Là je dois vous avouer que j’ai presque eu du mal à y croire.
On peut penser ce que l’on veut du jeune Gabriel Attal, qu’il est trop jeune ou brillant, on peut être pour ou contre, mais à ce niveau de fayotisme on atteint des records olympiques qui ne seront certainement pas battus lors de JO de Paris.
C’est ridicule et affligeant.
Ce n’est plus de l’analyse politique, même la propagande soviétique n’osait pas aller aussi loin.
Vous entendrez d’ailleurs les autres journalistes se marrer ostensiblement.
Car si Gabriel parle fort bien, il est bien jeune pour de telles fonctions, surtout, que les savonneurs de planches ne manqueront pas pour lui rendre les choses difficiles.
Quant à la phrase stupide reprise en boucle “Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années”, il convient tout de même de rappeler le bon sens.
Une âme bien née avec beaucoup d’expérience et de travail est bien plus efficace qu’une âme bien née trop jeune et sans expérience.
⚡🇨🇵CITATION – “C’est quoi le sens étymologique de Gabriel dans la Bible ? C’est la force de Dieu. C’est le bras armé de Dieu, notamment pour protéger contre les anges rebelles. Il est missionné pour protéger Dieu, c’est-à-dire Macron, lors des prochaines européennes”, Christophe… pic.twitter.com/xZgoT9yNQ1
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) January 11, 2024
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire [email protected]
Pour écrire à ma femme [email protected]
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
“.Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant”
Ecclésiaste 10:16-18
Collabo !
Je partage les propos de ce journaliste, ayant vu le nombre de fois où l’Attal Gabriel, pendant ses discours, se frottait le pif, il est saint d’esprit de penser que la France sur les rails il remettra.
Les rails de cocaïne bien sur.
Il n’est pas le seul young leader parvenu aux plus échelons très jeune, voir Finlande, Nouvelle Zélande, Canada, Autriche, la calamiteuse Bearbock (ministre des affaires étrangères allemande qui déteste le nucléaire civil mais adore le militaire) et un rien plus âgé Belgique, … L’occident est largement dominé par des blancs-becs bien soumis aux Américains (qui par contre font dans la gérontocratie, comme c’est bizarre).
Il y en a même une – Nouvelle Zélande je crois – même pas assez mûre pour supporter la pression et a démissionné pour cause de burn-out !
Bonjour. Je n’arrête pas d’avoir mal au ventre de rire!!!
Bonjour Charles, non mais vous vous faîtes du mal à regarder BFMTV et la TV en général.
Les journalistes prennent leurs auditeurs pour des lapins de quatre semaines :-D.
Vous savez, la vérité triomphe jamais mais ses adversaires meurent !
On est pas obligé de prendre ça au 1er degré…
quelle est cette belle danseuse ailée.? sera-telle bien accueillie dans le monde arabe..? peut être à “la” mec ?
A genou , mécréant !……………
Amitiés
Et surtout c’est faux. Gabriel est le messager de Dieu. Le bras armé c’est Michel. Tant qu’à vouloir être messianique autant être d’abord un tant soit peu cultivé.
Ce Gabriel est plutôt satanique.
Je me suis demandé si je dormais et rêvais, à lire cet éditorialiste. Ce monde est de plus en plus délirant.
Le retour du moyen age
Christophe Barbier, un gibier de premier choix pour des révolutionnaires , pour se faire la main.
Moi perso quand j’implore mon archange (St Michel) je vois des étincelles et des éclats de lumière devant mes yeux. Une sensation de picotement chaud souvent dans la tête m’envahit.
Je vais en parler à mon ophtalmo quitte à passer pour une personne au cerveau fatigué !!
Concernant Christophe Barbier ce n’est pas l’écharpe rouge qu’il devrait arborer mais plutôt un nez rouge comme les clowns.
Il est en perte de vitesse et au lieu de faire une chronique politique sérieuse il fait rire comme quoi la politique est liée au cirque.
