Voici un effondrement assez spectaculaire des cours du pétrole. L’Arabie saoudite n’y est pas étrangère. Trump veut un pétrole bas pour permettre de stimuler l’économie et Trump sait très bien qu’un pétrole cher avec des taux qui montent, c’est le krach assuré.
Pour contrebalancer la politique de hausse de taux de la FED, Trump a tapé du poing sur la table auprès de ses gros partenaires pour faire baisser les cours et, de façon très pragmatique, il a laissé quelques mois à certains pays pour continuer à profiter du pétrole iranien.
Le marché est donc bien approvisionné.
Ce ne sera plus le cas à partir du second trimestre 2019.
Charles SANNAT
