Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Il y a Sandrine Rousseau, et il y a Victor Hugo. N’imaginez pas qu’en disant cela je critique Sandrine Rousseau. Loin de là. Je dis juste qu’il y a des géants de la littérature, des géants de la réflexion, des géants de l’intelligence, et lorsque nous débattons, lorsque nous voulons penser, ou lorsque nous nous croyons “très forts” il est important de se pencher sur certains textes de nos ainés afin de mettre les choses en perspectives.
Melancholia est un poème de Victor Hugo, écrit en juillet 1838 à Paris et paru en 1856 dans le recueil Les Contemplations.
Dans ce poème en alexandrins, Victor Hugo dénonce le travail dur et pénible des enfants. On compare souvent ce poème aux Misérables, car Victor Hugo y dénonce les conditions de travail et de vie de son époque.
Bien loin du privilège “blanc” tant dénoncé par Sandrine Rousseau, le travail dans certaines dérives peut évidemment non seulement se discuter mais même se combattre, et pourtant, il fait aussi grandir l’homme et l’élève.
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?
Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?
Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ?
Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules ;
Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement
Dans la même prison le même mouvement.
Accroupis sous les dents d’une machine sombre,
Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre,
Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,
Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer.
Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue.
Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue.
Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.
Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !
Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes,
Notre Père, voyez ce que nous font les hommes ! »
Ô servitude infâme imposée à l’enfant !
Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant
Défait ce qu’a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée,
La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée,
Et qui ferait — c’est là son fruit le plus certain —
D’Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !
Travail mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre,
Qui produit la richesse en créant la misère,
Qui se sert d’un enfant ainsi que d’un outil !
Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? Que veut-il ? »
Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme,
Une âme à la machine et la retire à l’homme !
Que ce travail, haï des mères, soit maudit !
Maudit comme le vice où l’on s’abâtardit,
Maudit comme l’opprobre et comme le blasphème !
Ô Dieu ! qu’il soit maudit au nom du travail même,
Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux,
Qui fait le peuple libre et qui rend l’homme heureux !
Le travail c’est le fait de participer à la société, à la création et à l’évolution. Le travail, n’est pas uniquement “marchand”, et tous nos bénévoles qui font tourner tant d’associations “travaillent”. Ils travaillent d’ailleurs souvent à aider leurs prochains. Le travail fait grandir, rend utile, donne du sens, et l’oisiveté est un vice. L’oisiveté ne procure aucun bonheur, aucune réalisation, aucun épanouissement. On aime les vacances qu’en miroir d’une année de travail, et les mets délicats parce que nous les mangeons rarement. La paresse n’est pas un droit. C’est au mieux un défaut, au pire un vice.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Le problème c’est que généralement les personnes qui prônent le travail en terme de “valeur morale” ne font référence qu’au travail disons “marchand”, celui qui a une valeur. Ce sont les premiers à considérer que les enseignants, les infirmiers, … ne produisent rien et je ne parle même pas de ceux qui “travaillent” dans les associations, associations dont la fonction principale reste de créer du lien social.
Donc que mettons derrière ce mot de travail? Quand Lafargue écrit “Droit à la paresse”, est-ce qu’il prône l’oisiveté ou l’émancipation du travail abêtissant (qui quoiqu’on en dise reste un combat d’actualité)?
Pour être paresseux il faut que les autres vous nourrissent ,c’est une des exigences naturelles du monde ,comment peut on croire une seconde que certains vont s’échiner comme les enfants de Hugo pour le plaisir de quelques uns.La pauvre Sandrine n’a pas que des problèmes hormonaux comme toutes ces névrosées qui n’acceptent pas leur ménopause,je ne suis pas sûr que des soins intensifs amélioreraient le naufrage
Ce que l’on devrait faire c’est distinguer le travail de l’emploi.
On l’aime ou pas, mais Panot a raison en disant qu’il ne faut pas reprendre la sémantique fallacieuse de la droite. Une droite qui rêve d’un retour à l’age de Voltaire.
Confondre oisiveté et paresse?
Les citoyens grecs et romains, puis les aristocrates, trouvaient au travers de l’otium la capacité de réfléchir, de faire de la politique, de contempler, d’étudier. Pour Thomas Hobbes, d’ailleurs, “l’oisiveté est la mère de la philosophie”.
