Non Macron n’est pas un Mozart de la gestion mais peut-être bien un Mozart de la finance, car cette dette de 600 milliards d’euros de plus, ce sont bien les marchés qui la financeront et donc vont encaisser les intérêts que nous payerons dessus.

Plus un pays est endetté, plus sa dette est importante, plus son service de la dette c’est-à-dire les intérêts qu’il doit payer chaque année sont importants.

Ce sont donc les financiers et les investisseurs qui profitent des « mannes » que représentent les dettes des Etats.

Charles SANNAT

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