C’est une dépêche Reuters très alarmiste sur les conséquences du Brexit concernant l’emploi dans les services financiers anglais qui pourraient perdre jusqu’à 75 000 emplois dans les prochaines années.
C’est d’ailleurs la fourchette haute selon la Banque d’Angleterre puisque cela pourrait varier en fonction des termes du divorce entre la Grande-Bretagne et l’Union européenne.
Si ce chiffre peut inquiéter et sembler énorme, en réalité, il ne sera qu’un épiphénomène concernant la City et quelques quartiers londoniens.
En France, 100 000 chômeurs de plus par mois cela s’est vu, hélas, à de nombreuses reprises lors des 10 années de crises que nous vivons depuis 2007.
Le Royaume-Uni saura s’en remettre.
Il y a nettement plus d’inquiétudes à nourrir sur la « robolution » à venir et qui va laminer des millions d’emplois, pas juste quelques milliers.
Charles SANNAT
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