Même le Figaro le dit… (source ici)

« La dette publique, on le sait, n’en finit plus de s’envoler. Ce n’est pas nouveau mais la crise a accéléré le phénomène. Ce vendredi, l’Insee a rendu publiques les données relatives au 1er trimestre 2021, soit au bout d’un an de pandémie. Le résultat est apocalyptique: +89 milliards d’euros de dette en trois mois, pour atteindre désormais… 2739,2 milliards d’euros, du jamais vu, soit 118,2 % du PIB. Stratosphérique, comme l’est d’ailleurs l’évolution comparée à la fin 2019, juste avant la crise: +359,7 milliards d’euros et +20,6 points de PIB. À ces niveaux, on explore des univers inconnus »…

Oui, c’est la terre inconnue, enfin, uniquement pour les naïfs, c’est juste une figure rhétorique du Figaro, car on sait très bien ce qu’il se passe quand un pays a trop de dettes !

Il n’y a aucune inconnue à cela.

Le résultat c’est toujours la faillite.

Elle peut être directe et violente.

Elle peut être lente et rampante.

Elle peut être masquée par l’inflation dévorante.

Mais dans tous les cas, quand il y a trop de dettes, cela se finit mal… en géééé-néééé-raal comme le dit la chanson !

Charles SANNAT

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