Ha… non, ce n’est pas RGPD ! Par contre vous ficher à l’école comme parents d’élèves, c’est normal !
Et c’est hélas ce qui arrive à Méré, un village des Yvelines où les parents d’élèves sont vent debout contre la fermeture d’une classe dans l’école maternelle de leur village et où une pétition a été lancée, car une des trois classes de l’école doit fermer.
Actuellement, 57 enfants sont inscrits dans cette école ce qui implique qu’à la rentrée prochaine, il y aurait une classe de 28 élèves et une autre de 29, ce qui fait beaucoup ! « C’est d’autant plus inacceptable que notre village a atteint le seuil des 56 élèves, ce qui devrait permettre de rester à trois classes de 18 élèves minimum et non d’envisager une fermeture », analyse Justine, une mère de famille ».
Alors pourquoi fermer un classe ?
L’argument avancé par l’Éducation nationale pour cette fermeture est l’indice de position sociale « jugé trop élevé » !
En clair me direz-vous ?
Les parents sont trop riches en moyenne !
C’est trop plein de classes sociales dites « aisées » au sens de notre Etat communisant.
Donc dans la logique de l’Education nationale, c’est assez simple. On augmente les effectifs par classe chez les « riches » et on les diminue chez les « pauvres » .
Ici ce n’est pas uniquement une question de gros sous.
Nous parlons de CSP (les catégories socio-professionnelles) et donc on parle des riches et des pauvres d’esprit ! On parle d’éducation, d’instruction et de culture. Les enfants de cadres sup peuvent être 30 par classe, mais pas les enfants des pauvres… cela en dit très long sur la manière dont fonctionnent les « sévices » de l’Etat et sur l’Education Nationale qui se transforme en outil de contrôle social massif. C’est le cas par exemple de Parcoursup.
Source Actu.fr ici
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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C’est exactement ce qui s’est passé pour mes enfants dans ma ville de taille moyenne avec plusieurs écoles.
Pour arriver à limiter les effectifs dans les écoles de zones prioritaire de la ville, ils ont mis le surplus dans l’école de mes enfants, un quartier moins pauvre que le prioritaire.
A l’époque, j’étais parent d’élève. Et quand j’ai soulevé le problème, une adjointe a la mairie a répondu sans scrupule : dans les classes de vos enfants, ils ne sont que 28 pour le moment, je peut encore en mettre plus si je veux, rien ne m’en empêche, estimez vous heureux qu’ils soient pas 30 ou plus.
Ils n’ont rien améliorer, juste des vases communicants.
Exactement comme les impôts sans hausse de salaire. Sur 1000€, que je donne 300 a l’état + 700 de consommation qui crée de l’emploi ou alors 400 a l’état + 600 de consommation. Et bien je vous le dit, ça reste 1000€, pas plus
Rien d’étonnant.
Je vous recommande de visionner la conférence gesticulée « Inculture(s) 2 » de Franck Lepage (par ailleurs excellent sur nombre de sujets).
Eh oui, Franck Lepage, c’est aussi ça…
Lorsque je dirigeais une agence de matériaux , pour inscrire ma fille au lycée, j avais écrits : menuisier pour la profession du père … Pourquoi savoir la profession des parents ??? ségrégation ??? Venant d en emploi de technicien de chantier en menuiserie j ai souvent contourner ma fonction , en restant simple ….
Donc , précepteurs à la maison pour certains , abrutissement de masse pour les autres .
Le socialocommunisme qui règne en ce pays arrive à l’effet totalement inverse du modèle de l’école de la république pensée par ses fondateurs ; la vache , ça doit drôlement gigoter dans les tombes des Condorcet , Ferry et autres !
Affligeant ! dans mon école primaire nous étions en moyenne 60 par classe, quand j’étais en CM2, la maîtresse avait dans la même classe, le CM1, le CM2, le CFE1, le CFE2 et en plus quelques élèves « en retard ». On entendait les mouches voler, il y avait aussi le patronage où nous apprenions à coudre et à broder, des concours de dictions, la remise des prix en fin d’année, la chorale, etc! Certes ce ne serait plus possible aujourd’hui, mais quand même ! En ce qui concerne l’argument des pauvres et des riches, c’est juste complétement débile ! On marche sur la tête malheureusement.
L’école n’est plus là pour instruire mais pour réduire les inégalités comme l’impôt !
Maternelle :
– 30 par classe est la norme (avec Un enseignant et Une Atsem)
– La moyenne nationale donne une classe à moins de 19 mais en comptant des classes rurales à 12 enfants sur 6 niveaux (de la maternelle au CM2 dans la même classe)
– 30 élèves … (ou 28 …) souvent en classe à double niveau (bonjour le programme !)
– Virez les administratifs de l’E.N. (à 80% des enseignants) et remettez-les en classe … les effectifs par classe redeviendront normaux.
Les Services Publics c’est des fonctionnaires FACE au public (policiers, infirmières, sécu, enseignants, …)
Ce n’est pas si compliqué.
Les habitants de cette commune à l’IPS élevée ont sûrement voté Macron (les cadres ont en majorité voté pour lui).
