Chaque année c’est la même histoire qui déroule le narratif de la propagande réchauffiste.

Je ne conteste pas le changement climatique.

Je conteste le narratif qui consiste à faire prendre par les gens le retour des beaux jours pour une nouvelle catastrophe globale.

Même le beau temps nous devons mal le vivre.

Même le beau temps doit nous faire déprimer parce que vous comprenez il va même y avoir « jusqu’à 35° en ressenti »… et on recommence la machine à faire peur.

Si vous faites tous l’effort de vous souvenir, il y a deux ans, lors du premier confinement nous étions en mars, il faisait un temps magnifique. Superbe. Il faisait beau et chaud ! Encore plus tôt dans l’année. Mais il n’était pas utile de vous faire peur avec le temps, et puis mieux valait ne pas vous en parler puisque vous n’aviez pas le droit de sortir en profiter.

Mais cette année, il faut pousser la transition énergétique. Accélérer l’agenda 2030.

Il faut donc faire trembler la ménagère de 50 ans en lui promettant les pires souffrances, et chaque jour de soleil doit être mis à profit pour vous faire croire qu’il s’agit du réchauffement climatique. Avoir chaud c’est terrible. Horrible.

Et en plus, vous savez quoi ?

Quand il fait beau il ne pleut pas !

Et s’il ne pleut pas… alors nous allons tous mourir de sècheresse.

Ayez peur du beau temps.

Déprimez.

Soyez triste.

Ne vous inquiétez pas.

Les anti-dépresseurs sont pris en charge par la sécurité sociale et nous en avons toute une gamme pour être certain de trouver celui qui nous ira le mieux.

Charles SANNAT

 

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