De toutes les façons mes amis, vous n’avez qu’une seule utilité dans la vie aux yeux des taxovaures qui nous dirigent : vous êtes des « K€ » sur pattes !

Vous êtes soit un montant de taxes, soit un chiffre d’affaires pour les grandes entreprises.

C’est vos poches qui les intéressent.

Et justement, malgré toutes les belles promesses du genre « meuhhhh non on va pas augmenter les impôts », dès que vous tournez le dos, on vous pique vos sous.

La dernière en date est une idée bien perverse. C’est Le Figaro qui en parle en revenant sur une information du journal Les Échos.

« La taxe spéciale sur les conventions d’assurance s’appliquera à l’ensemble de l’assurance payée par les emprunteurs pour se prémunir contre les risques de décès, de perte d’emploi ou d’incapacité de travail. Cette mesure générera 100 millions de recettes pour l’État l’année prochaine.

La taxe spéciale sur les conventions d’assurance (TSCA) s’appliquera à l’ensemble de l’assurance payée par les emprunteurs pour se prémunir contre les risques de décès, de perte d’emploi ou d’incapacité de travail, a indiqué Bercy, confirmant une information des Échos .

Aujourd’hui, seules les parties de la prime concernant la perte d’emploi et le handicap sont soumises à cette taxe de 9 %. En 2019, la TSCA s’appliquera aussi à la partie concernant la garantie décès, obligatoire pour les emprunteurs. «Nous instaurons l’uniformité de la taxation sur l’assurance-emprunteur», justifie le ministère des Finances. Pour une personne qui emprunte 100 000 euros à 15 ans, cette extension de la TSCA à l’assurance décès représentera un surcoût de 3 euros par mois, illustre Bercy, soit 540 euros au total sur la durée de l’emprunt. Cette mesure générera 100 millions de recettes pour l’État l’année prochaine, puis 180 millions en 2020 et 500 millions à terme. »

Et voilà… une nouvelle taxe qui va rapporter quelques centaines de millions. Savoir si taxer une assurance obligataire est moralement juste est un débat que vous n’êtes pas priés d’ouvrir ni d’avoir.

Il y a des questions que l’on ne pose pas mes amis voyons.

Raquez maintenant.

Charles SANNAT

Source Le Figaro ici

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