Ainsi, selon les époques et le contexte, l’oisiveté peut être une valeur. Une personne n’ayant pas d’activité laborieuse peut alors se consacrer entièrement à une activité culturelle ou intellectuelle, comme chez les Grecs et les Romains de l’Antiquité.
aujourdui en occident c est l inverse ,,des “bichons “que l on ne voit jamais oeuvrer a quelque activité manuelle .Le systeme satanique a interdit tout travai jusqu a l adolescene bien avancée ,,délégué le pouvoir au sein de la famille aux femmes ,,Maman bichon coconise le petit ad éternam .Sabotage de l occident ,,chine comprise ,,
Qui aujourd’hui présente aux jeunes le travail comme une chance d’accomplissement, et non comme une façon de gagner de quoi payer le logement et la boite de nuit du samedi? Quelle chance pour ces jeunes qui participent à un projet d’exploration de la lune, de construction d’un barrage ou d’une centrale nucléaire..Ils pourront dire.. j’ai fait ci ou ça à leurs enfants; C’est immense.
Il convient cependant de faire la différence entre le travail et l’esclavage !
Oh, Victor Hugo c’est franchement pas wok!!!
Ah, que j’aime qu’on remette les choses en perspective !
Tout ce que nous avons, c’est grâce aux générations précédentes, à leur travail et sacrifices.
Nos jeunes (et autres débiles) ne veulent pas ouvrir les yeux, aidés en cela par des médias subventionnés et vrais collabos de cet aveuglement des populations.
A décharge pour nos jeunes : ils sont passés par les fourches caudines de l’éducation nationale. Ils ont été formatés à penser “idéologies” et ça empire. Ils ont appris des modes d’emploi, pardon, des “techniques”. Avant, dans les universités, on essayait de réfléchir. Maintenant, elles sont aux mains de communautés minoritaires (Lgbt+cul, woke etc) qui mènent la danse. les business-school ont tué les universités. On y apprend des “techniques” de mensonge (marketing) et d’esclavage (management).
Ils savent tout, on n’a rien à leur apprendre … Ah, si jeunesse savait, si vieillesse pouvait !
Bon, remuons-nous et attelons-nous à faire une petite “arche de Noë” pour recueillir en amour tous les nôtres qui seront en galère.
Il n’y a pas de mal à s’occuper D’ABORD DES NOTRES et APRES DES AUTRES.
Je souscris à votre sentiment , mais le “travail” n’est-il pas entrain de disparaître dans beaucoup de branches ?
Bientôt il ne restera plus que le travail intellectuel car c’est bien lui qui cherche toujours à minimiser la pénibilité du travail manuel , en créant des robots et de l’IA . C’est une approche méritoire , mais elle fait disparaître les emplois et , la surpopulation aidant , l’humanité se dirige vers un sous-emploi structurel , et ce faisant vers une “paresse organisée ” , hélas .
Je suis entrepreneur depuis 2016. Je lis beaucoup de livres de développement personnel et de motivation.
Vous avez totalement raison en fin d’article. Je ne travaille pas pour l’argent en premier lieu car j’aime énormément ce que je fais à tel point qu’au début, je ne prenais pas cher. Après il y a tellement de dossiers que le prix que j’ai augmenté régule la demande mais les gens continuent à acheter tellement ils aiment votre travail et le rendu final.
Je crois que sans travail, je serai perdu. Je ne me vois pas à la retraite à rester devant la télé ou la console de jeux. Je me vois travailler jusqu’à la fin. Je comprends mieux Picasso quand il disait “travailler me repose. Ne rien faire ou recevoir des visites me fatigue” parce que moi c’est exactement ça.
Je suis excité tous les matins de changer le monde, d’écrire un roman de science fiction que je vais bientôt auto publier, de créer des produits et services de qualité qui aident les autres.
Même ma mère qui a bossé dans l’entreprise m’a dit “mais c’est dingue Alex j’ai pas l’impression de travailler et les journées passent vite”.
Tout ça parce que le système a été conçu pour être génial et agréable. Donc le soucis c’est pas les gens qui ne veulent pas bosser, c’est que le travail n’est pas cool.
Si on rend le travail agréable et surtout valorisant à tel point que les gens trépignent d’impatience pour y retourner, la on est bons.
Maintenant la remise en question doit se faire dès deux côtés : employeurs et employés. Personne n’a raison ou tort. Il faut juste repenser le modèle en repartant de 0, d’une feuille blanche.
Bcp plus court et plus cinglant encore. Proverbe ancien résumant la sagesse des siècles passés.
La paresse est la mère de tous les vices.
