L’art c’est effectivement important mais pas avec l’argent des autres, parce que c’est beaucoup trop facile.
Chacun est libre de faire de la musique.
Chacun est libre d’essayer d’en vivre.
Quand ce n’est pas possible d’en vivre chacun est libre d’aller travailler où bon lui semble pour remplir sa gamelle mais sans venir se servir dans la mienne.
Cela peut sembler sans doute dur à entendre de la part de tous les ouins-ouins couineurs qui attendent leur becquée quotidienne de la part de l’Etat qui, pour être en mesure de la servir, vient se servir dans la poche de ceux qui bossent à l’usine ou au MacDo.
Cela peut sembler dur, mais ce n’est pas le rôle de l’Etat.
Aider les écoles de musique et les conservatoire oui.
Pour le reste il va falloir sérieusement penser à débrancher toute cette machine à subventions qui permet à des millions de gens de vivre aux crochets de ceux qui travaillent sans jamais vraiment rien faire, sans même vous parler du copinage ou des subventions accordées sur critères idéologiques.
Alors forcément à un moment cela finit par énerver les gens comme c’est le cas de Philippe Herlin dont on commence à sentir clairement la moutarde qui lui monte au nez !
L’État s’engage à soutenir la filière musicale française à hauteur de 500 millions d’euros
➡️Ça suffit bordel ! La France est en faillite et on crame un demi-milliard pour des fumeurs de shit qui grattent une guitare, mais merde à la fin !https://t.co/P0ZFHu9mGp— Philippe Herlin (@philippeherlin) June 17, 2025
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
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Le président Argentin Milei a fait cette sortie tout à propos : « Je n’ai rien contre les artistes. J’ai même eu un groupe de rock. Mon problème est que, si vous avez besoin d’une subvention de l’État pour faire de l’art, vous n’êtes plus un artiste, mais un fonctionnaire. »
La plus grande erreur de de Gaule a été de créer un ministère de la culture qui a permis que les « artistes » ne fassent plus plaisir qu’à eux-mêmes et non au public dont ils ne dépendent plus pour vivre
C’est l’orchestre du Titanic financé par les impôts…
Je n’ai rien contre ceux qui grattent les guitares ou jouent du tambourin mais qu’ils le fassent avec de l’argent qu’ils gagnent mais pas avec le mien.
Les festivals ça profite à qui ? ou ils s’autofinancent ou ils s’abstiennent d’en faire!!
Un festival comme les vieilles charrues la ville de carhaix verse 2 millions d’euros financés par nos impôts multiplié par le nombre en France vous avez encore là une énorme gabegie qui coûte cher et dont on pourrait s’en passer.
Ras le bol d’être contributeur dans ce qui n’est pas vital.
Ca me rappelle Néron !
Une subvention, ça ne donne pas du talent !
Aujourd’hui, avec leur starac, on a seulement des jeunes qui ont de très belles voix, mais qui sont fabriquées artificiellement. Is ne savent pas faire de musique, ne savent pas en écrire et n’écrivent pas de paroles.
Des artistes pas très naturels, on peut se demander comment est réparti l’argent…?
À cette manne s’ajoutent celles des communes et régions. Et elle explique pourquoi très peu d’artistes contestent les decisions et déclarations du gouvernement et des élus. Ce fut particulièrement visible lors du cocoviD.
Comme la presse subventionnée.
Oui mais cela fait des électeurs captifs payés par le contribuable essayez d’être Maire sans subventions des assos……Une belle corruption quelques fois dénoncées.
Mickael Voslensky travaillait au ministère de la culture de l’URSS. Lors d’un voyage en Autriche il a fait fait une découverte sidérante : le ministre de la culture de ce pays travaillait ses dossiers pendant que son chef à lui passait tout son temps a parader et se faire bien voir des apparatchiks et exigeait des larbins pour faire son travail.
Les élections municipales qui arrivent sont le lieu privilégié du clientélisme socialiste.
Le problème c’est de savoir où ira cet argent au final. Et comme bien souvent dans le milieu ce seront les plus gros qui n’en n’ont pas besoin qui en profiteront.
Je trouve le commentaire de Mr Herlin désobligeant et réducteur à souhait.
Le processus créatif est souvent long et non rémunérateur et devenir un artiste reconnu, un parcours du combattant.
Artiste n’est un métier rentable que pour les vedettes et les multinationales qui drainent la majorités des flux financiers qui restent après la disparition des ventes de disques.
Nous devrions plutôt regarder les magouilles de l’état pour détourner les produits de la TVA …
Sans soutient des petites structures locales et engagées, il ne restera bientôt plus que les Zeniths et les Stades pour recevoir des artistes les plus en vue.
M. Herlin aurait dû lire plus loin que le titre. On ne parle pas de subventionner les musiciens, mais l’industrie musicale, « les filières rentables ». Selon le Figaro : « Dans le détail, cette enveloppe comprend 125 millions d’euros d’accompagnement en fonds propres, c’est-à-dire des levées de fonds pour des sociétés françaises en forte croissance, des projets de développement à l’international ou encore des projets de consolidation à travers des rachats d’actifs. Elle inclut aussi 340 millions d’euros de prêts ou garanties pour «assurer le développement sur le moyen et long terme des entreprises française rentables de la filière musicale», d’après le ministère de la Culture. »
C’est le ministère de la culture qui subventionne les médias menteurs aux ordres du gouvernement. Par ailleurs, ce qu’ils qualifient de « culture » est devenu des divertissements de rue : de la cacophonie et de la clownerie décadente. Voilà le 1er ministère à supprimer, la vraie culture n’a pas besoin de lui puisqu’il organise son détournement, par démagogie.
Non ! Pas un demi-milliard pour ça alors que les verres correcteurs sont remboursés 1/2 euro : de fait il y a privatisation du remboursement via les « mutuelles » !
Que les artistes trouvent des financements privés !!!
Du pain et des jeux, ….vieux comme l’empire Romain
Et combien rapporte a l’Etat l’industrie de la musique?
C’est l’occasion de se pencher sur la SACEM, …si la cour des comptes pouvait aller voir . .
Pour rappel, l’industrie et le monde de la musique, destinataires de ces fonds, ça n’est pas les musiciens. Ce sont les studios d’enregistrement, les salles de concert, les fabricants de supports (disques etc), les luthiers, les écoles de musique et conservatoires, les radios, les associations qui œuvrent à la diffusion et à la promotion de la musique, les organisateurs de festivals, etc… Votre vision réductrice de ce domaine et celle de Monsieur Herlin ne font qu’alimenter la sensation de bêtise crasse qui vous anime. Si vous êtes aigri par tant de générosité envers de salariés ou des bénévoles (je ne parle pas des musiciens), demandez l’interdiction de la musique ! Après tout ce n’est qu’un divertissement inutile au regard de vos propos !