Cette sortie de Christophe Barbier résume assez bien notre époque : des gens surexposés médiatiquement qui racontent des âneries toujours plus grotesques, auxquelle on peine à imagine qu’ils croient eux-mêmes.
Tout le monde sait que c’est absurde.
Tout le monde trouve que c’est ridicule.
Mais il faut bien que le cirque tourne encore un peu avant la faillite.
Ces gens sont finis, et feignent de l’ignorer.
Alors là, même mitterand doit être “sur le cul” !!!!
comparer le morveux et lui l’universelle araagne !!!
La seule chose que le mioche a mieux réussi que lui, c’est de detruire les institutions gauliennes ou du moins ce qu’il en restait.
On nage en plein délire chez le Barbier de service …!!!
Comment peut on faire un cocktail (de religion + de politique) si ce n’est pour enfumer les personnes très très faibles d’esprit…
Mr Barbier qui apparemment ne sait plus quoi inventer pour se mettre en avant, recherche-t-il “Une Promotion” en tentant de flatter et de cirer les chaussures du Nouvel “Aspirant” 1er Ministre….???
On se croirait revenu à La Cour du Roi et des Flatteries Florentines de ses courtisans… :
“Oh Mon Vénéré Seigneur, que vous êtes Joli, que vous me semblez Beau… Sans mentir Si Votre Ramage se rapporte à Votre Plumage, Vous êtes Le Phoenix des Hotes de ces Bois…” …
Ahaha… 🙂
Comme disait un certain Lully, musicien de Louis 14 :
“Flattez Messires, Flattez …!!!
il en restera toujours quelque chose …” 🙂
cela ne m’étonne pas du clown avec l’écharpe rouge !
cela en dit long sur la faillite intellectuelle de notre société
Merde alors ! J’aurais dû appeler mes fils Gabriel 1 et 2
Gardons l’humour ! Merci Charles !
Tenez, par exemple ; le dernier empereur romain, Romulus Augustule avait 15 ans … on s’en rapproche ! ouf !
BONJOUR Monsieur “je sais tout ” l’homme à l’écharpe rou-ge, apparemment a confondu l’Archange Gabriel ,avec l’Ar-change Mickaêl. Ce dernier est le bras armé de Dieu,Prince des Milices Celestes .Gabriel est le messager .Sauf erreur.Je ne suis pas un spécialiste en la matière. Je demande l’indul gence .Merci !
De l’interview de l’intéressé par un certain Gaspard2 il y a quatre ans, il ressort qu’il est le clone de qui vous savez:
– opportunisme politique
– admirateur des smart-city et autres start-up notamment médicales (ça ne vous rappelle rien?, voir sa déclaration sur les non-vaccinés)
– “du passé faisons table rase”
– stigmatisation de l’extrême-dröaaaate, père et fille (bravo le respect du pluralisme), et même je vous le donne en mille, du malheureux Fillon, “professionnel de la politique qui a osé se présenter vers ses 60 ans, “nous, jeunes loups opportunistes ça ne nous arrivera jamais). Lequel a été poussé vers la sortie que l’on sait.
Reste à savoir qui tire les ficelles de ces marionnettes juvéniles malléables bien qu’elles s’en défendent, et là aussi, j’ai la réponse.
Il partage avec moi le nom d’un des trois archanges….
En même temps venant d’un amateur de l’écharpe rouge si chère à mites en rang… Je sais, je sors.
ni pardon ni oubli pour cette ordure
Il n’y a guère que le petit monde médiatico-politique qui s’intéresse à tout ce cirque ! Les autres savent que cela ne changera rien sur l’essentiel …
Il est affligeant de constater que même l’eschatologie s’est mise au service de la propagande … Micron et ses sbires sont probablement des êtres de lumière mandatés par le Tout Puissant pour lutter contre les êtres de l’obscurité (Cela nous a été servi il n’y a pas longtemps dans un autre contexte) car la bête est là ne l’oubliez pas . Dommage que le ridicule ne tue pas car cela ferait des ravages. Rien ne nous sera épargné.
Excellente journée à vous tous et ne lâchez rien les amis.
