Boris Johnson est désormais le grand favori pour rejoindre le 10 Downing Street, pour succéder ainsi à Theresa May, qui ne laissera pas un souvenir impérissable à nos amis Anglais.

« Le mandat du pire Premier ministre britannique d’après-guerre touche maintenant à sa fin. […] Elle ne manquera à personne », a commenté le quotidien The Telegraph !

C’est une volée de bois vert.

Concernant le dernier débat et en attendant le vote des militants Jeremy Hunt, estime lui aussi qu’il faut des « changements profonds » à l’accord négocié avec Bruxelles et il a même dit que « ce serait un grand honneur de servir Boris », ce qui revient à faire allégeance publiquement à Boris Johnson qui ira conduire les Anglais dans les eaux tumultueuses du Brexit appuyés néanmoins par les Américains et le camp Trump.

On se dirige donc vers ce que l’on appelle le « no deal » et le « hard brexit », issue qui était logique et prévisible dès le départ, puisqu’un accord qui répète les règles de l’Union Européenne et ses obligations, n’est pas un Brexit ni une reprise de souveraineté anglaise.

Charles SANNAT

Source Ouest-France ici

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