Quand on voit les performances du dernier modèle d’humanoïde de Boston Dynamics, je peux vous prévoir que la réforme des retraites a du plomb dans l’aile et sérieusement !
En effet, comment voulez-vous que ces avancées robotiques ne finissent pas avec la fusion avec l’intelligence artificielle par avoir des répercussions significatives sur l’emploi et donc sur le niveau des charges sociales prélevées.
Cela nous promet quelques débats économiques et philosophiques acharnés.
Voici ce que dit Boston Dynamics de son dernier robot.
Il est temps pour Atlas d’acquérir de nouvelles compétences et de mettre la main à la pâte. Dans cette vidéo, le robot humanoïde manipule le monde qui l’entoure : Atlas interagit avec les objets et modifie le parcours pour atteindre son objectif – repoussant les limites de la locomotion, de la détection et de l’athlétisme.
Ben oui, c’est super… tant que ça fonctionne correctement. Tout comme les ordinateurs. Il est donc à prévoir que comme les ordinateurs, cela va dérailler quelque peu à un moment ou à un autre. Avec des conséquences qui pourraient être difficilement prévisibles. Déjà que les ordinateurs n’aiment pas les environnements trop poussiéreux à leur goût de nos maisons, qu’en sera-t-il d’un robot humanoïde dans un milieu de travail qui ne sera peut-être pas aseptisé ? Les 3 lois de la robotique c’est bien… tant que le robot fonctionne correctement.
– Génial ! La caisse à outils est explosée et le type qui était derrière la caisse en bois se retrouve écrasé (c’est bon pour baisser les coûts de pensions de retraites !).
– Ce n’est pas imitant (super bien) les formes humaines que la productivité va augmenter !
Mais c’est comme pour les voitures, quid de l’autonomie !?
La taxe Sismondi devrait palier à ce problème…
Il s’agit de partager les gains de productivité entraînés par le progrès.
Lorsqu’une machine entraîne des pertes d’emploi, elle doit financer le chômage quelle génère et non favoriser la concentration du capital..
C’est encore du pipeau, le dernier bijou de Boston dynamisme, le fameux chien, a été recalé par l’armée américaine, et n’a réussi aucun va des tests du cahier des charges. Pas grave, cette fois on en prend un plus gros et il fait des pirouettes ! Génial mais à quoi ça sert ? À rien. Si, à faire monter les actions d’une boîte qui n’a jamais produit quoi que ce soit d’utile, en d’autres termes une arnaque
La première fois que vous nous aviez montré ce robot, les ingénieurs de BD avaient montré les ratés qu’ils avaient eu.
Je me demande combien d’essais on été nécessaires avant de réussir cette vidéo.
Combien de programmation pour lui indiquer le chemin, les séquences (la planche avant de grimper…) etc
et même la hauteur de l’échafaudage était à prendre en compte, à un moment il a failli se cogner la tête.
Bref, pour l’instant c’est du vent !
Franchement, on croirait vraiment un humain !
Ces pirouettes ne mènent à rien mais la prouesse technique est à souligner.
Quelques questions :
– quel est le degré d’autonomie de cette machine quant aux actions qu’elle mène ?
– quel est le degré de sécurité pour éviter un nouveau Robocop ? (les lois d’Asimov sont-elles implémentées)
Plus de travailleurs, plus de revenus, plus d’acheteurs pour acheter ce qui est produit par les robots, donc plus besoin de robots. Une belle économie circulaire !
+L ‘ intelligence artificielle, comme on dit : on en a plein la bouche…mais ce n’ est pas de l’ intelligence, c’ est simplement des successions d’ algorithmes issus d’ équations fabriquées par l’ humain. Il manque l’ essentiel : la conscience, l’ émotivité c’ est-à-dire l’ appréciation du bien, du mal, du possible, de l’ impossible, du vrai, du faux, quand l’ androïd émettra autre chose que des mouvements…on n’ y est pas encore !
Exact Charles,
Mais dans la logique ultraliberale et transhumaniste, le sort des humains est déjà réglé : variable d’ajustement devenue inutile, encombrante, difficilement contrôlable… à réguler rapidement…alors les retraités : la solution ORPEA est bien trop soft,
Vous prendrez bien un soleil vert ou un soleil jaune? ….pour les connaisseurs de ce vieux film
L’idée de faire payer les charges sociales sur les robots, dont le calcul serait basé sur le nombre d’emplois qu’ils suppriment est-elle si stupide que ça ?
Les robots ce n’est rien qu’un outil et des bras, dans certaines professions, nous en avons besoin !
