Quand l’Etat décide de nous protéger en nous empêchant d’aller faire du ski, il y a derrière ces fermetures « administratives » d’immenses situations de détresse et des drames personnels qui se jouent.

Non, tout le monde n’est pas couvert par les aides.

Loin de là.

Le nombre de situation sans assistance est même assez important et il existe de trop nombreux angles morts.

Enfin, aider, c’est indispensable, nécessaire, mais… ce n’est pas une fin en soi.

Le débat devrait porter uniquement sur ce que l’on pourrait ouvrir en limitant les risques avec une politique véritable de risques calculée.

Quel est le risque dans une remontée mécanique ou tout le monde peut-être ganté et masqué ?

Où se contamine-t-on ? Pas de réponse. Au supermarché ? En entreprise ? Où attrape-t-on ce virus ? A l’école ?

Quand se contamine-t-on ? Pas de réponse (un asymptomatique est-il contagieux ? A priori non).

Comment se contamine-t-on ? Pas de réponse. Par les mains ? Par l’air ? Les deux ?

Sans ces réponses, on ferme tout, on s’enfonce, et collectivement aucun choix ne nous est proposé.

Charles SANNAT

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