“C’est en faisant n’importe quoi que l’on devient n’importe qui” ! Ce n’est pas de moi, c’est le slogan de Rémi Gaillard… un trublion comme notre pays sait en enfanter à l’esprit insolent et à l’humour potache.

Cette maxime, nous pourrions presque l’appliquer au mamamouchi préposé à la santé et qui d’après mes poules de cristal devrait démissionner en novembre (2021).

“La situation est compliquée” dans les hôpitaux, admet Olivier Véran

“La situation est compliquée” dans les hôpitaux, reconnaît le ministre de la Santé, Olivier Véran, dans un entretien à Libération. Il évoque “une hausse de près d’un tiers des postes vacants chez les paramédicaux par rapport à l’automne 2019”.

“Nous venons de donner un coup de sonde dans seize CHU et effectivement, si on extrapole les données, on constate une hausse de près d’un tiers des postes vacants chez les paramédicaux par rapport à l’automne 2019″, détaille le ministre, ajoutant qu'”un certain nombre d’unités dans des hôpitaux sont obligées de fermer temporairement, ou de réduire la voilure, faute de soignants, faute surtout de pouvoir en recruter”.

Olivier Véran note également une augmentation de l’absentéisme “d’un peu moins d’un point sur la même période pour les personnels non médicaux”, ainsi que des démissions, mais “dans des proportions modérées”.

Par ailleurs, entre 2018 et 2021, un peu plus d’un millier d’étudiants infirmiers en formation ont “démissionné avant la fin de leurs études” et “une enquête sera lancée” pour qu’on “en comprenne les raisons”.

A force de faire n’importe quoi, on n’obtient n’importe quoi.

Véran a fait fermer des centaines de lits malgré l’épidémie.

Véran a mis la pression sur les soignants virant ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner après nous avoir demandé de les applaudir.

Véran n’a pas amélioré les conditions de travail, ni l’organisation de l’hôpital.

C’est la destruction du système de santé qui a continué.

A un moment cela se voit.

C’est en faisant n’importe quoi que l’on devient n’importe qui, et Véran finira dans les limbes de l’histoire politique de notre pays.

Les Français n’ont jamais voté pour ne plus avoir de soins, de médecins, ou d’hôpitaux. Nous sommes tous prêts à payer pour cela et nous payons déjà fort cher.

Le coût de la pandémie est de 200 milliards d’euros. Ne me parlez plus jamais d’économie dans la santé. C’est indécent.

Charles SANNAT

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Source BFM TV ici

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