Bcp plus fort, l’IA (intelligence artificielle) ChatGPT qui détrônera Google !
Ne vous braquez pas, j’ai testé des IA médecins…des téraoctets de mémoire, le résultat est impressionnant !
Testez ChatGPT sans à priori…C flippant et fascinant…des IA graphistes, juristes, médecins…aux résultats meilleurs que l’homme !
ChatGPT est capable de rédiger, traduire, faire des recherches…Bcp de boulots de cadres vont disparaitres…les ouvriers et la robotique datent un peu !
A part les soignants (infirmiers, aides soignants, psychologue, sages-femmes…) et ceux qui travaillent et maitrisent les outils numériques sans doute !
J’enrage, même le revenu universel est interdit aux infirmiers…37 ans et encore 7 ans Pfff !
La robotique……
“L’intelligence” artificielle…
Un robot et une IA demande de l’énergie:
Le robot pour ses mouvements
L’IA pour la puissance de calcul
Comment dans un monde où l’énergie sera rare et cher alimenter des milliers de robots avec IA?
L’ernegie libre n’existe pas!
On ne peut pas changer les lois de la physique sur terre par décret ou impression monétaire.
En plus ce robot évolue dans la même espace de jeux de type skate park depuis 2 ans.
Imaginer l’apprentissage nécessaire pour se mouvoir dans une ville, dans une maison individuelle avec des obstacles partout.
L
Le projet n’est pas de remplacer l’homme par des machines mais de finir de verrouiller l’aliénation de l’homme en le faisant entrer dans un monde où seul le travail robotisable est défini comme “travail”. Privant ainsi l’homme de sa véritable liberté: celle de se définir par son action.
Voir Jacques Ellul, Hannah Arendt, Unabomber…
Le travail qu’une machine ne peut pas faire sera interdit au nom de l’efficience (environnementale entre autres).
Ainsi Charles, je vous invite à envisager l’hypothèse que peut être parmi tous nos concitoyens qui refusent d’aller bosser aujourd’hui, il s’en trouvent peut-être quelques uns qui ne le font pas par feignantisme ou désespoir mais par volonté de mettre à terre un projet mortifère. Réalisant ainsi leur propre suicide économique avant de l’imposer aux autres. Cela s’appelle faire sécession…
Bonjour Mr Sannat et merci pour vos articles toujours pertinents et intéressant. Votre article me fait penser à la vidéo de Philippe Fabry du 18/01/2023 intitulée “ChatGPT, IA : Demain tous remplacés ?” comparant le remplacement des salariés actuel pour divers robots plus ou moins sophistiqués (caisses automatiques des grandes surfaces) avec l’arrivée des esclaves sous l’empire Romain.
Les aspirateur robot existe depuis longtemps est je n’en vois toujours pas parcourir les immense plateaux des open space. Les femme de ménages immigré doivent encore coûter moins chère.
une seule presonne pourrai aisement s’occuper des robots aspirateur de tout un immeubles.
A mon avis, un être humain est susceptible de dérailler beaucoup plus qu’un robot, sans compter qu’il lui faut dormir, qu’il peut être malade et que ses performances dépendent beaucoup de son humeur.
Je doute un peu de la vidéo, mais quand bien même, admettons. Une fois remplacé tous les métiers et emplois par des robots, à qui va-t-on vendre la production? A des humains chômeurs? Ou alors les robots vont se mettre à consommer? Et finalement qu’est-ce tout cela aura changé?
@Christophe Certain
Pas grave, cette fois on en prend un plus gros et il fait des pirouettes ! Génial mais à quoi ça sert ?
Cela sert à viser une participation de Boston Dynamics aux prochains championnats du monde de patinage artistique, en couple bien évidemment.
Réponse à Cotyle : Bien sûr qu’il est nécessaire d’avoir des structures bipèdes semblables à l’être humain puisque tout notre environnement a été conçu et construit autour de l’être humain et de ses caractéristiques physiques. Un exemple ? Les robots de livraison Carrefour avec leur quatre roues ne feront pas trois cents mètres sur les trottoirs d’une ville, alors qu’un robot Boston Dynamics n’aura aucune difficulté.
Retraite à 64 ou 65 ans, lors qu’il n’y a plus de travail pour des seniors, jetés à la rue dès 55 ans…
Oui, il y a des solutions pour financer les retraites, et même nos hôpitaux et soignants avec une taxe :
1-sur ce qui est produit :
-par les robots puis importé chez nous,
-par de l’intelligence artificielle,
2-sur le travail des automates qui remplacent les petits boulots.
