Hoooooo

Les prévisions de croissance sont en baisse.

Comment vous dire ?

Un gros Hahahahahahahaha peut-être ? Non ? Qu’en pensez-vous ?

Il faut dire que la Banque de France découvre contre toute attente, qu’un virus ARN cela mute tout le temps. Que comme c’est une zoonose, cela passe des animaux aux humains et inversement. Qu’il faut donc vacciner veaux, vaches cochons… et humains, ce qui parfois est la même chose !

Bref, avec la propagation du variant Omicron si effrayant et effroyable, la banque de France est « contrainte » de revoir ses prévisions de croissance…

Affligeant.

Charles SANNAT

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La Banque de France revoit à la baisse ses prévisions de croissance pour 2022

La propagation du variant Omicron du coronavirus lors de la cinquième vague de la pandémie a poussé la Banque de France à revoir à la baisse ses prévisions de croissance pour 2022.
La croissance économique et l’inflation vont ralentir en France en 2022 après un rebond plus fort que prévu cette année, montrent ce dimanche 19 décembre des prévisions de la Banque de France, pour qui l’embellie sur le marché du travail devrait se traduire par une hausse des salaires.

Dans ses projections macro-économiques, la Banque de France a relevé sa prévision de croissance du PIB de la deuxième plus importante économie de la zone euro à 6,7% cette année contre une précédente prévision de 6,3%.

Selon ses prévisions, le rebond économique post-pandémie va l’an prochain s’estomper avec une croissance attendue à +3,6%, puis +2,2% en 2023 et 1,4% en 2024.
Tirée à la hausse par les prix de l’énergie, l’inflation devrait de son côté atteindre 3,5% à la fin de l’année, pour revenir fin 2022 sous la barre des 2%, puis se stabiliser vers 1,7% en 2023 et 2024, soit des niveaux proches de ceux observés avant la crise financière de 2007-2008.

« Après son pic de 2022, la hausse des produits manufacturiers retournerait progressivement vers sa moyenne de long terme, proche de zéro, à mesure que les difficultés d’approvisionnement s’estomperaient », relève la Banque de France.

Sur le front du marché du travail, la Banque de France souligne que la situation s’est normalisée au troisième trimestre par rapport à la situation d’avant la crise sanitaire.
Elle table sur un taux de chômage de 7,8% pour cette année, de 7,9% en 2022 et de 7,7% pour 2023 et 2024.

Source agence de presse russe Sputnik.com ici

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