Nous sommes dans le siècle de la “connaissance”, celui de l’économie de la connaissance et jamais nous n’avons perdu autant de connaissances, de techniques et de savoir-faire.
Le recul des maths au lycée donne des sueurs froides au monde de l’ingénierie et du numérique
“La publication en fin d’années de plusieurs indicateurs sur la pratique des maths au lycée a relancé les inquiétudes sur le réservoir de talents pour les métiers de l’ingénierie et du numérique. Les représentants de ces secteurs surveillent la situation comme le lait sur le feu.
Le sujet semble éloigné des priorités immédiates des entreprises, alors que les tensions d’approvisionnement menacent la reprise et que le Covid-19 revient au cœur de l’actualité. Le recul de l’enseignement des mathématiques au lycée a pourtant fait souffler un vent de panique en fin d’année dans le monde de l’industrie, de l’ingénierie et du numérique.
A l’origine de ce phénomène : la publication de plusieurs indicateurs inquiétants par la Depp (Direction de l’évaluation de la prospective et de la performance), le service ministériel en charge des statistiques sur l’éducation. Dans une note de décembre, elle indique qu’environ 37 % des élèves de terminale générale ont choisi la spécialité « mathématiques » à la rentrée 2021 contre 41 % en 2020″.
On ne veut plus faire de maths, car les maths c’est dur. En fait ce n’est pas si difficile que cela, disons que cela demande du travail et des efforts et que nous favorisons un monde où l’on n’apprend plus le goût de l’effort à nos enfants.
On ne veut plus faire de math parce que l’on a cassé les filières pour faire de l’égalitarisme, tous égaux, donc cette filière scientifique anciennement Bac C de mon époque était devenue insupportable ! Or on faisait C ou sciences non pas forcément parce que l’on aimait cela, mais parce que quand on était un bon élève on nous mettait en C et pas en B ou en L c’est-à-dire en éco ou en littéraire.
Logiquement le nombre de “matheux” s’effondre, et avec lui le nombre de futurs ingénieurs que ce pays pourra former.
Poussez vos enfants vers les maths.
Ils ont un boulevard qui s’ouvrent à eux.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Source l’usine nouvelle.com ici
Bonjour. Voulu par le plan. Dans le nouveau monde, seul une petite élite sera formé dans les règles!! (réfléchir, critique constructive, etc…) Les autres plus besoin,
Vous avez raison, la technocratie a besoin de matheux capables d’appliquer des formules sans se poser de question, pourvu que la soupe soit bonne.
Personnellement je maîtrise les quatre opérations et sais faire une règle de trois …
Les difficultés, en tant que littéraire, que j’ai rencontré pour “m’insérer” dans le marché de l’emploi sont compensées par la bonne conscience que j’ai de ne pas participer à la construction d’un monde inhumain dominé par les machines.
Avec mon brevet professionnel agricole section ovin et mon DEUG de droit, j’en sais assez pour reconstruire (j’ai déjà commencé) une société respectueuse de la création, lorsque l’actuelle aura fini de s’autodétruire.
Bonne journée
Malheureusement en mathématiques le travail ne suffit pas. Plus que toute autre matière, être bon en maths relève plus de l’inné que de l’acquis. On ne fait pas d’un âne un cheval de course… Ce qui n’empêche pas de nous questionner sur cette effondrement chronique du niveau des élèves en mathématiques. Pour ma part je crois que la politique du “non redoublement” quasi-systématique des élèves qui n’ont pas le niveau (pour des raisons budgétaires bien sur) ni est pas etranger.
Apprendre les mathématiques pour la vie courante ne sert à rien, il faut juste savoir compter. Après pour un ingénieur, le travail est fait grâce à un logiciel. J’ai fait des gros chantiers en électricité, centres commerciaux, usines, le bureau d’études place, avec leurs puissances, les machines, le chauffage, les points lumineux…, sur un plan, et le logiciel donne le diamètre du câble, le disjoncteur à mettre. Aucun calcul est à faire.