Bonjour monsieur sannat et aux lecteurs
Merci de nous faire connaître ce poème si criant de vérité sur le dur labeur qu’ont connu nos ancêtres et pas si loin de nous c’était trop et maintenant on préconise la paresse! A quand le juste milieu? certainement pas avec “nos supers élites du moment” pauvre de nous et pauvre France! Bonne journée à toutes et tous du calvados
Bonjour Charles,
Si le travail est essentiel à l’homme, permettant de faire vivre une communauté, d’intégrer des étrangers à cette communauté, il doit permettre d’élever une famille et de pouvoir vivre dignement.
Les salaires bloqués depuis de nombreuses années face à une inflation dissimulée ne permettent plus cela, et les sans-dents se contentent de survivre contemplant dans la boîte à image les sachant ripailler avec les milliards qu’on leur vole.
Cette société est au bord de l’implosion.
Ne pas rendre service aux autres (que ce service soit payé ou non) place l’inactif en dehors du groupe.
Ce “droit à la paresse” serait un droit à sortir de la communauté et des solidarités qui l’accompagnent, ce qui dans la bouche d’une socialiste mérite une explication.
S’agit-il d’un droit au vol, à l’initiative de chacun ?
Du reste, on n’a JAMAIS vu des sédentaires et des nomades faire société ensemble. Celui qui moissonne ce qu’un autre a semé se prend généralement un coup de gourdin.
Ma mère née en 1905 a fait partie des premieres femmes bachelieres de France. devenue institutrice elle a eu jusqu’à 60 éleves en classe unique dans le Béarn profond. A Pâques les élèves quittaient l’école pour les travaux des champs. Dans les greniers on retrouve des rédactions de ces éleves comme ceux qu’elle avait. Style impeccable, écriture soignée malgré le travail physique en sus.
Maintenant on les voit vautrés, au même âge, le portable branché en permanence et incapables d’écrire 3 lignes cohérentes et répondant par onomatopée et atteints pour beaucoup par l’obésité. Déjà fatigués.
Voilà à quoi aboutit ce qu’on appelle la deuxième révolution industrielle: une révolution ou un recul social!
Alors vous imaginez le recul pour la quatrième révolution industrielle: des enfants de 6 ans dans les mines en Afrique pour fabriquer le sacro saint portable exhibé par tout le monde dont les écolos avec ses terres rares.
TRès bel article, merci.
“L’oisiveté est un luxe qui doit se mériter.”
Merci Charles, vous m’avez fait avancer sur ma réflexion au sujet du “Salaire à vie” de Bernard Friot.
La paresse fait partie des 7 péchés capitaux
A mon avis, la paresse est entretenue par la distribution de toutes ces aides sociales – Si je travaille je perds toutes les aides – alors je reste chez moi bien pénard et attend que mon compte en banque soit approvisionné par ceux qui bossent pour moi –
Revoir le système tout remettre à plat est indispensable
Quand on veut on peut mais avec de la volonté ce qui manque cruellement à nos dirigeants depuis 40 ans
c’est toujours plus pour les mêmes individus
LE TEMPS DES OUVRIERS | ARTE
1. Le temps de l’usine (épisode 1)
2. Le temps des barricades (Ep.2)
3. Le temps à la chaîne (Ep. 3)
4. Le temps de la destruction (Ep.4)
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Pour ceux qui veulent mettre à jour leur culture générale, ces 4 documents vidéo de ARTE sont une synthèse incontournable permettant de situer les événements d’aujourd’hui dans la prolongation de l’histoire.
Pour les élèves de 1ère et ceux de Terminale, prenez le temps (environ 3h30) de visonner ces 4 documents vidéos de ARTE et vous ne serez plus jamais perdus aux épreuves du programme d’histoire de 1ère et de Terminale. Quant à vos parents, vous êtes certains de les coller.
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LE TEMPS DES MISERABLES EN COLS BLANCS (Liens à venir)
Le monde d’aujourd’hui et de demain sont la suite de l’Histoire des siècles d’hier et d’avant hier.
Ces documentaires vous ouvriront les yeux sur l’avenir des travailleurs intellectuels que sont les millions d’influenceurs sur YouTube victimes des négriers de l’aire digitale.
Hier c’était au tour des enfants et des ouvriers, aujourd’hui ce sont les cols blancs et leurs enfants vitimes de l’apartheid digitale. Ne pas avoir pris le train en 2010 les condamne à donner tout leur temps dans des activités chronophages misérablement rémunérées.
Ces nouveaux “misérables” en col blanc sont issus des classes moyennes travaillant par centaines de millions derrière leurs écrans pour des clopinettes en ignorant tout des algorithmes qui les manipulent de l’autre côté de l’écran.
Moi avec mes copines on les appelle les couleuvres…en pleine force de l’âge pourtant et même avec un CDD renouvelable, le travail ne semble pas être leur préoccupation principale.
