Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Kristalina Georgieva, est la directrice générale du FMI. Vue de France, elle est évidemment nettement moins médiatique que ses prédécesseurs français à savoir DSK puis Christine Lagarde qui a laissé la place à Kristalina pour aller rejoindre la BCE.
Pourtant, la directrice du FMI reste la directrice du FMI et ses déclarations doivent toujours être écoutées, et les dernières sont tout simplement fracassantes !
Les « accords de Bretton Woods » ont été signés en 1944 et font référence à une immense réforme monétaire du système international.
Pour le dire autrement, appeler à un nouveau « Bretton Woods », signifie appeler à une nouvelle réforme monétaire.
Il n’y a en économie pas plus important qu’une réforme monétaire provenant de la refonte du système monétaire internationale.
Cela fait des années que je vous explique qu’au bout de ces crises, l’étape ultime sera la réforme monétaire.
Le cycle est toujours et invariablement le suivant.
Crise financière, crise boursière, crise économique, manque de croissance, plus de dépenses, font plus de déficits et de dettes. Arrive un moment où les dettes sont trop importantes. C’est la crise de la dette. Pour lutter contre les dettes, soit on se met en faillite ce qui est très pénible, soit on imprime de la monnaie ce qui fait croire que c’est moins pénible.
Au bout du bout, une fois les monnaies saccagées, alors… il faut une réforme monétaire.
Comprenez par là qu’il faut annuler les dettes libellées en ancienne monnaie et repartir avec une nouvelle en effaçant les ardoises. Au passage, on ruine les épargnants. Un grand classique de l’histoire du monde.
Je vous laisse prendre connaissance des propos de la Directrice Générale et le soin de les méditer pour ce qu’ils impliquent !
Un nouveau moment Bretton Woods
Kristalina Georgieva, Directrice Générale du FMI Source site FMI ici
« C’est en réfléchissant à l’évolution dramatique que nous avons connue pendant l’année écoulée que je me suis rendue à Bretton Woods, dans l’État du New Hampshire, où 44 hommes ont signé nos Statuts en 1944. Les fondateurs de nos institutions devaient s’atteler à deux tâches gigantesques : remédier au plus vite aux ravages causés par la guerre et jeter les bases d’un monde plus pacifique et plus prospère.
À l’issue de la conférence, John Maynard Keynes avait saisi à quel point la coopération internationale pouvait être porteuse d’espoir pour le monde. « Si nous pouvons continuer… la fraternité humaine sera devenue plus qu’une phrase », avait-il dit.
Tandis que nous nous réjouissons d’accueillir notre 190e pays membre, Andorre, le travail du FMI témoigne des valeurs de coopération et de solidarité sur lesquelles reposent la fraternité et la sororité humaines.
Aujourd’hui, nous vivons un nouveau « moment » Bretton Woods. Une pandémie qui a déjà fait plus d’un million de morts. Un désastre économique qui réduira la taille de l’économie mondiale de 4,4 % cette année et devrait amputer la production de 11 000 milliards de dollars d’ici à l’an prochain. Et un immense désespoir humain face à des bouleversements gigantesques et à l’augmentation de la pauvreté, pour la première fois depuis des décennies.
De nouveau, nous devons nous atteler à deux tâches colossales : combattre la crise aujourd’hui et construire un avenir meilleur.
Nous savons ce qu’il nous appartient de faire dans l’immédiat. Seule une victoire contre la pandémie permettra un redressement économique pérenne. Les mesures sanitaires demeurent une priorité : je vous engage vivement à favoriser la production et la distribution de traitements et de vaccins efficaces pour veiller à ce que tous les pays y aient accès.
Je vous engage aussi à continuer d’aider les travailleurs et les entreprises jusqu’à une sortie durable de la crise sanitaire.
À l’échelle mondiale, des mesures budgétaires ont été prises à hauteur de 12 000 milliards de dollars. Les principales banques centrales ont gonflé leurs bilans de 7 500 milliards de dollars. Ces mesures synchronisées ont évité les effets de rétroaction macrofinanciers destructeurs que nous avons observés au cours de crises précédentes.
