J’ai beaucoup de mal à croire que la pauvresse soit une SDF devant retourner vivre chez maman.

Il suffit de regarder sa bio !

20 ans passés aux Etats-Unis d’Amérique.

« Hafize Gaye Erkan (née en 1979 à Istanbul) est l’actuelle gouverneur de la Banque centrale de Turquie. Elle est ancienne co-PDG et présidente de First Republic Bank et a été membre du conseil d’administration de la société. Elle est l’ancienne PDG de Greystone & Co Inc, une société nationale de financement immobilier basée à New York qui participe à l’industrie du logement pour personnes âgées. Elle a également été membre du conseil d’administration de Tiffany & Co et administratrice de Marsh & Mclennan Cos Inc. »

Alors de deux choses l’une, soit Hafize Gaye Erkan a tellement bien géré ses salaires et hauts revenus quand elle était aux USA qu’il ne lui reste plus rien, et mieux vaut ne pas lui donner les rênes de la banque centrale turque, soit on se moque de nous en nous racontant une belle histoire pour faire plaisir aux gueux.

« Regardez les pauvres, nous aussi, les mamamouchis on souffrent comme vous ».

Vous avez donc compris que l’on se moque de nous. Enfin ici on se moque des Turcs, mais c’est pareil.

Et donc nos médias, qui ne pensent plus, ne réfléchissent plus, n’émettent plus un doute, ne cherchent même plus à avoir un peu de recul critique se contentent d’être des pisse-copies en publiant sans la moindre retenue tous les communiqués de presse des mamamouchis en les présentant comme des vérités révélées ! Incroyable tout de même de ne pas a minima « s’interroger ».

Voilà donc ce que cela donne.

Turquie : victime de l’inflation, la patronne de la Banque centrale pointe le problème du logement à Istanbul

« Difficile de se loger à Istanbul, même pour la gouverneure de la Banque centrale. Gaye Erkan nommée en juin par Erdogan pour réduire l’hyper inflation dans le pays, explique dans la presse être retourné vivre chez ses parents, faute de logements. Une façon de mettre en lumière le mal-logement, un des principaux problèmes dans les villes turques.

« Istanbul est-elle plus chère que Manhattan ? » Gaye Erkan pose la question dans les colonnes d’Hurryet un des principaux quotidiens du pays.

Elle a quitté les États-Unis où elle vivait depuis plus de vingt ans, pour rejoindre Istanbul il y a six mois. Avec un mari et un enfant, la banquière explique avoir été contrainte de retourner vivre chez ses parents, n’ayant pas trouvé de maison à des prix abordables pour sa famille.

Malgré la politique de resserrement monétaire en augmentant les taux menée par Gaye Erkan, l’inflation ne faiblit pas en Turquie. Elle était toujours autour de 60 % en novembre.

Loyers plafonnés

C’est encore pire pour le prix des logements. En cause, la hausse des coûts de construction et la pénurie de l’offre. Gaye Erkan dénonce le manque de logements sociaux qui entraîne une augmentation des loyers et qui serait « propre à la Turquie » dit-elle avec, dans son viseur, les multi-propriétaires. « Une personne ne devrait pas posséder dix maisons », insiste-t-elle.

Depuis un an et demi, le gouvernement turc a plafonné la révision des loyers des logements à 25 %. Une disposition pas toujours respectée, et les procédures judiciaires entre propriétaires et locataires se multiplient face à cette envolée des prix. »

En Turquie, comme ici, l’idée géniale du moment consiste donc à taxer plus et à réglementer ce qui ne marche déjà pas, en espérant que cela aille mieux.

Je crois que le monde entier a basculé dans la folie et la bêtise.

Charles SANNAT

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Source RFI.fr ici

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