Grâce à ce président, l’Etat a moins d’argent et son Education Nationale en fait les frais. Elle doit gérer la pénurie.
Ils sont comme les étatsuniens qui ont votés Trump pour virer les hispaniques et qui se sont fait virés par Musk parce que travaillant pour l’Etat fédéral.
L’arroseur arrosé.
L’Educ Nat ferme aussi chez les pauvres ceci dit.
C’est une politique budgétaire qui est appliquée.
Il en va de même pour toutes les décisions. Exemple: les profs n’ont plus d’autorité, on va leur en redonner via le pouvoir de décider le redoublement.
Rétropédalage, le redoublement coûte cher (en milliards d’euro svp). Finalement le redoublement est contre productif…
Quelle foutaise ! Pauvre pays !
Mon année scolaire Cours Préparatoire (1955/56, département de l’Isère), et j’ai la photo : 32 gamins. Dont 1 d’origine espagnole et 4 d’origine italienne.
Aucun problème, l’instit’ était sympa, la discipline existait sans abus et à la fin de l’année, tout le monde savait lire. Avec, grosso modo, une grosse moitié de la classe dont les parents étaient des ouvriers d’usine.
Si l’état est défaillant, il faut reprendre les rênes ! Recruter 2 ou 3 enseignants à titre privé et déduire ce qu’ils coûtent des impôts ! Sûr, ça risquerait de coincer, mais il faudrait des cas comme ça pour « faire école » !
Et on veut que les jeunes fassent des gosses !!!
La France est devenue un sacré merdier !
Faut se barrer pendant que c’est encore possible !
Objectivement 30 eleves par classe c est pas la mer à boire.
Mais le motif de fermeture est ignoble et montee que l ed nat tourne carré.
Moins de « bordel » dans les classes des enfants de CSP+ => ils apprennent beaucoup mieux ,même en étant plus nombreux.
Dans les années 60 ,les classes de 30 à 35 élèves semblaient être la norme. La difference avec aujourd’hui était qu’un « fouteur de m…. » etait envoyé chez « Dudulle » où il savait que ça se passerait forcement mal pour lui. C’etait aussi le temps où le père d’un élève puni ne venait pas casser la gueule du prof mais où l’eleve puni pouvait s’attendre à une torgnole de son père après celle de Dudulle.
C’était aussi l’époque des « colles » .
Les mougeons ont bien voté pour cette calamité et ils s’étonnent maintenant des conséquences que cela implique et la mère Borne, une vicieuse qui a fait ses preuves d’une incapacité totale surtout en matière d’éducation se fiche complètement des retombées de ses décisions, c’est quand même elle la sinistre de l’éducation nationale … elle obéit à Bruxelles et applique le plan mondialiste … niveler les français par le bas tant au plan financier qu’au plan social, en faire des esclaves.
Au risque de choquer, je vais prendre le contrepied:
– l’approche quantitative égale pour tous sans prendre en compte les besoins différenciés et le coûts de ressources dont le financement devient difficile est l’approche de gauche
– Toutes les études indiquent que les enfants des milieux plus aisés s’en sortent mieux à l’école, donc légèrement réduire l’encadrement là où les enfants en ont moins besoin grâce à leur environnement familial est une approche de droite d’optimiser les coûts de cette ressource qui devient difficile à fiancer.
On ne peut à la fois reprocher des dépenses publiques explosives et exiger un traitement des cas indifférencié malgré une différence de situation
@Alain
Sauf que dans les écoles situées en ZEP, il y a 2 enseignants par classe, pour 15 à 18 élèves max. En outre, lorsqu’un enseignant fait défaut en ZEP, il est systématiquement remplacé par l’académie, contrairement aux autres écoles « classiques », j’en sais quelque chose, mes 2 gamins ont fréquenté les 2 types de structure. Sans non plus tout réformer, il y a surement des choses à harmoniser pour que tout le monde soit gagnant. En l’état, c’est 2 poids 2 mesures, et effectivement les écoles situées dans des zones considérées comme avantagées (type pavillonaire, centre ville etc…) sont vraiment laissée pour compte, tant au niveau encadrement qu’au niveau ressources financières et moyens matériels.
Un état qui en arrive à ce genre de raisonnement, n’est pas/plus sauvable !
Même mis en camp de rééducation style goulag, je ne suis pas sûr que ces sbires de la déséducation nationale pourraient être remis dans le bon mode de fonctionnement/logique.
Liberté, EGALITE, fraternité, nous dit-on, les VALEURS de la République, nous rabâche-t-on à longueur de journée et honte aux partis qui ne respecteraient pas ces VAAALEURS!
Visiblement pas tous.
C’est peut être déjà cela, ce qu’évoque Charles depuis déjà longtemps : on va tous devoir se serrer la ceinture, surtout ceux qui dépendent de l’etat : on y est. L’etat n’a plus de sous, donc il réduit quelques dépenses. Alain a donc, peut être raison : la maison « remplace » un peu (beaucoup ?) l’école, en matière d’éducation et de culture, quand cette « maison » est a haut potentiel culturel et éducatif. A méditer….