Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Cette semaine, dans le JT du Grenier de l’éco, je vous propose de réfléchir aux impacts de la retraite à 65 ans.
Si le combat syndical et politique va se poursuivre, et si chacun, en fonction de ses convictions peut y prendre part, je voulais aborder ici non pas le volet collectif et politique, mais les façons personnelles et individuelles de se préparer à la retraite à 64 ans, et qui sera le plus souvent à… 65 ans !
Si l’on commence à travailler à 22 ans et sans aucune période d’inactivité, avec les 43 annuités nécessaires pour un taux plein, la retraite sera en réalité à 65 ans pour une grande partie de la population. Au moins. Si vous rajoutez des études plus longues ou plus fastidieuses avec quelques redoublements ou chemins de traverses bien compréhensibles, si vous prenez en compte les périodes d’inactivité, alors nombres de nos concitoyens devront travailler jusqu’à 66 ou 67 ans pour atteindre un « taux plein ».
Mais ce n’est pas tout pour les mauvaises nouvelles.
Entre baisse du taux de remplacement (le montant des retraites va baisser), inflation et hausse des prix, mais aussi, un niveau d’emploi terriblement bas pour les séniors, ne pas préparer sa retraite c’est aller, non pas vers l’échec, mais vers des moments difficiles.
Il faut donc, pouvoir travailler sur deux horizons de temps.
Etre heureux dans son présent mais sans sacrifier son futur et son avenir.
Pour cela je vous propose de réfléchir aux 7 clefs, qui sont également un peu les 7 secrets de la réussite.
Votre avenir se prépare aujourd’hui.
Ici, encore une fois, aucune vérité absolue, mais des pistes de réflexion pour prendre de la hauteur et anticiper ce qui pourrait arriver pour vous protéger, vous, et ceux que vous aimez, ceux qui sont importants à vos yeux.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Bonjour Charles. Je pense sincèrement qu’il est inutile voir épuisant de vouloir prendre sa retraite à taux plein, car l’ environnement professionnel a malheureusement bien changé depuis 2017 : l’optimisation est devenue insoutenable, le management est devenu puant et la sécurité de l’emploi aléatoire pour les plus âgés. Je suis convaincu que chacun doit déterminer l’âge de son départ à la retraite selon sa tolérance à ces trois points.La variable d’ajustement sera évidemment sa pension, c’est pour cette raison qu’il faut prévoir son départ 5 à 10 ans auparavant, en quelque sorte en faire une stratégie à la carte, quelques pistes : ne pas faire d’études longues comme médecine par exemple, ne pas s’endetter pour le dernier SUV à 60000 euros, se séparer d’une maison devenue trop grande, ne pas promettre au petit dernier d’être nourri pendant ses études, ne pas offrir à madame la dernière cuisine high-tech à 40000 euros, ne pas perdre son argent dans l’assurance vie …. En vérité, prendre sa retraite en bonne santé ne s’improvise pas, partir avec une réduction de ses revenus de 40% par exemple permet de rester en vie plus longtemps ce qui est plus rentable sur le long terme, ne pas manifester dans la rue permet de garder ses mains et ses yeux. Un exemple : à choisir je préfère aller jouer aux boules avec les copains à 58 ans plutôt que de monter dans la dernière 5008 hybride à 70 ans sachant que je n’aurai pas l’espérance de vie de ce bel engin.
Les 7 clés :
– Mourir avant (… Hmmm)
– Gagner au Loto
– Travailler au black pour se mettre des « sous » de côté
– Sortir des villes trop chères où l’on gagne bien mais dépense trop.
– Voir ailleurs
– Créer son propre emploi avec ses propres clients
– Prendre exemple sur les solutions des populations qui sont déjà dans la misère …
– Bonus : Le salariat est finalement qu’une solution qui doit être vue que comme transitoire. Il faut viser son
indépendance (ne pas confondre avec l’autonomie)…
Quand je me lève à cinq heure du mat’ pour travailler dans un système pourri et malveillant, que suis-je ? Un collabo !