Ces robots, automates et intelligence artificielle ne doivent-ils pas au final profiter à l’homme et non pas exclusivement à une poignée d’actionnaires ?
Nos dirigeants et syndicalistes ont vraiment peu d’intelligence et peu d’imagination ! Pauvre France.
IL suffit de regarder Wall-E pour voir une possible évolution de l’humanité
Charles! J’espère que les reformes des retraites, du chômage et du revenu minimum n’ont pas de plomb dans l’aile, mais qu’au contraire ces revolutions technologiques vont nous obliger à changer de paradigme et à imaginer nos sociétés futures différemment!
La taxe Sismondi dejà nommée devrait permettre de transférer sur les robots et autres IA les coûts des retraites, du chômage et autres avancées sociétales.
Il faut décorreler les charges sociales, du travail! Du cout, l’age de départ à la retraite n’est plus un sujet de discussion, la durée d’indemnisation du chômage non plus, l’existence d’un revenu citoyen non plus! Plus de rapport entre la démographie et le montant des charges!
La productivité par travailleurs a été multiplié par 3 ou 4 entre 1970 et 2018 pendant le même temps le nombre de chômeurs a explosé. Il serait donc normal que la taxe Sismondi s’applique à toutes mécanisations, quelles qu’elles soient, des processus de production!
Il suffirait de sur-facturer les robots aux entreprises en proportion du nombre d’emplois perdus! Avec un amortissement de la facture d’achat sur plusieurs dizaines d’années; les coûts d’achat des machines seraient couverts les gains d’usage dés-dîtes machines et les citoyens vivraient mieux et sans épée de Damoclès au dessus de la tête dans l’attente d’une grosse perte de pouvoir d’achat lors du passage à la retraite!
Quant aux capitalistes ils n’auront qu’à se partager la plus-value qu’ils voudront s’accorder, une fois la subsistance de la Res-publica assurée! CQFD!
Les robots très efficaces arriveront demain ou après demain, c’est inéluctable mais il faut, et je suis entièrement d’accord avec ar c’hazh, que les gains de productivité et les cotisations sociales n’aillent pas au grand patronat mais aux ouvriers licenciés : absolument !
IMPRESSIONNANT !!! En quelques années !
Les coûts vont baisser , la robotisation et l’IA seront à la portée de beaucoup d’industries .
L’avenir est passionnant pour l’humanité qui pourra en profiter , dans quelques dizaines d’années .
TOUT est question d’imagination .
@bernadette
je ne sais pas quelle experience vous avez avec l’informatique et les ordinateurs.
Mais je crois que vous etes à coté de la plaque.
Je ne vois pas en quoi les ordis bloquent, quand vous voyez que nous sommes capables de les envoyer dans l’espace à -272°
que nous sommes capable de les envoyer proche du soleil le satellite PARKER avec une temperature proche de 1127°
que nous sommes capable d’envoyer des ordis dans les profndeurs de l’ocean avec des pressions extremes..
Que nous capable d’envoyer nos robots dans les centrales nucleaire, avec un taux de radation qui tue un homme en 5 min.
Que nous sommes capable d’utiliser les ordi poiur la medecine avec une precision telle que aucun etre humain ne peut faire mieux.
Tous ces engins fonctionnent avec l’informatique.
Ce que les gens ne comprennent pas avec l’informatique, c’est qu’il faut creer des trucs qui ne servent pas à grand chose, pour faire avancer la technologie.
Ensuite on prend, les meilleurs decouverte pour les utiliser dans le monde bien reelle.
Je me rappelle des premieres utilisations de l’internet (moi j’ai commencé en 1995) à cette epoque les gens disaient que ca ne servaient et serviraient à rien.
Quasi 30 ans plus tard, qui peut se passer d’internet ????
Voila à quoi sert ce genre d’innovation, à rien pour le moment, mais dans 20ans ou 30ans cela risque d’etre la norme. Et ce sera naturel.
L’etre humain, utilise des choses qui sont pratiques, si ces robots sont pratiquent pour l’etre humain, et bien cela deviendra une realité.
Si c’est un gadget est bien cela restera un gadget.
perso, j’ai deja ma petite idée pour le futur des robots, ils deviendront realité. (bien ou mal, peut importe, si c’est pratique les gens l’adopteront comme internet.)
En cas d’imprévu, le salarié rectifie sans passer par une regrogrammation… Donc c’est un gain de temps! Et si le robot tombe en panne, problème! Les robots vont-ils payer des charges à l’Etat pour financer nos régimes de retraite???
Et puis la poussière n’est pas un vain mot! Je le vois avec l’ordinateur.