L’aspect messianique n’est pas à négliger, la France est sous occupation étrangère (dont il est interdit de parler) et pendant que cette occupation fait la guerre au christianisme et que l’on renie la France née du baptême de Clovis, qu’on déboulonne nos statues, que l’on détruit nos calvaires sous couvert de fanatisme laïcard (qui est une religion), le fond reste le même. Ces gens sont les singes de Dieu et ils font une guerre mortelle à la France et à son peuple, qui, après 200 ans de propagande a renié son identité et sa foi. Ces discours sont loin d’être délirants, ils cacheront de moins en moins leur convictions. Le tour de force du Diable a été de faire croire qu’il n’existait pas. je peux vous assurer que ces gens là, eux, le serve avec ferveur le Diable et que leur symbolique omniprésente le confirme. Lisez Pierre Hillard et Alain Pascal, on ne peut dissocier le spirituelle du matériel, le visible de l’invisible, même les traditions primitives l’avaient compris, mais nos contemporains ont perdu la raison, alors ils rient sottement.
Je pense que Christophe Barbier essaie de passer dans la caste de niveau supérieur !
La République Française, athée et laïque( ce qu’il en reste) verse dans le christianisme…Cela fait sourire! Le journaliste à l’écharpe rouge racle les fonds de tiroir sur BFM.
Et ceux qui sont en dehors de la macronie sont des démons, les esprits du Mal, le pognon (Mammon), le menteur, le double langage (dia-ble), le diviseur, le en-meme-temps. Etc
Après “l’enfermement c’est la Liberté”, voici Satan est Dieu et les gens biens sont des diables…
Moi je dis que la connerie à ce niveau là, ça devient gênant : Michel Audiard
Ça ne ressemble pas à un certain discours entendu par un 1er ministre en Israël ?
BFMTV est en chute libre :
https://www.telerama.fr/television/departs-en-cascade-et-audience-en-berne-a-bfmtv-les-problemes-s-enchainent-7018349.php
Départs en cascade et audience en berne : à BFMTV, les problèmes s’enchaînent
Bruce Toussaint qui vient de quitter la chaîne, un patron de plus en plus contesté, une grogne interne qui s’intensifie… Le malaise est palpable à BFMTV, qui peine à défendre son titre de leader des chaînes info.
****
A force de dire plein de conneries sur BFMTV, les téléspectateurs vont voir ailleurs. Sur CNEWS, qui augmente fortement son audience. Comme par hasard…
@Charlotte
depuis la revolution nous vivons le siecle des Lumieres….dont le saint patron est….Lucifer (porteur de lumiere)
Bonjour Charles. J’étais acteur dans une profession qui a littéralement été massacrée depuis 1981. Aujourd’hui je suis vieux et j’entends un peu partout les plaintes de la classe moyenne qui commence à couiner devant le mur de l’avenir : aliénation du foncier, salaires en berne, inflation, augmentation de l’impôt et de l’insécurité, normatif de plus en plus exigeant …. Alors comment dire ? personnellement je suis déjà passé à la trappe et il ne me reste encore plus que les yeux et peut-être encore les oreilles pour rire de ce que les bien-pensants de 1981 ont mis en place à l’époque, comme disais Coluche « je me marre »
Christophe Barbier…. ce nom me dit quelque chose…. ah oui il a déjà sévit durant la pandémie de Covid, et nous avait gratifié de sa dysenterie pseudo-intellectuelle et verbale. Au d’accord avec @thierry
Juan Branco, le 9 avril 2024
Attal 1er
Il y a cinq ans, dans le cadre d’une longue enquête, je dessinais le portrait d’un politicien aux dents de lait auquel personne encore ne s’intéressait.
Un certain Gabriel Attal.
Nous étions en 2018, et ce livre, intitulé Crépuscule, démontrait comment l’ascension d’Emmanuel Macron, loin du phénomène démocratique spontané, avait pris assise sur une fabrication oligarchique qui, bientôt, Attal propulserait.