Ça fait vingt ans que niveau s’est effondré en mathématiques, avec le lycée light d’Allègre. Ce qui a changé, c’est que l’écart entre le niveau du néo-prof moyen (le ventre mou des lauréats du CAPES) et de l’élève moyen de Terminale S s’est réduit.
BONJOUR: L ‘organisation du chaos, ne date pas d’hier, la preuve est flagrante.Depuis des décennies,la position de la France ,ne cesse de dégringoler, dans le classement des connaissances, de la culture ,de la recherche, etc .Ceci ,avec des complicités, tous azimuts !MEILLEURS VOEUX A TOUS.Ne pas desespérer.La VERITE commence à se mon-trer.N’en déplaise aux covidiots utiles !
Il faut se mettre dans la peau du lycéen : il choisit des options pour intégrer des écoles post-bac. Les écoles demandent toutes des options différentes pour des spécialités très proches. Exemple de mon fils qui fait des études s’apparentant à l’ancien bac S SVT : les écoles lui demandent : options physiques, SVT, maths… et il ne peut choisir que 2 options. Le moins difficile a rattraper semble les maths (entre “maths de base” qu’il garde et “maths spé”) par rapport à de nombreuses notions pointues qu’il voit en physiques et en SVT. C’est ce qui nous a été conseillé… L’avenir nous dira si nous avons fait le bon choix… Dans cet imbroglio des options!
Pourtant l éducation nationale distribue chaque année à tour de bras des BAC ????
On a les étudiants les plus diplômés d Europe ???
Que des cerveaux … mais trop petit donc ?
il y a des années, beaucoup d’années, ce sont les maths dites “modernes” qui m’ont dégouté des maths. “des patates” telles des amibes dessinées à la craie sur le tableau noir qui s’interjectaient ou qui se “bijectaient”. Du chinois avant l’heure.
Il y a 40 ans c’était haro sur la culture classique (les lettres) et vive les maths qui étaient soit disant à la portée des milieux socio moins favorisés.
On a donc instauré les maths modernes (que plus personne ne comprenait -enseignants comme parents d’élèves) et on a mixé cela dans une grand marmitte appelée collège unique (inique)
Après avoir lancé la sélection par les maths (pour faire médecine il fallait non plus savoir nommer les plantes en latin ou avoir la vocation de soigner mais savoir faire des équations) on s’est rendu compte il y a 20 ans que les maths (le simple calcul en fait) étaient encore plus stigmatisantes pour les pauvres, qu’elles leur donnaient “des boutons”.
On aura donc tout cassé depuis 50 ans : la culture scientifique, la culture litteraire, l’école, le collège, le lycée (et la fac) au nom de l’idéologie de la mixité (le wokisme) et de la -prétendue-lutte contre les inégalités
Nous nous retrouvons aujourd’hui avec une énorme administration démoralisée, inefficiente et paresseuse (les vacances c’est sacré), incapable par exemple de demander aux profs confinés par la Covid d’assurer à distance leurs cours (alors qu’on demande aux personnels soignants de continuer à travailler à l’hôpital, même atteint par la Covid).
Tout cela finira mal car si un poisson pourrit d’abord par la tête une société se désagrège d’abord par son école et son éducation.
Pourquoi voulez-vous former des ingénieurs, il n’y a plus d’industrie en France…
Ce qui est bien, c’est travailler dans un bureau pour faire de la paperasse, ça c’est le top qui favorise une forte croissance.
Et bien sûr, le must, c’est le télétravail !
Sauf que les maths à l’école publique sont très mal enseignés. D’un 18 de moyenne en 3ème pour les maths je suis passé à 5 au lycée en scientifique car je n’y comprenais plus rien à ces maths. J’avais remarqué que les profs n’arrivaient ou ne voulaient pas illustrer leurs cours avec des exemples concrets. Dans le coup me parler de théorie de Gauss, de vecteur bidule chouette, ne voulait plus rien dire. Heureusement je me suis rattrapé avec les autres matières et j’ai eu ce bac inutile. Car en sortant du lycée général j’étais toujours aussi con. Il n’y a qu’a l’université que j’ai commencé à comprendre le monde qui m’entourait. Faute d’avoir eu une famille pour m’encadrer, j’ai dû grandir par moi même et malheureusement avec l’Etat en guise d’apport intellectuel on est pas servi… Heureusement même après mes 20 ans et aujourd’hui 31, je continue d’apprendre et évolue professionnellement. Les erreurs de mes parents ou de l’Etat ne seront pas les miennes.