Cela dit, la quasi-totalité des pays connaissent encore des difficultés, surtout les pays émergents et les pays en développement. Et si le système bancaire mondial a abordé la crise avec des volants élevés de fonds propres et de liquidités, certaines banques sont fragiles dans bon nombre de pays émergents. Nous devons donc prendre des mesures pour éviter l’accumulation de risques financiers à moyen terme.
Nous nous trouvons au début de ce que j’ai appelé une longue ascension pour l’économie mondiale : la montée sera rude, accidentée, incertaine — et sujette à des contretemps.
Mais c’est une progression. Et nous aurons la possibilité de nous attaquer à certains de nos problèmes persistants : faible productivité, croissance lente, inégalités élevées, crise climatique imminente. Nous pouvons faire mieux que reconstruire le monde d’avant la pandémie : nous pouvons aller de l’avant et construire un monde plus résilient, plus durable et plus inclusif.
Nous devons saisir l’occasion que présente ce nouveau « moment » Bretton Woods.
2. Trois impératifs pour construire un monde nouveau
Comment nous faut-il procéder ? En respectant trois impératifs.
Premièrement, les bonnes politiques économiques. Ce qui était vrai à Bretton Woods est encore valable aujourd’hui. Des politiques macroéconomiques prudentes et des institutions solides sont indispensables à la croissance, à l’emploi et à l’amélioration du niveau de vie.
Il n’y a pas de panacée : l’action doit être adaptée aux besoins de chaque pays. Il demeure essentiel d’apporter un soutien pendant un certain temps : un retrait prématuré risque de provoquer des dégâts sérieux et injustifiés. L’état d’avancement de la crise déterminera le type de soutien nécessaire, qui sera généralement plus global au début, puis plus ciblé à mesure que les pays commenceront à se redresser.
De solides cadres de politique monétaire, budgétaire et financière à moyen terme, ainsi que des réformes visant à stimuler le commerce, la compétitivité et la productivité peuvent contribuer à créer un climat de confiance propice à l’action, tout en développant une résilience indispensable pour l’avenir.
Il s’agit notamment de bien surveiller les risques que représente une dette publique élevée. Nous nous attendons à ce que les niveaux d’endettement augmentent sensiblement en 2021, pour avoisiner 125 % du PIB dans les pays avancés, 65 % du PIB dans les pays émergents et 50 % du PIB dans les pays à faible revenu.
Le FMI allège la dette de ses pays membres les plus pauvres et, conjointement avec la Banque mondiale, nous souscrivons à une prolongation de l’initiative de suspension du service de la dette par le G20.
En outre, lorsque la dette est insoutenable, elle doit être restructurée sans tarder. Nous devons accroître latransparence de la dette et renforcer la coordination des créanciers. Je juge encourageants les entretiens du G20 concernant un dispositif commun de résolution de la dette souveraine et notre appel à améliorer l’architecture de la résolution de la dette souveraine, y compris la participation du secteur privé.
Nous sommes aux côtés de nos pays membres, pour les aider à mettre en œuvre leurs politiques.
Des politiques au service des populations : c’est mon deuxième impératif.
De bonnes politiques économiques ne portent pleinement leurs fruits que si nous investissons davantage dans les populations. Cela passe par la protection des groupes vulnérables. Cela passe aussi par la valorisation du capital humain et physique, gage de croissance et de résilience.
La COVID-19 a révélé l’importance pour les pays de disposer de systèmes de santé solides.
La hausse des inégalités et l’évolution rapide des technologies exigent de disposer de systèmes d’éducation et de formation solides, à même d’augmenter les débouchés et de réduire les disparités.
Une accélération des progrès en faveur de l’égalité femmes-hommes peut changer la donne au niveau mondial. Dans les pays les plus inégalitaires, combler l’écart entre les hommes et les femmes pourrait faire augmenter le PIB de 35 % en moyenne.
Investir dans notre jeunesse, c’est investir dans notre avenir. Les jeunes doivent avoir accès à la santé et à l’éducation, et aussi à Internet, parce qu’ils ont ainsi accès à l’économie numérique, si importante pour la croissance et le développement à l’avenir.
En faisant en sorte que la population d’Afrique subsaharienne qui a accès à Internet augmente de 10 %, il serait possible de faire augmenter la croissance réelle du PIB par habitant de 4 points de pourcentage.