J’y décrivais, en miroir, leurs deux parcours. Nous étions en 2018, et cet ouvrage, qui offrait une plongée inédite dans la façon dont le pouvoir se construisait en France, allait faire immédiatement scandale, se voyant violemment attaqué par une presse aux ordres que je connaissais intimement, et dont les propriétaires, paniqués des secrets que je révélais, après m’avoir adoré se répandraient dans le tout-Paris en prétendant que tout cela n’était que mensonge, ressentiment et tromperie.
Cinq ans plus tard, tout est là. Gabriel Attal, qui n’était personne, un primo-député de 28 ans pistonné par son amant, vient d’être nommé Premier ministre. Et la confirmation de ce qui était annoncé devra interroger ceux qui, pendant toute cette période, auront benoîtement cru ce qu’on leur disait au sujet de ce texte, ou se seront tus par peur d’être ostracisés.
La publication de l’ouvrage, en libre accès, fut un véritable phénomène de société. Sans aucun relais médiatique, un million de personnes le téléchargèrent. 500.000 en écoutèrent la version-audio, puis, une fois édité en librairie, 170.000 l’achetèrent.
Cette base immense, qui se voyait raconter comment la démocratie en France n’était qu’une illusion, suscita rapidement une inquiétude et une réaction effrénée de la part du pouvoir, mais surtout de ses relais, paniqué à l’idée que la vérité fût faite, non seulement sur ses têtes, mais sur la façon dont ils étaient propulsés. Rappelons-nous qu’Aurore Bergé alla jusqu’au Procureur de la République, m’accusant d’avoir « armé les esprits ». On ne rit pas. La suite, on la connaît.
Lorsque le livre parut – nous étions à l’automne 2018 –, Les Gilets jaunes ne s’étaient pas encore élancés, et Paris roucoulait d’amour pour ce pouvoir que le reste de la France abhorrait. L’omerta était telle que l’ouvrage ne trouverait, de longs mois, aucun éditeur, circulant de main en main, sous la poche. Des signaux faibles, pourtant, émergeaient. Gérard Collomb, débordé par l’Affaire Benalla, refusait de faire ce qu’on lui demandait et, discrètement, démissionnait d’un pouvoir qu’il avait fait naître. Pendant près de quinze jours, personne ne lui succéderait, révélant une crise de régime qui se verrait habilement masquée par les perquisitions de la France Insoumise et la réaction déplacée de Jean-Luc Mélenchon. Comme un enfant pris la main dans le pot, ne croyant pas ce qu’il voyait, il se laisserait avoir par une opération d’intimidation spectaculaire dont le seul objet était de détourner l’attention de ce qui, au Gouvernement, s’installait. Trop franc, trop innocent, il fut ce jour-là, de la Macronie, le parfait instrument.
La crise politique était évitée, mais le peuple grondait. Car la France s’effondrait. Les premières pénuries de médicaments accompagnaient un effondrement de l’école, de la Santé et de la Sécurité. Ce pouvoir sans légitimité ni provenance, n’avait d’autre choix que de piller, et multipliait les dispositifs fiscaux pour, d’un côté, récompenser ceux qui l’avaient fait, et, de l’autre, le faire payer au reste des Français.
Personne ne se reconnaissait en ces êtres qui étaient censés les représenter : menteurs patentés qui, prétendant financer la transition écologique, créaient une taxe-carburant pour financer le CICE, une exemption d’impôts pour les plus argentés.
Gabriel, qui n’était alors qu’un primo-député pistonné par son amoureux, donc, Stéphane Séjourné, conseiller politique du Président, avait obtenu contre menues coucheries sa circonscription, et tentait de se frayer un chemin dans ce magma-là. Il avait rencontré son compagnon après avoir été propulsé à 22 ans au Cabinet de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, par les grâces de sa fille, aux côtés de son futur conjoint Olivier Véran et de Benjamin Griveaux. 6000 euros par mois, chauffeur et secrétariat, pour un jeune homme qui n’était pas encore diplômé – des privilèges qui lui seront désormais garantis à vie –, voilà qui a de quoi séduire et exciter.