Vous avez raison Charles, il n’y a plus de travail dans ce pays, ni pour nos jeunes, ni pour nos seniors… cette réforme n’est-elle pas là juste pour diviser par deux le montant des pensions de travailleurs qui n’auront jamais le nombre de trimestres requis ?
(sauf pour nos énarques, tels Jupé qui siège au machin constitutionnel, parti lui à 57 ans)
C’est tout le système qui est à foutre en l’air.
A quoi cela sert il d’avoir une Assemblée, la Constitution puisque au final ce sont leurs decisions qui sont prises en compte, le 49.3 une belle invention qui ne tient pas compte des souhaits du peuple.
Tout ces cols blancs qui nous coûtent plus que la reforme des retraite avec des fonctionnaires dépassés dans leur boulot, il n’y a qu’à voir les mairies qui ne connaissent même pas les lois qui sont votées, la dernière en date savez vous qu’il faut que vous fassiez une demande de permis auprès de la mairie pour la pose de votre pompe à chaleur !!! Et les cartes d’identite et passeports certains sont obligés de prendre RDV SVP à 500 kms de chez eux et tout est comme ça avec une petite derniere pour la route notre phare du palais devait faire un geste pour les successions et bien non il ne le fera pas.
Où ils reviennent sur leurs promesses qui n’engagent qu’eux, où ils sortent des systèmes qui ne fonctionnent pas !!!
BONJOUR.Le système des retraites ,est en pleine décadence. »ON » nous dirige vers un système à l’américaine: obligés de travailler le plus tard possible, pour subsister. Ayant
vécu en Australie, j’ai eu l’occasion de voir des gens âgés, tenir des postes, ou bien chauffeurs de taxis ,qui avaient des reflexes amoindris (expériences que j’ai connues ,et c’était pas rassurant ).Donc vouloir partir avec une pleine retraite, c’est une erreur ,car il n’y aura plus jamais ,de retraite à taux plein. Tout est organisé ,pour diminuer les retraites .La MAFIA est au Pouvoir.
Pendant la Belle Epoque on avait la Rente !
Arrêtez de vous adosser à l’état.
Affranchissez vous de celui-ci en préparant votre retraite vous même à l’âge que vous souhaitez en vous disciplinant des que vous commencez à travailler en investissant pour devenir libre économiquement.
Il y a sur Youtube une chaîne fort intéressante ou un américain aura réussi après 30 ans de discipline à se constituer un portefeuille d’actions de $2,800.000 et encaisse chaque année $98.000 de dividendes et à arrêté de travailler dans sa cinquantaine.
Je sais que vous autres français avez été biberonné d’idées de gauche depuis votre naissance (moi aussi je le fus) et avez une aversion pour tout investissement boursier mais pendant que vous pleurez sur votre sort d’autres prennent leur destinée en mains sans rien demander à personne.
Tant que l’on continuera les yeux fermés avec le système par répartition (pyramide de Ponzi), avec de plus la gestion opaque de la sécu par les syndicats, on ne s’en sortira pas. Pas besoin d’avoir un prix Nobel d’économie pour comprendre ça.
Il y a du travail partout en France dans l’artisanat et le commerce, mais il faut se lever le matin et se retrousser les manches ! Seulement la civilisation des loisirs et l’argent facile (trafics et réseaux sociaux) ont profondément changé la société et les mentalités en France.
D’accord avec Kalliste, il y a du travail, il suffit de devoir faire appel à un artisan pour voir que l’on en manque, sans parler de l’agriculture qui devrait servir à l’autonomie alimentaire. Comment a-t-on pu croire que des hordes de « diplômés » universitaires suffiraient à faire marcher le pays?
Il est vrai que si l’on veut travailler il faut se lever le matin et faire parfois plus d’heures qu’on ne le voudrait. On n’a rien sans rien.
Bonjour
D’abord positiver,
Pour cela avoir la santé . Cela passe par une alimentation saine, faire du sport, lire et échanger.