Le passage au numérique contribue aussi à faire de l’ inclusion financière un outil puissant de réduction de la pauvreté.
La pandémie nous a non seulement démontré que nous ne pouvions plus nous permettre de négliger certaines précautions sanitaires, mais aussi que nous ne pouvions plus ignorer le changement climatique — mon troisième impératif.
Nous nous soucions du changement climatique, parce qu’il est décisif au niveau macroéconomique : il constitue une grave menace pour la croissance et la prospérité. Il est aussi décisif pour les populations et pour la planète.
Les dégâts causés de manière directe par les catastrophes climatiques au cours de la dernière décennie sont chiffrés à environ 1 300 milliards de dollars. La crise climatique s’annonce tout aussi dévastatrice que la crise sanitaire.
D’après l’une de nos études, nous pouvons viser la fin des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2050 et créer des millions de nouveaux emplois, à condition d’associer dans des proportions adéquates les investissements verts et l’augmentation des prix du carbone.
Nous avons une chance historique à saisir : celle de construire un monde plus vert, mais aussi plus prospère et plus riche en emplois. Les taux d’intérêt ont atteint des planchers ; il faut en profiter pour faire aujourd’hui des investissements judicieux, qui seront quadruplement payants demain : ils nous éviteront de futures pertes, stimuleront les gains économiques, sauveront des vies, et bénéficieront à tous sur les plans social et environnemental.
3. Le rôle du FMI
Le FMI travaille sans relâche pour favoriser une reprise durable — et un avenir résilient, tandis que les pays s’adaptent aux transformations structurelles causées par le changement climatique, l’accélération du passage au numérique et l’essor de l’économie du savoir.
Depuis le début de la pandémie, nous avons engagé plus de 100 milliards de dollars, et nous disposons encore de ressources considérables grâce à une capacité de prêt de 1 000 milliards de dollars.
Nous continuerons d’accorder une attention particulière aux besoins urgents des pays émergents et des pays à faible revenu, en particulier les pays de petite taille et les pays fragiles, en les aidant à payer les personnels de santé et à protéger les ménages et les secteurs économiques les plus vulnérables.
Les mesures sans précédent que nous avons prises n’auraient pas été possibles sans les généreuses contributions de nos pays membres. Le doublement des nouveaux accords d’emprunt et une nouvelle série d’accords d’emprunts bilatéraux préservent notre capacité de prêt. Les pays membres ont aussi apporté des contributions essentielles à notre fonds fiduciaire d’assistance et de riposte aux catastrophes et à notre fonds fiduciaire pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance.
Cela nous a permis d’aider nos pays membres à faible revenu en allégeant leur dette et de tripler nos prêts concessionnels. Nous dialoguons avec nos pays membres en vue d’accroître encore notre capacité d’octroyer des prêts concessionnels, d’adapter nos mécanismes de prêt et de renforcer notre appui au développement de leurs capacités.
Les services du FMI, qui travaillent nuit et jour, accomplissent un travail formidable durant cette crise. Je tiens à les remercier du fond du cœur, ainsi que mon équipe de direction.
J’aimerais également saluer nos administrateurs, qui ont travaillé constamment à nos côtés au cours des six derniers mois.
4. Conclusion : une occasion à saisir
La meilleure manière d’honorer la mémoire de tous ceux qui ont perdu la vie au cours de cette crise est, pour reprendre les mots de M.Keynes, de construire « quelque chose de plus grand » : un monde plus durable et plus équitable.
Les fondateurs de nos institutions l’ont fait. C’est maintenant à notre tour. Le moment est venu ! »
Impressionnant discours !
Tout y est ou presque sous-entendu ou dit ouvertement. D’un nouveau système monétaire à l’insoutenabilité des dettes qu’il faudra effacer, on avance dans la sémantique.
Dernier élément de réflexion que je voulais partager avec vous, les accords de Bretton Woods consacrèrent la convertibilité du dollar en or. C’était donc une forme d’étalon-or.
Lorsque Kristalina Georgieva la patronne du FMI appelle à un nouveau Bretton Woods dans l’imaginaire de beaucoup, le métal jaune n’est pas loin.