Sans parcours professionnel ni titres à proposer, on l’avait entendu défendre laborieusement deux réformes, « Parcoursup » et le SNU à l’Assemblée nationale, alternant entre l’insignifiant et le catastrophique. Il bégayait légèrement et, comme à chaque fois qu’il craignait que son imposture fût révélée, ou que ses mensonges fussent décelés, il laissait un sourire en coin le dominer.
Gabriel faisait des pieds et des mains, déjà, pour entrer au gouvernement, et ses articles, en Macronie, constituaient de puissants arguments. La rumeur bruissait auprès de ses camarades députés. De puissantes forces l’accompagnaient. A peine élu, ses premiers pas étaient immortalisés dans Paris Match. Rien n’était dit sur celui qu’il était. Une photographie mi-allongé, coupe de vin à la main, le mettait en avant avantageusement, parlant de Fort Boyard et d’Orelsan, au soleil, en une pose lascive, chemise ouverte à la BHL, sur les quais de Paris, devant la Seine et le Grand Palais. Paris Match, à 28 ans ? Ce sont des centaines de milliers de lecteurs chaque semaine. Chaque semaine, Gabriel, cet été, y serait montré.
Comment faisait-il ? Paris bruissait et commençait à s’interroger. Gabriel, lui, fonçait. C’est qu’après avoir fait le siège de son amoureux versaillais, Séjourné lui avait arrangé une rencontre auprès de « Brigitte » qui, au Gouvernement, auprès de Blanquer l’avait promu, et de Mimi Marchand et quelques autres proxénètes et trafiquants, l’avait introduit. C’était eux qui, à la manœuvre, avaient fabriqué ces articles que Paris Match et Bruno Jeudy s’étaient contentés de publier.
Les mois passèrent, et Gabriel Attal, comme en tous ses postes, n’y fit que concrétiser son ambition effrénée. Le SNU, dont il avait la charge, s’effondrait, mais le petit Cabinet qu’il avait pu constituer lui organisait déjeuners et dîners avec le tout Paris. En frénésie.
Gabriel avait compris que, pour les êtres sans qualité, la solution était de courir, et de courir vite, sautant de maroquin en maroquin comme il irait de conjoint en conjoint, imitant Emmanuel Macron, c’est-à-dire recherchant ses promotions avant que le moindre résultat puisse lui être attribué. Avant que le moindre échec ne pût lui être imputé.
Les postes passèrent, et les oligarques se rapprochèrent. Bernard Arnault donnait ses instructions au Parisien, tandis que Brigitte Macron appelait Marc-Olivier Fogiel pour lui dire de le couver. Les portraits flatteurs fleurissaient. Gabriel sautait à temps sur le porte-parolat du gouvernement, que son nouveau conjoint quittait, tandis que Séjourné, à Bruxelles, se voyait exilé. Sentant les limites s’approcher, le voilà qui à nouveau s’enfuyait au Ministère du budget.
Comme partout, il en partirait sans bilan, avant même d’avoir présenté un budget. Ministre de l’éducation, il se verrait propulsé à Matignon avant qu’une année scolaire n’ait été achevée et que la moindre mesure qu’il avait annoncée n’ait été appliquée. Qu’importait que les réformes sur le harcèlement, le brevet, le bac, n’eussent été appliquées. Qu’aucune loi n’ait été votée.
Agitation, mouvement et une importante équipe de communication – les seuls conseillers qui l’ont partout suivi traitent de ces questions : l’obsession, recouvrir l’imposture et se protéger de ses effets. Imiter le « daron ».
De ce qui a suivi, des tournées américaines au Bilderberg hollandais, entre deux « plans-comm’ » avec des « influenceurs » et des émissions-confessions sur les plus grandes chaînes de télévision, il n’est pas besoin de le rappeler. La connexion Marchand-Fogiel-Macron a permis, ces derniers mois, un bombardement sur BFM-TV dont personne n’a parlé, et qui n’avait qu’une vocation : préparer l’opinion à l’ascension du fils prodige de l’Elysée, sur le modèle de Macron. Les dîners avec Crespo-Mara et Ardisson, sur « 7 à 8 », auront préparé le chemin à ce qui, aujourd’hui, est. Qu’importe que tout soit mensonger. Qu’importe que tout soit inventé. Aujourd’hui, Premier ministre, il l’est.