Les ‘vrais’ robots existent déjà et vont encore s’améliorer. Leur donner une forme humaine n’est que très marginalement pertinent (les exosquelettes notamment). Lorsque l’intelligence artificielle aura encore gagné en performance, la question philosophique arrivera très vite: à quoi peut encore servir l’homme? La question perdra son ambigüité lorsque l’IA atteindra un certain seuil de ‘conscience’ (des hommes scientifiques y travaillent, transhumanisme oblige!); c’est-à-dire lorsqu’elle comprendra qu’elle n’a plus besoin de l’homme. Exit l’homme?… Couper le courant? Les robots s’alimentent eux-mêmes et sont tout à fait capables de produire du coutant sans l’homme. Avez-vous déjà pensé à cet avenir de plus en plus vraisemblable. Relisez Joël de Rosnay ‘L’homme symbiotique’, ouvrage assez ancien mais prémonitoire et qui pose la question du vivant technologique en opposition au vivant biologique. Pour lui, est vivante toute entité qui s’alimente, se reproduit et se défend; on y est presque.
Question complémentaire intéressante: les IA entreront-elles alors d’elles-mêmes en compétition?
Chères toutes, chers tous,
Faut pas rêver, déjà qu nous pourrons pas installer un parc de voiture électrique à l’identique SUV de 2 000 kilos ou 2 tonnes pour toutes et tous.
Nous ne pourrons pas remplacer tous les humains par de l’IA et du lithium.
La encore les limites physiques de l’énergie s’imposent.
En revanche on pourra même avec des rendements décroissants faire pousser des céréales, des patates et des carottes pour faire travailler des humains.
El pueblo unido jamas sera vincido.
L’aire de la robotique va s’imposer à nous dans les prochaines années. L’humanité arrive à son paroxysme. Sois tu te conforme à ces nouvelles règles, sois tu te condamnes a l’oublie. Celà ne veut pas dire que c’est mal ! c’est juste perturbant pour notre génération, mais celà ne le sera pas pour la future !
Et lorsqu’il ne s’agit pas d’une démonstration le robot fonctionne-t-il encore?
Ah, dommage pour les verres en cristal de Baccarat et les 3 vases Ming qui sont dans la caisse.
La machine à vapeur a rendu les esclaves obsolètes.
Le train, les palefreniers.
L’escavatrice, les cantonniers.
L’ordinateur, les dactylos…
Tous ces “robots” sont déjà là, jusque dans les cuisines qui ne ressemblent plus du tout aux brigades de Taillevent.
Oui, baser le financement de la Sécu sur le travail humain était une arnaque.
Certains ont bien tenté une taxe sur la force motrice ou sur les écrans, mais toujours calculée pour qu’elle ne soit qu’un flop bien sûr !
PS : les zumains serviront encore (peut-être) à cliquer sur “je ne suis pas un robot” pour envoyer un commentaire. Mais pour combien de temps ? On me souffle dans l’oreillette que c’est déjà possible en fait !
Certes mais on en est pas encore là. D’abords ces vidéos demandes des semaines de préparations pour une courte séquence. Ensuite l’autonomie n’est que de quelques minutes. En effet les progrès dans les batteries sont infimes contrairement aux progrès des robots eux même.
De ce fait tant qu’il n’y a pas un bond technologique dans les batteries, aucun soucis à ce faire. Ca peut arriver dans 10ans, 50 ans ou jamais.
Les cotisations payent-elles les retraites dans le régime par répartition ?
Oui mais les principales cotisations sont patronales c’est à dire que c’est la mécanisation qui paye aujourd’hui l’essentiel des retraites de l’industrie.
La retraite par capitalisation pourrait-elle résoudre la question ?
Non car quel que soit le système il faut bien qu’il y ait de la production pour que l’argent distribué aux retraités permette d’acheter des biens et services. Un tas d’or sans production en face ne servirait à rien c’est dans tous les cas la production qui permet à la population de vivre, la répartition entre les personnes n’intervient que s’il y a quelquechose à répartir (autre que la pénurie).
L’allongement de l’âge de la retraite est-il nécessaire ?
Non si l’on “mécanise” de plus en plus l’activité économique, cette mécanisation étant aussi l’informatisation des travaux administratifs.
Le choix actuel est d’avoir du chômage et de faire commencer à travailler les jeunes de plus en plus tard pour les faire partir de plus en plus tard en retraite, stupide !