Un conseil, payez des écoles privées, des cours particuliers et suivez vos enfants. Trop de marmots sont accrochés à leur smartphone pour regarder Netflix ou tpmp et ne savent même plus faire cuire un plat de nouilles !
Comme dirait JCVD 1+1=11.
Je la colle aussi pour Veran celle-là.
Quand on pense qu’il y a encore peu de temps l’école française de mathématiques faisait autorité dans le monde au point que les publications sérieuses se devaient d’être écrites en français!!!
Pas grave.
Les gouvernants importent chaque année des centaines de milliers d’ingenieurs et de scientifiques.
Le regne des ordinateurs desapprend à ecrire et à compter….
– Le “vrai” Bac est le Bac S. Le reste c’est de “l’accompagnement éducatif”.
– Pour augmenter le nombre de bacheliers, ils ont crée : 1) Divers Bacs en filière Générale, 2) Puis, ils ont créé des Bacs filière Technologique, 3) Enfin, Ils ont inventé le Bac Pro… (environ 30-35 % d’une classe d’âge par filière)
– Si encore il s’agissait d’augmenter le niveau de connaissance… mais hélas…
il n y avait pas que c comme filiere,il y avait E aussi ,equivalent a C en science !!
pour continuer sur le fond,les entreprises paniquent mais pas toutes…pourquoi recruter des ingenieurs fr a hauts revenus au lieu d asiatiques a bas couts ?
methode americaine ou on importe aussi les cerveaux…
La vraie question n’est pas qu’il y ai N% de matheux, mais de combien de matheux on a besoin.
Et avec les ordi quantiques, m’est avis qu’il n’en faut pas tant que ça.
Pour le reste envoyer en math… sauf qu’on ne fait pas boire un ane qui n’a pas soif.
Enfin, j’ai un fils qui est excellent en math… seul soucis, sa manière de compter n’est pas conforme au schema décidé par l’éducation nationale. donc il se tape des mauvaise note parce que ca “methode” ne plait pas.
Comme disait Teng Tsiao Ping, peu importe la couleur du chat, s’il attrape les souris.
Faire des efforts pour vivre dans une telle société de merde, vaut mieux en faire le moins possible et en tirer le maximum en se satisfaisant de ce qu’on a, en attendant des jours meilleurs ou un changement de régime.
Faire des efforts, pourquoi, pour faire carrière, obtenir un statut supérieur, avoir plus de fric, vous parlez d’une motivation ou d’un idéal, épouvantable !
Faire des efforts pour finalement devoir se prostituer, car c’est bien cela que font les cadres ou les classes moyennes, j’ai testé à une autre époque, l’expérience fut très brève, éjecté !
Faire des efforts, encore faut-il que cela en vaille la peine, qu’on s’épanouisse ou qu’on en tire une certaine satisfaction.
Même quand on passe un examen ou on prépare un diplôme, il faut fermer sa gueule ou manœuvrer pour ne pas se faire saquer par le ou les correcteurs, cela aussi je l’ai testé. Pareil lors d’un entretien d’embauche ou face à son chez ou son patron qu’il vaut mieux flatter même si c’est le dernier des cons ou des salauds, cela je l’ai souvent testé, j’ai bossé dans 45 boîtes !
Que dire à un jeune ? Étudie pour être moins con, fais ce qui te plaît de préférence, et fous-toi du reste. Et surtout n’oublie pas de profiter de la vie, tu n’auras qu’une jeunesse dans ta vie, parole de retraité (de 66 ans) depuis 30 ans !