Je ne pense pas qu’il faille comprendre ici que le FMI prépare un retour en fanfare de l’or et vous savez à quel point je pense que l’or est un des meilleurs actifs pour passer les moments difficiles que sont les nôtres.
Je pense qu’ici Kristalina Georgieva fait référence, avant tout, à une immense réforme monétaire qui aura pour objet de masquer et de résoudre l’insolvabilité généralisée.
Je vous alerte à ce sujet depuis plusieurs années et j’ai chroniqué à vos côté les évolutions de la situation. Nous y arrivons.
La réforme monétaire vient.
Elle sera terrible pour les patrimoines.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
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« Ceci est un article « presslib » et sans droit voisin, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
« Le cycle est toujours et invariablement le suivant. »
Dans le monde d’avant ….
Vous aurez remarqué, Charles, que plus aucune théorie économique ne permet d’expliquer ce qu’il se passe aujourd’hui.
L’impensable économique se réalise au quotidien (taux d’intérêt négatifs entre autres).
Nous ne sommes pas au bout de nos surprises quant aux nouvelles routes prises par notre société.
La collectivité sera prête à tout accepter, même l’impensable, tant que cela fait durer la fête.
Il n’y a que la raréfaction des ressources naturelles (le fameux mur du réel dont l’évocation fait vomir tant d’utopistes) qui stoppera cette machine infernale.
D’après l’une de nos études, nous pouvons viser la fin des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2050 et créer des millions de nouveaux emplois, à condition d’associer dans des proportions adéquates les investissements verts et l’augmentation des prix du carbone.
Pas très sérieux (dans trente ans ?), si le reste est à l’avenant ! Non ?
La ruine des épargnants, ça a commencé et ça risque de continuer….c’est pas Mitterrand puis Hollande qui avaient rêvé de la mort des rentiers…épargnant/rentier? ?
En clair : taxer au maximum les dépôts tel qu’ils soient par taux négatif, frais divers et consommer en un mode unique » à credit » pour booster la consommation !.
Bonjour , n’oublions que quand il était fait allusion à l’extrème faiblesse des théories de cet inverti de Keynes en lui demandant comment il comptait s’en sortir après ,il répondait « après nous serons tous morts ».Quand je pense que l’on continue d’apprendre a nos élites ces théories !!! je ne suis pas surpris des échecs retentissants engendrés .Il serait bon d’aller faire un tour chez Von Misses et Maurice Allais notre seul prix nobel d’économie ,c’est un peu plus sérieux
Elle cite Keynes plutôt que Friedman , ce qui est déjà un signal très fort et une petite révolution dans le monde libéral !
En matière d’économie , les erreurs commises ,aussi grandes soient-elles, ne sont que provisoires , mais elles peuvent faire beaucoup de dégâts .
A gerber la mamamouchis du FMI….
Je pars de suite faire une réserve de pq….
Aux examens des diplômes d’economie les examinateurs attendent toujours des candidats qu’ils repetent les mêmes âneries keynesiennes !
Que ce soit sur le plan sanitaire ou économique, on lui a bien lavé le cerveau !!!
« Nous nous soucions du changement climatique, parce qu’il est décisif au niveau macroéconomique : il constitue une grave menace pour la croissance et la prospérité. ‘
Ce n’est pas plutôt la croissance telle que nous la considérons qui est une menace pour l’écologie?
Le mot croissance revient souvent, car le service de la dette, en son absence, ne tiendra que par des taux de plus en plus négatifs. L’insécurité et la croissance ne vont pas ensemble, avec ou sans vaccin les jeux sont faits, rien ne va plus.
ou en d’autres termes, ils ont cassé le thermomètre, plus personne ne soit s’il est fiévreux ou pas. Nous sommes en mode poulets de batterie avec prophylaxie générale.
C’est une crise Seldon !
Regarde bien
Regarde bien…
Et HOP…
Hula Hup Barbatruc …..
