Selon cet article de l’Agefi,  au second trimestre, le PIB du Royaume-Uni a chuté de plus de 20 %, ce qui est l’une des pires performances parmi les grandes économies développées.

Logiquement les grandes banques de la City ont dû provisionner et sont toujours sous pression pour réduire leurs coûts.

« HSBC a ainsi décidé de réarmer son plan de suppression de 35 000 emplois sur trois ans, après avoir décidé de mettre en pause cette initiative durant la pandémie ».

« Selon l’agence de recrutement Robert Walters, seule une dizaine d’établissements financiers aurait procédé à des licenciements secs. Dans le quartier d’affaires de Canary Wharf à Londres, 43 % des entreprises ont placé une partie de leurs salariés en chômage partiel, tandis que 20 % ont eu recours au dispositif de départs volontaires ».

Certes, « ce n’est pas une crise bancaire mais une crise sanitaire mondiale, rappelle Sam Walters, directeur des services professionnels au sein de Robert Walters ».

C’est vrai, mais quand la City éternue sur l’emploi, les bonus et les primes, c’est tout le secteur immobilier londonien qui va souffrir par effet ricochet dans les mois qui viennent.

Les banquiers souffrent…

Je ne pense pas que cela fasse trop pleurer dans les « chaumières » du reste du monde…

Charles SANNAT

« Ceci est un article « presslib » et sans droit voisin, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »

Source Agefi.fr ici

Please complete the required fields.