Voici un article sur la crise politique qui se déroule en Allemagne où la chancelière allemande Angela Merkel, présentée comme ultra-victorieuse-haut-la-main, a pourtant (et contre toute attente) été incapable de former une coalition majoritaire au Bundestag. “Une première depuis 1949 qui pourrait lui coûter son poste” !!

Personnellement, en tant que Français, voir Merkel partir ne me poserait aucun problème car sous son règne, sa politique profondément germano-centrée n’a eu que pour objectif et pour résultat d’enrichir l’Allemagne sur le dos en partie de ses partenaires européens.

Quand Merkel patine, j’ai du mal à retenir les sourires qui illuminent mon visage !

Autre bonne nouvelle, “faute d’alternative, la première puissance économique européenne se prépare des semaines ou mois de paralysie, sur le plan national comme en Europe”.

Et comme je n’aime pas particulièrement le sens politique de cette construction européenne qui est une négation des droits des peuples et des souverainetés nationales, voir cette Europe paralysée, c’est au moins la certitude que nos europathes devront patienter encore un peu avant de nous faire encore plus de l’Europe dont nous ne voulons pas, c’est-à-dire l’Europe du libre-échange outrancier et de la dictature des multinationales.

Du coup, comme nous l’apprend cet article d’Euractiv que je vous invite à lire, car il synthétise bien la situation, “en l’état actuel des choses, des élections anticipées semblent la solution la plus probable, Mme Merkel ayant exclu un gouvernement minoritaire et ses anciens alliés sociaux-démocrates (SPD) ayant bruyamment refusé toute coalition sous l’égide de la chancelière.

Les Allemands pourraient donc devoir retourner aux urnes début 2018, alors qu’ils venaient fin septembre d’élire leurs députés”…

D’ici à ce que nos amis Allemands se mettent à voter encore plus mal, c’est-à-dire pour le parti d'”essssstrêême droate”, et la crise en Europe pourrait se déchaîner.

Au moment où tous nos gentils compatriotes européens (dont français) reviennent massivement de leurs voyages en Syrie, les choses pourraient bien échapper au contrôle de nos mamamouchis.

Charles SANNAT

Source Euractiv.fr ici

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