« Les sanctions ne sont pas une alternative à la guerre. ELLES sont une guerre », c’est sur ces paroles que vient de s’exprimer le ministre iranien des affaires étrangères sur son compte Twitter, puisque désormais tout le monde s’exprime « officiellement » sur Twitter…

Ou encore « Celui qui commencera la guerre ne sera pas celui qui y mettra fin. »…

Bref, les Iraniens ne cherchent pas les désescalades verbales, tandis qu’au même moment, Paris, tente désespérément d’expliquer aux Américains, que ce serait bien de ne pas entraîner l’Otan (donc la France) dans une guerre au Proche Orient… la meilleure façon de ne pas se faire entraîner dans une guerre que l’on ne veut pas faire était de rester en dehors de l’OTAN comme ce fût le cas avec la doctrine gaulliste pendant plusieurs décennies.

Merci qui ?

Sarkozy et Hollande…

Charles SANNAT

Une guerre courte? La réponse sans équivoque de l’Iran à Trump

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a affirmé le 25 juin sur son compte Twitter que la «petite guerre» dont parle le Président Trump quant a un potentiel conflit avec l’Iran n’est qu’«une illusion».

La «petite guerre» dont parle le Président états-unien dans le cardre d’une potentielle guerre avec l’Iran est «une illusion» qui met la paix en danger, a estimé le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif le 25 juin sur son compte Twitter.

«La petite guerre avec l’Iran est une illusion.»

«Les sanctions ne sont pas une alternative à la guerre, elles SONT une guerre», a également lancé Mohammad Javad Zarif, toujours sur son Twitter.

De plus, il a souligné que l’«oblitération» était égale à un génocide, donc à un crime de guerre.

« »Oblitération »= génocide = crime de guerre. Quiconque commence la guerre ne sera pas celui-ci qui la termine», lit-on sur son Twitter.

Le 24 juin, Donald Trump a annoncé avoir signé un décret instaurant de nouvelles sanctions «lourdes» à l’encontre de l’Iran et de son Guide suprême, Ali Khamenei. D’après le Président, ces mesures pourraient rester en vigueur «pendant des années».
Après un nouveau volet de sanctions américaines, le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, avait déclaré fin mai que son pays ne cherchait pas à se doter de l’arme nucléaire.

L’Iran a, pour sa part, annoncé qu’il s’affranchirait à partir du 7 juillet de deux autres de ses engagements dans le cadre de l’accord international sur son programme nucléaire, a rapporté mardi 25 juin l’agence de presse iranienne Fars, citant un haut responsable iranien.

Les tensions sont montées d’un cran entre Washington et Téhéran après la destruction le 20 juin par l’Iran d’un drone américain RQ-4A Global Hawk se trouvant, selon Téhéran, dans son espace aérien, ce que contestent les États-Unis.

Précédemment, Washington avait imputé à l’Iran l’attaque de deux pétroliers dans le golfe d’Oman, non loin du détroit d’Ormuz.

Source Agence Russe Sputnik.com ici

Please complete the required fields.