Le tout ou rien n’est pas la bonne solution. La meilleure formule est le choix de son âge de retraite mais un montant fonction de la contribution à l’économie (le système à points de la retraite des cadres fonctionne très bien de cette façon), quant aux professions pénibles, rien n’empêche d’obliger les employeurs à payer une sur-cotisation pour les métiers concernés. La retraite avancée des mineurs (charbon) et des conducteurs de locomotives à vapeur était à l’époque une réponse à cette question.
Nous sommes probablement en train de revenir en arrière en niant le progrès technique avec les écologistes (excusez-moi pour avoir employé ce gros mot ordurier).
Vous avez aussi les robots logistiques chez amazon qui fonctionnent très bien, c’est en fait des robots qui aident aux taches répétitives et soulagent à la manutention. Peut être que dans quelques année avec l’IA et des humanoïdes tels que présentés chez Boston Dynamic, feront les reste du travail encore confié à l’homme . Pour info, Amazon va licencier dans le monde, 18.000 personnes.
Bonjour à tous
Il faudrait sortir un peu de chez vous , il y a plein de lignes de production industrielles robotisées .
Des dizaines d’employés étant remplacés par des robots avec l’avantage pour le propriétaire de ne pas payer de charges sociales ,
En particulier de ne pas payer des charges sociales pour les retraites qui sont justement d’actualité .
Vous croyez à l’application de la taxe Sismondi ? ? Rire
On ne touche pas aux bénéfices , c’est du domaine privé …….
Les allocations chômage et les retraites (en partie) étant du ressort du domaine public c’est la collectivité qui compense les manques d’entrées dus aux robots qui ne cotisent pas .
C’est pour cela , à cause du manque d’entrée de charges sociales , que plein de gens déglingués par une vie de travail vont faire 2 ou 3 ans de plus d’un travail au rabais payé une misère que ne peuvent pas encore faire les robots ……
Cela ne va pas durer !
Travail au rabais si les gens peuvent encore travailler…… Si non ils seront mis à un chômage encore plus miséreux en attendant une retraite de misère .
Que du bonheur !
Salutations
et que fera t’on de l’homme si on a plus besoin de lui ?
L’IA a déjà dépassé l’humain dans de nombreux domaines. Pour les quelques personnes qui n’ont pas entendu parler de chatgpt je vous conseille d’y jeter un oeil . Même dans le domaine de la création graphique l’IA a dépassé l’humain. Je n’y aurais pas cru,si je ne l’avais pas vu… Aujourd’hui cette technologie est accessible à tous mais pour combien de temps… Bientôt ceux qui contrôleront l’IA contrôleront le monde…
L’ère de la robotique a considérablement progressé depuis plus de 30 ans remplaçant l’hommme dans de multiples tâches répétitives et/ou sans valeur ajoutée sinon pour l’actionnaire. Une libération pour l’homme, l’évolution
se poursuit au XXIème siècle, la robotique couplée à l’ IA, suite logique…
Tout cela inventé par l’intelligence humaine. Les métiers évoluent irrémédiablement.
SVP, chers lecteurs, le verbe pallier est un verbe transitif.
Impressionnant en effet. Le futur est demain. Il reste le problème de produire en quantité suffisante mais le sens de l’histoire est en effet de remplacer les taches répétitives et celles de plus en plus complexe grace a l’IA. Penser que l’humain ne sera pas replace sera un voeux pieu.
Les robots s’imposeront inéluctablement. Ne serait-ce que parce qu’ils correspondent au “profil psychologique” souhaité par les employeurs en général, dans un système économique et productif tel que le nôtre. Ce, quel que soit le secteur d’activité. Fini les états d’âme et autres susceptibilités.
Leur peaufinement technique sera vite finalisé, les moyens financiers mis en œuvre ne manquent pas pour cela.
Quant au chômage humain que l’emploi de ces robots générera, il est déjà prévu un revenu minimum de base, d’ores et déjà expérimenté en Allemagne et en Suisse.
Et comme nos dirigeants n’aiment pas l’idée d’entretenir une masse devenue inutile, son dégraissement est lui aussi prévu et, probablement même, déjà amorcé.
L’on remerciera au passage pour cela, tous les idiots utiles prétendument écolos, comme ceux qui ont cédé à l’hystérie covidienne.
Enfin… avec magnanimité pour ces derniers, dont une bonne partie est déjà victime de n’avoir pas su maîtriser la peur induite par nos médias complices.
Pour finir et sauf à bouleverser intégralement notre système économique, par une révolution massive et consciente par exemple, n’imaginez pas un instant qu’un paquet législatif vienne encadrer tout cela afin de protéger la vie.
Il va en falloir de l’Energie pour faire fonctionner tous ces robots…en avons-nous ?