@ Cyrille, dans les maths (comme pour tout) c’est minimum 95% de travail. tous les scientifiques de haut niveau vous le diront, ils ont bossé comme des dingues. et plus on s’élève et plus il faut bosser.
@ Colin, en terme d’égalité sociale, les maths (les sciences dites dures) sont mieux que la littérature, philosophie etc (les sciences dites molles) car le maths ne font pas appel à la connaissance des “codes”.
un génie en math pourra obtenir un poste élevé quelle que soit son origine, le plafond de verre (qui existe qd mme) est moins resistant.
@ Colin, le PB des maths “modernes” était ques les enseignants ne les connaissaient pas. comment pouvaient ils les enseigner ? d’ailleurs arrivé au collège, les élèves faisaient des maths “conventionnels”.
Heureusement que la plupart des instits de cette époque avaient continué le calcul l’arithmétique et les problèmes de robinets.
Lorsque j’ai eu mon bac, c’était la première fois qu’il y avait autant de bacheliers qu’en 1968. Ce qui montrait que le niveau du bac commençait à baisser (enfin, cela avait du commencer bien avant, mais cela commençait à bien se voir). On avait allégé les programmes des matières dont les maths. On avait fait disparaître la première C et D, la première spécialisée Maths Physique, la deuxième Maths physique Sciences naturelles. On avait remplacé le tout par une première unique, la première S, histoire de retarder la spécialisation d’une année. Ceux qui ne pouvaient aller en S allaient en B ou G. Il restait quand même la terminale C (la voie royale) et la D. Plus de 30 ans plus tard, à force de baisser le niveau (merci Chevenement !), il n’y a plus qu’un bac S qui n’a pas le niveau d’un bac D et encore moins d’un bac C.
Pendant ce temps les pays asiatiques n’ont pas baissé le niveau, au contraire, ce sont eux qui finiront par remplacer les ingénieurs en France. Ils ouvriront peut être même des écoles en France pour former les français, enfin, ceux qi le pourront.
Malheureusement s’il n’y avait que les maths. La cours des comptes a révélé une étude sur la lecture récemment :
Le test Fluence: savoir lire un texte(sans avoir à le comprendre) de 120 mots (normalement 190) dans un laps de temps donné en respectant la ponctuation pour les enfants entrant en 6e.
Seulement 50% de réussite ! Édifiant.
Si vous ne me croyait pas allait voir sur YouTube, encore plus désolant. Donc nous entons dans un monde où les gens ne sauront plus lire nos compter….alors quand on leur demandera de voter…ouille,ouille, ouille
J’ai l’impression qu’on est en train de se réveiller comme tous les ans depuis plus de quinze ans, ce qui permettra de se rendormir dans quelques mois en filant la sucette qu’est le bac à 80 pourcents des candidats (hypothèse basse).
Je suis de la vieille école, j’ai enseigné dans des grandes écoles de ce qui était le groupe A. On a vu le niveau baisser régulièrement avant de se casser la figure en 2001 (premiers effets de la réforme du bac de 1996, des classes prépas, le tout arrivant au niveau bac+5). J’ai encore tenu le coup quelques années et j’ai jeté l’éponge. Dans une grande école de Chatenay que je ne citerai pas (même contre un carnet de timbres), j’en étais arrivé à expliquer la propagation des ondes radio avec les mains puisque jamais les élèves n’avaient entendu parler d’un laplacien ni d’un d’alembertien, chose qu’on faisait de mon temps dans n’importe quelle classe prépa, ne serait-ce que pour mettre en équation les problèmes d’électromagnétisme. On ne forme plus d’ingénieurs techniques en France, tout au plus des gens capables de pisser de la copie en pompeuse et coûteuse gestion de projet ou des “pousse-cartes” du niveau du technicien des années 1990. Tous les ans, j’ai des stagiaires en fin de cursus ingénieur. Sur les dix dernières années, j’ai eu un seul candidat valable (une boîte chinoise lui a fait un pont d’or pour aller bosser en Chine), j’ai eu plusieurs rapports de stages en dessin (faute de savoir écrire) et j’ai même eu un cas qui ne savait pas lire couramment sa langue maternelle (le Français).
