Je dis la Pécresse, mais nous pourrions aussi dire la « Valoche » pour rester dans l’humour potache.

Moi, voyez-vous les amis, cette campagne électorale me fait vibrer. Que dis-je, me fait rêver.

Je pensais que nous allions parler des grands enjeux. La place de la France dans l’Europe, notre souveraineté. Nos dettes. Nos projets d’avenir. La formation de nos gamins, des campagnes et des villes pour laisser aussi des enfants en bon état pour la planète et pas que des dépressifs à la Greta. Je pensais que nous parlerions de la Chine, de notre indépendance. Je croyais que nous allions évoquer notre réindustrialisation ou encore nos déficits, budgétaires comme commerciaux. Le chômage, l’assistanat comme la juste protection sociale.

Bref, que nous parlerions de ce qu’il faudrait faire décroître et  de ce que nous pourrions faire croître. De la connaissance et du savoir. De la philosophie et des arts.

Non.

Madame la candidate est préoccupée par le nombre de calories dans une portion de 30 grammes de calendos.

Affligeant.

Pathétique.

Et tellement prévisible.

Se faire élire sur rien.

Ne parler de rien.

Car La Précresse ou Le Macron, c’est Pécron ou Macresse.

Triste état de la politique dans notre pays qui sombre dans la nuit.

Charles SANNAT

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