POUTINE… HAAAAAAAAAAAAA !! quelle horreur… C’est un monstre… Mon dieu, non, pas luiiiiiiiii !!
Bon, pour son gaz, prière de négocier avec lui et d’alimenter la grande Allemagne de la mère Angela par le chemin le plus court et qui ne passe surtout pas par l’Ukraine, et encore moins par la Turquie d’Erdogan qui, du coup, pourrait nous couper le jus à la moindre contrariété, à savoir par la mer Baltique !
Eh oui, c’est assez comique, mais Poutine devrait redevenir gentil dans les prochains mois…
Charles SANNAT
Alors que l’Europe est divisée quant à la construction du gazoduc Nord Stream 2, la Commission européenne a appelé les pays de l’UE à s’exprimer sur le sujet, précisant que le pipeline ne pouvait pas être exploité dans un « vide juridique ».
La Commission européenne a proposé de négocier avec la Russie sur le gazoduc Nord Stream 2, destiné à acheminer le gaz russe en Allemagne via la mer Baltique, a indiqué mercredi le quotidien danois Politiken.
Dans une lettre adressée au gouvernement danois, la Commission invite les pays membres à se prononcer sur Nord Stream 2, et précise que le pipeline ne peut pas être exploité dans un « vide juridique ».
La Commission demandera aux pays membres l’autorisation d’entamer des négociations avec la Russie afin de parvenir à un accord concernant les principes de base du cadre juridique de l’UE devant être imposés aux projets tels que Nord Stream 2, a déclaré la porte-parole de la commission, Anna-Kaisa Itkonen, citée par Reuters. L’UE est divisée sur la question : les pays d’Europe de l’Est et les pays baltes s’opposent à la construction d’un nouveau gazoduc visant à transporter du gaz russe à travers la Baltique, craignant que l’UE ne devienne l’« otage » de Moscou, tandis que les pays du centre de l’Europe, surtout le principal bénéficiaire, l’Allemagne, privilégient les bénéfices économiques de ce projet.
Le projet Nord Stream 2 prévoit la construction de deux conduites de gazoduc d’une puissance totale de 55 milliards de mètres cubes par an, afin de relier le littoral russe à l’Allemagne via la mer Baltique. Sa construction pourrait nécessiter des investissements à hauteur de 8 milliards d’euros (9,9 milliards compte tenu des emprunts), selon Gazprom.