Ce qui me fait vraiment peur aujourd’hui, c’est que pour remettre tout le système de formation à niveau, il faut se dépêcher et ça risque de prendre du temps. Il faut déjà former de nouveaux formateurs (et pour cela utiliser les gens qui commencent à avoir une cinquantaine d’années bien tassées avant qu’ils ne disparaissent de la circulation), puis former sérieusement la génération montante, ce qui commence par l’apprentissage sérieux des fondamentaux (lire, écrire et compter) et de l’effort, c’est-à-dire dès l’école primaire. Il faudra donc au bas mot vingt ans avant de remonter la pente. Je ne sais pas pourquoi, mais ce n’est vraiment pas gagné.
Beaucoup de réflexions intéressantes dans ces commentaires. Ce que je tire comme conclusion de cette déliquescence éducative généralisée, c’est qu’elle est organisée : quand on est de ceux qui veulent diriger le monde, il vaut mieux avoir affaire à des incultes, incapables de réfléchir, gavés de TV et de netflix. C’est moins dangereux pour eux.
D’ailleurs leurs enfants vont dans les écoles élitistes où il n’y a pas ni tablettes ni wifi. À la maison ils n’ont pas de smartphone ni de TV. Ils deviendront intelligents et cultivés. De vrais prédateurs, dignes de leurs parents.
Beaucoup de réflexions intéressantes dans ces commentaires. Ce que je tire comme conclusion de cette déliquescence éducative généralisée, c’est qu’elle est organisée : quand on est de ceux qui veulent diriger le monde, il vaut mieux avoir affaire à des incultes, incapables de réfléchir, gavés de TV et de netflix. C’est moins dangereux pour eux.
D’ailleurs leurs enfants vont dans les écoles élitistes où il n’y a pas ni tablettes ni wifi. À la maison ils n’ont pas de smartphone ni de TV. Ils deviendront intelligents et cultivés. De vrais prédateurs, dignes de leurs parents.
le Titanic coule comme je disais déjà en 2014,
avec M le Maudit l’eau recouvre le pont,
on a tous vu le film , -)
on sais ce qui va arriver bientôt ,
sauvez vous vous même courrez aux canots de sauvetages le Temps presse …
et quel que soit le résultat des élections, ( qui seront pipeautés avec probablement l’accés réservé a une partie de la population seulement des burreaux de votes ),
dites vous que RIEN ne remettra à Flot le Navire
trop Lourd !
La France malade de sa Bureaucratie Ubuesque :
Dans les années 95-2000 il fallait sélectionner de moins en moins d’étudiants destinés à devenir futurs médecins, ceci pour “Réduire le déficit de la Sécu”, donc “Sélection”, “Sélection”, “Re-Sélection” et “tir aux pigeons” à tout va sur les candidats du concours…..
20 ans après, les générations précédentes de médecins partant à la Retraite ne sont pas remplacées,
3 départs de médecins à la Retraite et 1 seul seulement de remplacé,
La population française augmente, Le nombre de médecins diminue, Rajoutez les épidémies à gogo + les restrictions budgétaires de L’Hôpital Public,
L’avenir sanitaire de La France est Sombre…
De même beaucoup de Lauréats du Bac ont eu leur notes gonflées depuis les années sous prétexte “d’inclusion” , un Bac au rabais, mais qui ne valait déjà plus rien,
et ceux qui poursuivent ensuite en Fac n’ont Ni l’imagination fertile, Ni les capacités de conceptualisation pour être des ingénieurs ou des créateurs innovants,
ce n’est pas étonnant qu’ils rejettent les Maths
-(peut être dégoutés par certains profs acerbes ???… ou bien formatés “par défaut” à 5000% par les jeux vidéos, les smartphones, et autres joyeuseries lobotomisantes…)-
et qu’ils préfèrent aller vers ce qui est censé être plus facile et rapporte le plus, dans ce monde où le seul Dieu désormais est L’Argent Roi et lui seul, et que TOUT lui est sacrifié…
Mon avis ?? : La France coule, va continuer de couler et sera incapable de réindustrialiser…
Nous assistons à la mort lente de notre Pays et des pays voisins, du fait que trop de décideurs “Enarques And Co” ont préféré le court terme de la délocalisation industrielle chez les chinois et autres pays à bas cout de production, dans le but d’augmenter leurs propres marges et de s’en mettre plein les poches…
Le “Kapital” humain de la Nation fut passé à la trappe, “Plus d’industries ??”
