Cela fait plusieurs années que je défends l’idée que les grandes villes (les très grandes et en France nous n’avons que l’Ile de France qui réponde à cette définition), celles tentaculaires qui dépassent les 10 millions d’habitants sont obsolètes. Elles doivent leur essor d’abord à la révolution industrielle qui nécessitait de regrouper dans un même lieu des milliers de bras pour faire tourner les usines. Elles reposent également sur une gabegie énergétique et sur la consommation à outrance de charbon, puis maintenant de pétrole.

La lame de fond c’est effectivement le retour en grâce des petites villes, où il fait bon vivre et où le télétravail permet d’exercer des activités professionnelles pouvant être lucratives.

Les petites villes de demain, sont aussi l’avenir d’une nouvelle organisation du pays en circuits courts et où notre occupation du territoire rendra aussi plus soutenable notre développement économique.

Charles SANNAT

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