Ne pas fumer et boire avec modération.
Avec ce postulat de base , il est beaucoup plus facile d’avoir une activité. ( on apparaît moins chiant pour les autres )
Car la notion de carrière c’est bon pour un salarié qui n’a pas su ou voulu être indépendant d’une manière ou d’une autre.
Pour le reste « aides toi, le ciel t’aidera « , marre des geignards
Surtout ne pas se faire vacciner à L’ARNm promu et parfois rendu obligatoire par des politiques et entreprises criminels qu’il faudra bien juger un jour.
Lisez les apprentis sorciers
Alexandra Henrion Claude.
Tous les vaccinés enfants adultes sont des OGM condamnés à une plus mort rapide que la normale.
Je pense que beaucoup de Français ont un problème avec la notion même de travail.
Il y a ceux qui savent bosser, et ceux là ne manquent pas de travail, en particulier les métiers manuels… et tous ceux qui n’ ont guère de qualification et vivent des aides diverses et variées depuis des années.
Ces derniers » étouffent » les actifs depuis des années et bénéficient de la mansuétude des politiques obnubilés par la prochaine élection !
Mon cher Charles , un autre regard,
Une année de travail en plus , c’est environ 750000 personnes qui génèrent des richesses en plus.
Donc avec 2 années en plus ce sont environ 1.5 million de cotisants en plus.
Compte tenu des déficits existants cela a du sens .
J’espère que la future loi travail apportera davantage de monde sur le marché du travail. Car aujourd’hui les actifs sont environs 31.5 millions, et que l’appareil d’état considère qu’il y a environ 6 % d’inactifs incompressibles.
Soit environ 2 millions de personnes.
Donc avec 1.5 + 1 million de retour a l’emploi suite a la loi travail ( je suis optimiste), cela donne 2.5 millions de cotisants en plus et donc 2.5 millions de recevant a un titre ou un autre en moins .
Avec comme conséquence une capacité á réindustrialiser le pays . A la louche cela remonte la part des emplois industriels á 20 % du PIB.
Car il y a besoin de monde dans les usines .
Cordialement,
Je vous trouve bien optimiste pour dire que le départ en retraite sera à 65ans!
En ayant le bac à 17ans (si le parcours scolaire est sans faute, suivi par des études bac+4 ça passe juste juste!
Mais combien y arrivent?
La majorité partirons à 67ans, sans forcément avoir le taux plein. Et pour ceux qui choisiront 66ans ils auront un malus de 5%.
Le Président voulais révolutionner le système lors de son 1er mandat… Il n’a fait qu’une réforme à l’ancienne, mais en plus musclée.
Souvenez-vous, Michel Debré, 1er ministre (1959-1962) voulais, pour régler le problème des retraites, une France à 100 millions d’habitants…
Tout le monde à l’époque savais que le modèle français n’était pas viable. Mais le conseil qui était donné aux 1ers ministres qui l’ont succédés et qui voulais réformer le régime des retraites: « Si tu veux mettre fin à ta carrière politique prématurément, tu n’a qu’à la faire »!
Pourtant, à cette époque, le taux de chômage n’était de 3%,chiffre incompressible.
La réforme actuelle prévoit un taux de chômage de 7%… Pour un Président qui veux le plein emploi, y a de l’incohérence dans l’air!
à l’âge de 30 ou 40 ans vous achetez à crédit un logement de 2 ou 3 pièces dans une région avec du travail.
Vous louez tout en remboursant le crédit durant 20 ans et arrivé à l’âge de 60 ans vous aurez un beau complement de revenus (au moins la valeur de 7 ou 800 €uros).
La retraite c’est à chacun de la préparer et ne pas pleurer après ce que l’Etat peut faire pour nous.
@ Merisier,
pourquoi le systeme de repartition serait un ponzi ?
le principe et que les sommes cotisées sont reversées quasi instantanement.
de ce fait les retraites perçues suivent le niveau de vie global du pays.
il reste à définir le taux de cotisation et sa durée. ce qui n’est pas simple.