“Qu’importe… !!!” disait Chirac, “Eh bien nous créerons des emplois dans le secteur “des Services”…. répliquât-il sans jamais imaginer la suite…
Bouffonneries et vue à court terme Là aussi… !!!
On a entendu même pire, un certain “Pélimou” (cf Le “Bébéte Show”) connu pour son jabot, avait lui même avoué “etre convaincu” que, je cite : ” Jamais les chinois ne seront capables de générer des ingénieurs, ni de créer de L’innovation, ils ne sont et ne resteront éternellement que de simples exécutants….”
Là encore, lui aussi “Le Pélimou” (qui a failli être président à la place de Chirac en 1995) avait “Tout Faux” !!!
Les Chinois en rigolent encore …
A Force d’être Administrée par des Enarquoides sortis de L’ ENA, au final La France a généré des ANES,
et Le Pays s’effondre doucement mais de façon continue et exponentielle.
Le point de Non-Retour n’est pas Loin, voir peut être est il même déjà dépassé pour cette “France inclusive” où même écrire “sans faute d’orthographe” est devenu un péché, un blasphème…
L’Avenir est Très sombre, Notre pays va devenir un pays de 5ème zone voir pire, et sera soumis aux autres pays plus puissants et plus riches, qui eux n’auront JAMAIS renoncé à leur développement et auront poussé les jeunes gens talentueux au maximum possible de compétences…
Ce n’est même pas du pessimisme, c’est du Réalisme …
Et voilà comment, en section littéraire, se retrouvaient tous les élèves moyens ou faibles qu’on ne savait pas où mettre… Et nous autres les vrais littéraires, étions noyés dans ces filières au rebut, mais qui auraient dû avoir aussi leurs lettres de noblesse. Ce n’était pas normal non plus.
Tout cela est maintenant lissé, par la “désinstruction ” !
Meme expérience comme beaucoup de 19 sur 20 en troisième je suis passé a 4 sur 20 en seconde avec leurs maths dites modernes de plus le cureton toujours en sandale qui nous enseignait cela puait des pieds , un véritable calvaire ces heures de cours en apnée ( véridique )
Il y a une dizaine d’années, j’ai déjà vu les résultats de l’enseignement déclinés. J’ai eu l’occasion de participer à la correction d’un bac BTS transports, 2 années de suite. 36 élèves, que des gaulois, effaré par le niveau de ces apprenants, les énoncés de l’examen étaient du niveau du CEP, c’est dire si cela avait baissé, le Français, 4, 5 fautes par ligne, en math, tous avaient plus ou moins un problème avec les virgules et tout le reste à l’avenant, bref, les meilleurs notes, 2 filles entre 12 et 15 tous les reste très en dessous de la moyenne.
Que croyez vous qu’il arriva, la direction de l’établissement n’a tenu aucun compte des notes, tous le monde a eu la moyenne et tous ont eu le bac.
Pourcentage des élèves qui ont eu le bac en 2021, 93,80%
Vous comprenez mieux le niveau atteint par l’enseignement des maths de nos jours
Je lis les commentaires et je vois que l’on assimile, être bon en math et intelligence générale. On vous a vendu une fausse idée. Désolé.
@Badtimes sur 4 janvier 2022 à 10 h 40 min
Franchement, vous râlez mais vous ne vous relisez pas !