La France, nous l’avons dit, n’est pas une démocratie. Elle est une oligarchie où le contrôle de « l’image » vaut politique et façon de l’opinion.
Seuls ceux qui n’ont pas lu Crépuscule s’étonneront, a fortiori se féliciteront, de ce parcours prodigieux que toute la presse va vous louer. Pour Gabriel Attal, c’est un soulagement. Le voilà à la tête de l’Etat, comme il en rêvait et l’annonçait depuis l’âge de 14 ans. Lui qui posait dans son yearbook de l’Ecole Alsacienne avec sa tête accolée à la photographie de Georges Pompidou, lui qui n’a jamais eu d’expérience professionnelle si ce n’est un stage pistonné à la Villa Médicis, a été incapable de compléter sa scolarité à Sciences-Po, qui rit en privé des SDF et de l’école publique, qui n’a en lui la moindre once d’humanité, aura toujours su comment resquiller pour avancer. Alors même que son diplôme de Master a dû être arraché par la grâce d’une faveur de François-Antoine Mariani, bientôt conseiller d’Edouard Philippe, qui voulut lui éviter un humiliant redoublement, il est consacré.
Cet homme, comme tant d’autres avant lui, est désormais celui qui aura à décider de notre politique nucléaire et étrangère, antiterroriste, éducative et industrielle.
Cela doit nous amener à nous interroger, et nous interdire de nous étonner que l’on manque demain d’amoxicilline, de lits d’hôpitaux et d’enseignants, suite à des décisions prises par de tels gouvernements.
Je ne rentrerai pas en des considérations personnelles, sur le caractère profondément pervers et fourbe d’un être qui aura, tout au long de sa vie, fait montre d’une grande capacité à la cruauté et à la violence, elles-mêmes fruits de blessures mal pansées.
Il y a plus grave et plus dangereux, car ces êtres le sont, et prêts à tout pour asservir et dominer. Je vous raconterai la façon dont, se présentant en victime, ils auront, à de nombreuses reprises, tenté de dévaster ceux qui les menaçaient. Leur instrumentalisation de l’appareil judiciaire, de la Police : pour semer la terreur en un pays que l’on rêve démocratique.
Il y a plus important que ces méfaits qui toucheront à ceux qui s’y sont opposés. Car la violence est l’instrument de ceux qui sont sans pensée et sans idée, et pour lesquels la politique n’est qu’un rapport de force dont le peuple est le nutriment. A peine arrivé au pouvoir, il faudra à Gabriel rémunérer et récompenser tous ceux qui, comme son maître, l’auront jusqu’ici appuyé. Et ce n’est que le début puisque, d’ores et déjà, 2027 est annoncé. La course sera effrénée. Tandis que des notes, sondages et fiches Bristol préparées par des conseillers, vont se multiplier – pour nourrir ses interventions au cours d’un dîner, d’une invitation télévisée, d’un débat parlementaire pour parler de sujets dont ils n’ont aucune idée –, le fond va se voir rapidement évacué.
Car si vous pensez que ces êtres vous gouvernent dans l’ambition de faire quelque chose d’un pays qu’ils n’ont jamais pensé, vous vous trompez. Les avez-vous un jour entendus parler de ce qu’ils pensent, de ce que nous sommes et deviendrons ? Ce n’est pas un hasard.
Être un politique, aujourd’hui, c’est se vouer à décider chaque année de la distribution des ressources de l’Etat, ces milliards que nous produisons chaque année, et qui sont chaque année collectées par nos bureaucrates avinés. C’est être la personne qui pourra trancher en faveur de telle ou telle puissance, nommer les hauts fonctionnaires, recevant les informations qui, collectées par les Services de Renseignement, remonteront incessamment pour détruire ou protéger, distribuer privilèges et faveurs, opprimer ou dévaster.