A contrario, la retraite par capitalisation c’est verser de l’argent sur des fonds de placement (quels supports ?) ave le risque de faillite de ces fonds ou même de verser les sommes recueillies sur de vrais fonds ponzi (si-si, ça existe, Enron ou Madoff par exemple).
la gestion des retraites c’est d’abord la sécurité et la durabilité. je ne pense pas que le système financier réponde à ces deux critères.
En effet, il faut avoir gérer son temps… Suite à une réorganisation du service, je me suis retrouvé sur la touche, trop vieux pour faire une formation (le nombre d’années restant n’amortissait pas la formation). J’ai opté pour un départ anticipé, à un âge qualifié d’indécent aujourd’hui ! Retraite plus faible, mais j’avais anticipé en ne « claquant » pas tout pour satisfaire des pulsions coûteuses. J’ai, au final, appliqué un dicton « le vrai riche est celui qui dispose de temps ». 23 ans plus tard, toujours actif avec mes petits-enfants, je ne regrette rien.
Au PEL, j’ajoute le R de relations pour faire le PERL.
Investir dans des relations variées et saines évite de coûteux divorces, permet des échanges de services comme la garde des d’enfants, le jardinage, le bricolage, le soin des malades et des handicapés etc.
Avoir un réseau de proximité varié augmente la possibilité de rebondir dans sa vie professionnelle ou si on est entrepreneur de trouver des clients.
Cela permet aussi de mutualiser des coûts (ex. colocation, partage de véhicules…)
Avoir en complément un réseau plus éloigné est aussi utile.
La retraite par REPARTITION a été implantée par DE GAULLE et les COMMUNISTES en 1945 et á ce jour aucun parti politique n ose en FRANCE proposer la retraite par CAPITALISATION qui existe aux USA depuis un siécle,dans tous les pays d amerique latine depuis plus de 30 ans et même en CHINE…vraiment pathétique !
Bonjour,
Dans le contexte actuel de l’économie où on a laissé partir « de la matière » à l’étranger parce-que c’est mieux pour les cours de bourse l’entreprise à la grand papa ça n’existe plus.
En plus il n’y a plus de solidarité entreprise / salarié (dans les 2 sens) une cohésion qui fait dire au salarié avec fierté: « c’est MON entreprise ». Les personnes à la tête des grand groupes ne sont pas / plus ceux qui les ont créés mais des gestionnaires salariés (payés à prix d’or sans raison).
Puisqu’il n’y a plus que des tableaux Excel et qu’on peut améliorer les chiffres (plus de profit) en ajustant un petit truc par ci par là on délocalise, on automatise. Et après avoir viré tout le monde on s’étonne de ne plus avoir de clients parce que tut le monde est au chômage ?
Des gens bien éduqués ça se paie, des gens en bonne santé ça se paie et c’est pareil pour les routes et toutes les autres infrastructures.
Une majorité des problèmes que nous avons sont les conséquences directes des choix de société que nous avons laissé faire dans les décennies précédentes.
En gros, la société de consommation où on achète, souvent cher, des choses qui ne durent pas produites au bout du monde parce que sinon on a pas les moyens ça ne profite à personne sauf aux canaux de distribution.
Il faut que l’acheteur REFUSE de jouer à ce jeux là et CHOISISSE de privilégier d’autres canaux que la distribution classique qui ne se préoccupe de rien d’autre que de faire racheter le plus vite possible.
Tant qu’il n’y aura pas de valeur il n’y aura pas de travail et tant qu’il n’y aura pas de travail les retraites et autres choses ne viendront pas toutes seules.
En Suisse, la rente vieillesse 1er pilier, alimentée par les prélèvements sur les salaires de ceux qui travaillent, s’obtient maintenant dès l’accomplissement de la 65e année et 44 années de travail.