Franchement je vomi leur langage faux, satanique, derrière les « bonnes intentions » il y a l’avenir de la tyrannie sans nom et de la mort des milliards de gentils…
J’espère que l’enfer existe
Ca sent le SAPIN (loi)
Alors, je résume :
1. On continu d’arroser les multinationales des copains avec l’argent extorqué aux PME et aux contribuables
2. Vaccin obligatoire, big brother 2.0 et transhumanisme; sans oublier l’Afrique bien sûr, on va les mettre au boulot.
3. Le FMI sera là pour tout gérer (et se goinfrer).
4. On va vous niquer encore plus dans l’avenir.
Avant la guerre de 14-18, mes aïeux avaient touché une somme rondelette en francs or et tous avaient pu acheter une maison. Malheureusement, mon arrière grand père est parti au front et quand il est revenu de la guerre, avec la même somme que ses frères, il a juste pu acheter une armoire et un lit en contreplaqué !
Bonjour, on voit bien comment ils respectent un planning bien préparé, bien concerté, chaque étape que nous vivons en prépare une autre. Chaque décision est justifiée par le respect de ce planning. » Mais que font ils ? C’est insensé ? C’est en contradiction avec la bonne gestion d’un pays, non ? » Mais non, mais non, ces gens là sont des personnes qui réfléchissent comme vous et moi, c’est juste qu’ils répondent à une stratégie. Tout est bien huilé et certains croient qu’il dérapent.
J’avais fait allusion la semaine passée à un article datant de 1993, publié dans feu le Journal des Finances. Nous y sommes, tout était déjà décrit dans les détails. Il est certain que ce sont les séniors, détenteurs de la majorité du patrimoine (merci les 30 glorieuses !) qui paieront les errements de nos mamamouchis depuis 1/2 siècle (budgets votés systématiquement en déficit). Ainsi Bercy pourra (peut-être ?) respecter le « pas ne nouveaux impôts » en spoliant nos ainés.
Séniors, faites des provisions de raviolis et de PQ
Fatuité à gerber de psychopathes qui ont un autre agenda qu’ils appellent aujourd’hui « le grand Reset » pour éviter de dire « gouvernement mondial » que les peuples commencent péniblement à intégrer.
Merci, toujours aussi clair.
On a les fautifs: réchauffement et virus!
Sans eux, on aurait pu désigner nos dirigeants comme responsables, quelle injustice!
Que du bullshit, le simple fait de mentionner plusieurs fois la croissance signifie soit une profonde malhonnêteté intellectuelle, soit une ignorance et une stupidité totale -ce qui n’est pas impossible-. Sans oublier le rôle du FMI dans la destruction des économies des différents pays et surtout son asservissement aux réels propriétaires du monde. Mérite juste des baffes!
Mais…. Kristalina c’est une mère TeTeresa pour notre planète !11
Bonjour à tous,
On se demande si cette dame vit sur terre ou sur une autre planète.
Elle affirme péremptoirement : « Des politiques au service des populations … De bonnes politiques économiques ne portent pleinement leurs fruits que si nous investissons davantage dans les populations. Cela passe par la protection des groupes vulnérables. Cela passe aussi par la valorisation du capital humain et physique, gage de croissance et de résilience … Les mesures sans précédent que nous avons prises n’auraient pas été possibles sans les généreuses contributions de nos pays membres».
Vraisemblablement, elle oublie que les « généreux pays membres » ont contribué à réduire drastiquement la population des pays émergents et pauvres. Il suffit de considérer, entre autres, les pays du Moyen-Orient : de l’Irak à la Libye en passant par la Syrie, le Liban ou le Yémen. Les généreux pays membres l’ont particulièrement été avec le bombes qu’ils ont déversées et qu’ils continuent toujours à déverser sur les populations civiles, particulièrement sur le Yémen, l’un des pays les plus pauvres de la planète ! Sous prétexte de leur « imposer » la démocratie, ce qui, en soi, est très démocratique ! Un peu de sérieux madame !
En plus, elle évoque le changement climatique et la crise du covid.
Il me semble que le siège du FMI est à Washington, mais apparemment, cette (grande) dame n’y vit pas et ne connaît pas les sorties du président américain sur ces deux sujets, ce qui prouve que la langue de bois n’est pas une spécificité française. Et après cela il faut la prendre au sérieux. Avec un peu d’effort on pourrait y arriver, peut être.
Michel Jobert ….
En 1984
Question posee
Ies accords de breetonwood
Sont a l’origine du dereglement eco/fi
Reponse de Michel .J
Ce. N’est pas le sujet
Et aujourd’hui .