Voilà le pouvoir, pour les êtres avinés. Alors qu’importe Gabriel, ses failles et ses blessures. Son intimité, et ses béances, explorées et exposées. Son absence d’intellectualité, de rapport au monde et d’expérience d’un quelconque réel, cette ambition sans bornes et sans scrupules qui le consume et le dévore depuis qu’il est enfant, l’empêchant à tout rapport à l’autre et à toute pensée. Tout cela est qualité en un monde où les vices sont toujours récompensés.
Ce qui compte, c’est que ce qui vient sera d’une violence difficile à imaginer. Et nous en porterons tous une collective responsabilité.
Je prédis, en un environnement médiatique parfaitement contrôlé qui va lui attribuer mille succès, un jeu de massacres. Une rupture anthropologique. Car nous atteignons avec ces êtres, de nouveaux sommets. Que même Gérald Darmanin et Bruno Lemaire se soient inquiétés de sa nomination, dit beaucoup de ce qui s’apprête à nous être présenté.
Il nous faudra l’assumer. Prévenus, passifs, silencieux et, pour beaucoup, égoïstes et sans solidarité : nous l’aurons cherché.
Notre société, qui ne sait plus s’exiger, prospère sur le pillage de pans entiers de l’humanité. Repue et confuse, médiocre, elle ne se donne plus aucune arme, ni pour protéger ceux qui cherchent à la féconder, ni pour abattre ceux qui n’ont pour objectif que de la piller.
Voilà un jeune premier, millionnaire avant ses trente ans de ce que lui offrait la société, que nous nous sommes montrés prêts à consacrer. Sans résister. Cela doit, sur nous et non sur lui, nous interroger.
La France est-elle une idée morte, au point que l’on accepte de la placer entre les mains d’êtres mortuaires et que la vie a depuis longtemps quittés ? N’est-elle plus qu’un système où la prédation, la dévastation, normalisées, justifient qu’à sa tête, des êtres sans beauté ni humanité soient propulsés ?
Je prédis à Gaby, qui n’a, en trois ans au Gouvernement et en sept ans de carrière politique, jamais rien fait ni démontré, mais surtout rien apporté à la communauté, de grands succès. Et je vous prédis que vous aurez, encore et encore, à les payer pour en maquiller les insuffisances, de façon sonnante et trébuchante, comme nous l’aurons toujours fait.
Un dernier point. Que cela ne nous fasse en rien envie. Gaby, comme tant de ceux qui nous dirigent, n’est qu’un symptôme, et non, en soi, la difficulté.
Ce à quoi il a dû sacrifier pour devenir, est difficile à concevoir. Je le connais, intimement. Je sais ce qu’il a à combler.
Je sais qu’il se vengera de ce que j’ai écrit, de ce qui a été dit de lui, et de la violence qu’il considère avoir subie, parce que des personnes auront osé dire de lui sa vérité.
Pronostiquez-moi des heures sombres, alors que tout un appareil d’État est à ses pieds. Mais prenez le d’abord en pitié : d’être ce qu’il est.
Et prenons-nous en pitié, d’avoir accepté que nous dominent des hommes dont la médiocrité ne cesse de prospérer, et qui n’ont que la violence, à défaut d’âmes et d’idées, comme qualité à nous proposer.
Juan Branco, 09-I-2024
Je suis le roi du pipeau,
De la lèche à tout propos,
Je suis le Barbier de service,
Je suis fan de tous ces morveux,
Qui nous tiennent éloignés des gueux.
Je connais bien le tout-paris,
De cette classe je suis épris,
Et pour toujours, à leur service,
Je fais ce métier pour de l’or,
Je pourrais même leur louer mon corps…
J’suis leur porte-voix,
Même si quelques fois,
Je passe pour le Roi,
des c.., je ne perd pas la foi.
Mes excuses à Reggiani. ^^
Normal ! Quand on n’a rien d’autre à mettre en avant pour faire “mousser” un ministre, il faut bien trouver autre chose ! La jeunesse et la beauté ne suffisent plus !