“Si vous ne me croyait pas allait voir sur YouTube, encore plus désolant. Donc nous entons dans un monde où les gens ne sauront plus lire nos compter….alors quand on leur demandera de voter…ouille,ouille, ouille”
Je corrige :
“Si vous ne me croyez pas, allez voir sur YouTube, encore plus désolant. Donc nous entrons dans un monde où les gens ne sauront plus lire ni compter”
Ou alors allez consulter un ophtalmologiste !
“ouille,ouille, ouille” en effet.
L’hôpital qui se moque de la charité…
J’ai passé un BEP puis un bac électronique il y a 34 ans. Il y a 5 ans, mon fils a passé un bac pro électrotechnique: J’étais effaré par la baisse du niveau.
Les notions que nous apprenions en BEP (nombres complexes, calcul logarithmiques, ect… sont maintenant vues en BTS… Je ne parle même pas des calcul d’intégrales que nous faisions en terminale…
Les gamins apprennent beaucoup de blabla, ingurgitent des pages de normes qui ne cessent d’évoluer avant d’être obsolètes mais ils ils ne maîtrisent plus les fondamentaux, ils ne comprennent plus “l’essence” de ce qu’est l’électricité.
En ce qui me concerne, j’ai repris les études pour devenir Data Analyst. J’ai du me plonger dans les calculs de statistiques, probabilités et calculs matriciels… Pour ce faire, j’ai acheté les livres de maths actuels: je trouve franchement que le niveau n’est pas extraordinaire, là où le programme de bac C me paraissait jadis inaccessible…
Nous fabriquons des génération d’incompétents, il sera très difficile de remonter le niveau quand les vieux seront en retraite…
Et ces pantes ne s’inquiétaient pas déjà que Nono n’est pas foutu de faire une règle de trois ou une puissance de deux!
Faut conclure que ce déficit remonte à loin et en plein nos “zélites” !
J’ai le BAC G j’ai bien cru que c’etait C mais comme je ne savais pas lire ni écrire un C un G c’est presque pareil..
A dire vrai je n’ai pas eu le BAC G3 la creme du pire BAC qui puisse exister.j’ai eu tenez vous bien
BAC Science des Tecniques du Tertiere Action Communication Commerciale
A pleurer de honte
Les maths ne font que suivre quelques années plus tard le marasme de notre langue dont l’emploi “académique” a sombré corps et biens .
Les entreprises, si elle sont efficaces, vont probablement créer des organismes de formation première indépendants de “l’éducation nationale” sur la base du mérite seul où il sera appris à lire, écrire, compter au lieu de blablater sur l’écologie, l’égalité H-F, la discrimination positive et autres imbécilités du même genre.
Les Chambres de Commerce et d’Industrie qui représentent les entreprises avaient un certain savoir-faire en la matière, à voir.
Mes chers camarades!!
Sachez que depuis 2012 à nos jours, l’enseignement en France a été déclassé de la 5e à la 25e place mondiale, et sur un plan global, la France passe de la 5e à la 7e place mondiale.
Nous voilà bien servi, c’est la déroute totale et ce n’est pas fini car tout dépendra du nouveau président élu en avril 2022…
“Logiquement le nombre de « matheux » s’effondre, et avec lui le nombre de futurs ingénieurs que ce pays pourra former.”
Cela fait bien longtemps qu’il n’est plus nécessaire de faire des maths pour devenir “ingénieur”. D’ailleurs, qu’est-ce qu’un “ingénieur” dans un pays sans industrie comme celui qu’est devenu la france. Les qualités littéraires sont bien plus importantes pour intriquer et évoluer dans le monde de l’entreprise d’aujourd’hui. Ceux qui aiment les sciences feront donc le choix rationnel de la médecine avec l’assurance d’un emploi à vie loin de la pression du privé. Ceux qui aiment les sciences plus “dures” feront un doctorat, profitant encore du peu de l’aura s’eteingnant des universités et écoles française, pour aller ensuite se vendre à l’étranger. On ne trouvera qu’un homme politique ayant arrêté la physique et les maths en seconde pour les blâmer. Matheux, fuyez tant que vous le pouvez encore !