E
Les conclusion de la dame Bulgare du FMI sont parfaitement en phase avec les objectifs affichés du Great Reset de Lagarde et de Forum Economique de Davos (Klaus Schwab).
Un retour à l’étalon or et une revalorisation instantanée de 500% du prix de l’or aurait pour effet mécanique de diviser par 5 les stocks de dette mondiale (du coup la France par exemple n’aurait plus que 20% de dette).
Par ailleurs les banques centrales pourraient ouvrir des comptes à chaque citoyen, court-circuitant les banques et mettant en place un revenu universel (bientôt rendu nécessaire par la suppression des emploi via l’intelligence artificielle).
A brave new world
C’est du grand bla-bla mais qui fait écho au vœux de C.Lagarde en 2014, dans lequel on lui avait probablement « soufflé » de prononcer le chiffre 7. Discours codé à l’intention des « sachants » et de certains chefs d’Etat…. ( tout comme le discours de Macron qui contient 3 fois le chiffre 6….) Pour revenir à notre nouvelle princesse téléguidée, elle redit l’imminence du grand reset dont madame Christine nous prévenait il y a 7 ans et dont elle donnait l’ordre (et) ou le coup d’envoi ! Vous n’allez pas me dire que ce discours dévoile un plan concret et bénéfique pour l’humanité!? Bien au contraire, la perversité de ceux qui détiennent le vrai pouvoir par l’intermédiaire de la Haute finance, nous prépare un «contre » Btretton-Woods! N’oubliez pas que nous sommes en plein monde Orwellien où la guerre c’est la paix et la santé, la maladie. Donc on nous fait miroiter l’étalon or qui brille de tous feux pour nous faire avaler son absolu contraire, le grand reset, l’abolition de la monnaie, la ruine des épargnes et le contrôle mondial sur une population à qui on inculque la terreur et qui, appauvrie et affamée, se rendra à ses bourreaux. Tous les ingrédients sont présents dans ce discours telle la mélodie de la flûte enchantée….Pandémie, réchauffement climatique, les plus pauvres…. baratin! Heureusement que, d’autres forces moins perverses se préparent à balayer tout ça… Nous en saurons déjà plus le 3 novembre….
Allez… au boulot lundi (nouveauté: avec la muselière) faire marcher la France !
Discours de bobo typique. Elle ferait mieux de relire Dennis Meadows et al, « The limits to growth ». Le seul ouvrage intelligent, jamais écrit par des économistes. Pour la bonne raison que Meadows et ses collaborateurs n’étaient pas économistes…
Quelques infos off en provenance du Canada. Source anonyme, donc à prendre comme simple info… pour l’instant. En attendant confirmation par des voies plus officielles:
Je vous fais part des informations provenant du comité de planification stratégique, qui est dirigé par le bureau du Premier ministre, le PMO. On nous a dit que pour compenser ce qui était essentiellement un effondrement économique à l’échelle internationale, le gouvernement fédéral allait offrir aux Canadiens un allégement total de la dette. Le gouvernement fédéral va proposer d’éliminer toutes les dettes personnelles (hypothèques, prêts, cartes de crédit, etc.) avec tous les fonds fournis au Canada par le FMI dans le cadre de ce qui sera connu sous le nom de « Programme de rééchelonnement de la dette mondiale ». En échange de l’acceptation de cette remise totale de la dette, l’individu perdra à jamais la propriété de tous ses biens et actifs. L’individu devra également accepter de participer au programme de vaccination COVID-19 et COVID-21, qui lui permettra de voyager et de vivre sans restriction, même en étant totalement enfermé, grâce à l’utilisation d’une pièce d’identité avec photo appelée « HealthPass » du Canada. Les membres du comité ont demandé qui deviendrait le propriétaire des biens et actifs confisqués dans ce scénario et ce qui arriverait aux prêteurs ou aux institutions financières, nous a-t-on simplement répondu. « le Programme de rééchelonnement de la dette mondiale s’occupera de tous les détails ». Ce ne sera pas seulement le Canada, mais en fait toutes les nations auront des feuilles de route et des programmes similaires.
Que de blabla pour ne pas dire qu’on continuera dans le libéralisme source de tous nos maux.