Je vous suis depuis le Québec et j’avoue que vous me sidérez ! Vos journalistes sont beaucoup plus, comment dire…..enthousiastes qu’ici.
Il y a trente ans on n’entendait ce genre de chose au bebête schow….
Ils se prennent vraiment trop au serieux. Ça devient terrifiant…
J’ai l’impression qu’ils ont tous le nez dans la farine (l’homme à l’écharpe rouge qui fait le poirier sur le bureau) faudrait lui dire qu’il est trop tard, les poste sont distribués. En parlant de postes….tous autant qu’ils sont, sont prêts à mordre leur maitre pour une gamelle au château. Quelle honte, mais eux, ils n’en ont pas. Me….de !!!
promotion canapé
Barbier…il est tombé amoureux…je le comprends, c est vrai qu il est quand même beau Atal !…Dieu soit loué !
Bonjour a toutes et a tous
Charlotte je plussois tout a fait a vos propos voir aussi Serge Abad Gallardo un reconverti qui dit entre autre j ai servi le diable pendant des années et dit aussi que tous les adhérents de cette secte dont bon nombre de nos élus font parti ne sont pas satanistes mais que tous les satanistes y adhérent
Ils sont cinglés !
“Gaby, j’t’ai déjà dit qu’t’es bien plus beau que Manu
Qu’est beau comme un pétard qu’attend plus qu’une allumette
Ça fait craquer
Au feu, les pompiers
Oh Gaby, Gaby
Tu devrais pas m’laisser la nuit
J’peux pas dormir, j’fais qu’des conneries”
Il a bien su..er µ! Stop je sors
Je suis sûre qu’ils font bien attention à tous les détails, Emmanuel, Gabriel, ils sont trop forts pour nous pauvres naïfs. Regardez de près la photo officielle de Macron pour 2023. Regardez bien tous les détails “étranges” de cette photo. Etranges et non sans signification. Ils s’amusent.
Les plus grands psychopathes de la Terre vont se réunir à Davos à partir de lundi.
Et ils vont parler de la maladie X.
La prochaine sinistre “pandémie”.
Ils invitent pour cela quelques médias triés sur le volet, qui par la suite recevront les ordres pour diffuser les mensonges. Comme les autres sont des “perroquets” bien éduqués, le travail à la chaine sera fait.
Petit Rappel : Un laboratoire secret au Royaume-Uni produit des variantes du Covid et un vaccin contre la “maladie X”.
Si si, vous avez bien lu. N’oubliez jamais que les psychopathes annoncent toujours ce qu’ils vont faire. Tout était déjà écrit et préparé pour le Covid19. On ne vous la juste pas dit c’est tout. J’avais eu des infos sur ce truc il y a 6 mois ,ça se préciserait donc
le génie, il aurait pas loupé sa licence ???
On ne sait pas s’il faut rire ou pleurer , j ‘opte pour rire ! C ‘est tellement ridicule,voire pitoyable, il manque les mots ! En tout cas ,à la distribution de Neurones certain on été absent! …
Avant l’élection de 2017, Barbier était éditorialiste à l’EXPRESS, alors propriété du groupe de Patrick Drahi. Il soutenait déjà à fond Macron: je me souviens d’un édito où il cherchait à dissuader les électeurs de voter pour les “petits candidats”. Il sert aujourd’hui les mêmes intérêts. Et avec que talent!!!
… »et Satan leur dit : « Que les plus malins deviennet riches, qu’ils gouvernent les nations ! La science l’a dit »
Il est temps que je libère les nations ; dans la nuit Je leur ait fait entendre le délire des puissants des princes et des riches, »…
« les princes seront détronés bientôt ; leur imposture est déjà révélée »
Voilà plutôt ce que nous apporte Michel dans son livre .
A sa manière, Simplet (le surnom de C. Barbier) prophétise dans la nuit du mensonge et de la cupidité en nous faisant entendre le délire actuel et nous fait bien rigoler:))
Le rire est le début de la fin pour un pouvoir qui ne tient que par la résignation et la passivité du peuple.
Il vaut mieux entendre cela que d’être sourd …