sort bien!…
mais si j’avais pas acheté ma bicoque il y a bientôt 40 ans, mon fils (25 ans) et sa femme seraient aujourd’hui à la rue, sans chômage, sans emploi et sans logement.
Merci qui?
Je ne vois pas en quoi avoir des dettes à taux fixe est un problème…
Si l’on crée de la monnaie de singe pour rembourser, les emprunteurs (à taux fixe s’entend) rembourseront encore plus facilement leur dette.
Et si l’on efface les dettes, alors plus de dettes, et biens tangibles acquis sans efforts 😉
Je vois la chose de 2 manières distinctes :
– Soit l’on achète sa résidence principale avec potager, que l’on rembourse le plus rapidement possible, pour être désendettés…
– Soit l’on s’endette au maximum pour acheter des biens tangibles : or, immobilier, etc. sachant que toutes les dettes seront annulées ou remboursés en monnaie de singe.
J’ai pas mal voyagé et mes enfants aussi, on peut ainsi comparer. Les US se dégradent très vite mais les reste du monde aussi, France en tête.La question n’est donc pas qui va se « casser la gueule le plus vite, mais qui va s’en relever le plus vite. A priori, ceux qui sont le + jeunes et les + fous dans leur tête. Ceux qui risques le moins sont à priori ceux qui ont été les + humiliés et les + longtemps humiliés: Allemagne, Japon, US (Vietnam et même Afghanistan et Irak – De Gaule nous a sauvé » de humiliation de 39-45.) Et( puis en cas de guerre nucléaire il y a l’hémisphère sud. L’endroit le plus sûr « of course ». S’il y a un lieu où le Mamamouchis voudront se préserver c’est bien dans ce secteur.
Bonne réflexion
les propriétaire d’immobilier pourront toujours être taxer vu qu’il ne pourront pas cacher leur capital !
@Rocbalie Un capital caché n’est certes pas taxé, mais il ne sert à rien car il ne peut pas être utilisé..
Si vous avez des sous et que vous vous en servez, vous payez des impôts (C’est pas bien.).
Si vous en avez et que vous ne vous en servez pas, ils ne vous servent à rien et dévaluent (c’est pas bien non-plus).
Vous pouvez aussi ne pas payer d’impôts en n’ayant pas de sous…
:-), (mais c’est pas mieux!).
L’enseignement majeur s’il en est et que système néolibéral est en cours de chute mais ,chut! ne dites rien ,tout le monde ou beaucoup croient encore que c’est l’avenir.
On nous fait toujours croire que les USA sont au plein emploi 4% environ alors que 30 à 40 millions de personnes sans espoir ne s’inscrivent plus en demandeurs d’emploi.
Le dollar c’est notre monnaie,c’est votre problème! disent ils!
Les baissent d’impôts pour acheter la réélection vont faire payer au monde un crash terrible!cramponnez vous,tout fou le camp!