“Paresse : Suspension d’activité totalement injustifiée chez un inférieur.”
Ambrose Bierce.
Bonjour à tous
Un grand merci pour ce poème poignant , toujours d’actualité dans une grande partie du monde .
Il est très intéressant de voir la vision romantique qu’ont les riches de notre époque sur le monde du travail pendant une bonne part du siècle qui vient de s’achever :
Un monde où arrivés à 50 ans la majorité des travailleurs étaient usés par des conditions de travail très pénibles dont ils avaient “profité” dès l’enfance .
Aujourd’hui , une petite partie de l’humanité , nous , bénéficions de conditions de travail améliorées ( un peu pour certains ) mais que dire du travail dans “les reste du monde” qui pour beaucoup de travailleurs est un travail de bêtes de somme .
Que dire des enfants travaillant en guenilles dans la boue des mines produisant les métaux rares dont les commentateurs ci dessus louent la “beauté de leur travail” .
Enfants qu’ils exploitent sans vergogne par personnes interposées pour avoir un super ePhone Machin dans la poche de leur costume de riche dont le prix est inimaginable par ces enfants dont l’objectif de vie est de ne pas mourir de faim !
Il y a un gros progrès , certains de ces enfants ont dans la poche un portable de bas de gamme chinois , ce qui était inimaginable par nos travailleurs du siècle dernier , le téléphone étant à l’époque un attribut de riches.
Bon , d’accord ! Ces enfants esclaves n’ont que cela……..
Salutations
magnifique texte de Victor Hugo ! j’en connais qui sont au RSA depuis plus de 9 ans ! à peine 40 ans ….. ils ne se poseront jamais la question qui a fait pousser ce que je mange !
Aux dires de certains la paresse n’est ni un défaut, ni un vice mais un péché capital…
Vous m’excuserez M.Sannat de ne pas bien vous suivre dans ce parallèle entre ce merveilleux poème « Melancholia » écrit par Victor Hugo en 1838, trois ans avant que la chambre des députés ne vote le 22 Mars 1841 la première loi française réglementant le travail des enfants, employés en usines, manufactures et ateliers et l’interdisant pour ceux âgés de moins de 8 ans : loi dont on sait pourtant qu’elle fût il est vrai très mal appliquée; Victor Hugo donc, et les vraisemblables propos, ayant fait polémique tenus par S.Rousseau (EELV) invitée récente de Francetvinfo, se référant c’est probable, à un ouvrage de Paul LAFARGUE gendre de Karl Marx qui publie en 1880 « Le Droit à la paresse. “. Fort heureusement aujourd’hui le travail (“valeur de droite”) (sic). du moins chez nous parait encadré à partir de l’âge de 14 ans. En apparence nous ne sommes plus au XIX ème siècle. Bien que !?
Si à défauts de nos gros bras, (hmm) on ne peut plus sous peu, faire travailler nos neurones , dans l’impossibilité d’utiliser les outils du monde moderne, n’ayant pas plus de pétrole ni de gaz naturel, ou de Nikola Tesla ressuscité pour éclairer nos lanternes, on se retrouvera Gros-Jean comme devant ! Victor Hugo trouve alors toute sa place. Pour nous il restera comme au Moyen Age le suif dans des chandelles.
Après il est exact, et tout à fait légitime de rappeler en effet les conditions d’exploitation d’enfants dans de nombreux pays du globe. Mais ce qui est important pour nous c’est de préserver la planète des rayons cosmiques ou autres co…. du genre. Les minots maltraités ils s’en tamponnent .. et c’est grave !
Ne dit-on pas que l’oisiveté est la mère de tous les vices.
Ceci dit si Sandrine Rousseau adoptait cette philosophie pour elle-même, elle nous épargnerait tous les buzz de ses déclarations idéologiques hors sol
Comme vous oubliez vite la grande leçon du confinement : vous êtes des INUTILES. Alors arrêtez de vous la jouer avec votre valeur travail.
Je crains de savoir que cette femme ait été assez paresseuse pour ne pas même avoir fait d’enfant.
Ah, le plaisir de trouver un emploi, de se sentir utile et d’en être récompensé par un salaire ! On se sent adulte, enfin, quel que soit l’âge que l’on a. A la retraite on est quasi condamné à l’inaction le plus souvent, en tout cas déclassé. La vie et le travail se confondent . Toutefois j’en juge d’après notre siècle, pas celui de Hugo dont les mains ont toujours été blanches et le cœur généreux. Incontestablement les Rousseau, Sardine et J.J., sont une génétique commune. Oh combien commune !