Afin d’anticiper la diminution du nombre des jeunes au travail par rentier a été rendue obligatoire, depuis 1985, la constitution d’une rente 2e pilier par capitalisation des prélèvements sur les salaires de l’ordre de 10-15%.
Pour les plus ayants, a été proposé une capitalisation défiscalisée 3e pilier.
Depuis toujours : combien ça coûte et qui paye !
@Marc,
et vous même où en êtes vous de votre préparation retraite ??
Bravo Charles! Très bon édito!
Même si 90% du peuple ne la veut pas, la capitalisation nous sera démocratiquement imposée, il y a tellement d’argent à faire pour les assurances et les copains de chez Rotschild et autres banques, idem pour la sécu,….Tous ceux qui n’y ont pas accès doivent très vite trouver un plan B……
comme dit si bien Claude REICHMAN, on assiste actuellement en France à une véritable couillonnade généralisée, s’agissant ( la retraite dite par « répartition » ) d’un système de financement inepte qui nous fut imposé juste après la guerre par le parti communiste et qui ne peut en aucun cas être sauvé ; ce psychodrame français qui dure depuis des mois est une énorme bouffonnerie et effectivement, comme l’écrit si bien MERISIER, inutile d’être prix Nobel d’économie pour comprendre cela !
J’ai connu une période ou la retraite était à 65 ans, c’est Mitterrand et sa clique qui ont foutu la m….Ensuite ça continue avec les 35 heures, et Balladur continue avec les 25 meilleures années. Et finalement l’Europe nous met au tapis avec un Euro qui vaut 7 fois plus cher que le Franc.
Quand on fait les calculs la retraite du privé devient une peau de chagrin : je sais ce que c’est. J’ai travaillé en moyenne plus de 50 heures par semaine et à la sortie une retraite à peine vivable, heureusement que j’avais prévu un toit.
Quant au travail, alors là, je dis qu’il y en a pour les courageux et là encore je sais ce que j’écris.
En l’honneur de notre président adulé
à partir de ce soir à 20 heures et tous les soirs,
concert de casseroles
devant toutes les mairies de france
jusqu’à son départ !
Bonjour à tous
Tout cela n’est valable que si vous avez encore la santé !
L’age de départ à la retraite à 64 ans c’est aussi l’age moyen en bonne santé :
Après cet age la moitié de la population française a une (ou plusieurs) des nombreuses maladies plus ou moins invalidantes qui finira par l’emporter ……..
Maladies que la médecine ne fera que soigner , elle est très bonne pour cela , elle vous garde en vie , avec votre maladie et ses invalidités plus ou moins « cachées » par de nombreux médicaments ayant des effets secondaires .
A part de rares cas la médecine ne saura pas vous guérir, elle est très mauvaise pour cela .
A moins de couper le »problème » par la chirurgie …….
Ce qui déclenchera très souvent d’autres problèmes dont on « évitera » de vous parler avant intervention .
Au fil du temps vous cumulerez des maladies invalidantes .
35,5% des plus de 60 ans sans emploi , cela n’a rien d’étonnant !
Vous voyez un travailleur cassé physiquement par le travail, comme peut l’être un travailleur du BTP , par exemple , se reconvertissant dans les tableaux Excel ?
Il y a bien la solution Walmart . Il y a une place de libre…..
Concernant votre « PEL » :
— En effet avoir du Patrimoine sous une forme résiliente comme la pierre et la terre est fondamental .
— L’Employabilité est indispensable à cultiver et se fait en général naturellement , vu l’évolution des techniques .
Une fois la formation initiale faite on passe le reste de sa vie à étudier pour suivre l’évolution de sa branche .
Si l’horizon semble se boucher , il faut étudier une reconversion le plus tôt possible !
— La Localisation est un point à choisir avec soin , dans mon cas j’ai choisi la Guyane pour y monter mon entreprise , exposée à très peu de concurrence dans mon domaine et avec une imposition faible ……
Retraite prise sur place avec le gros + de n’avoir pas besoin de chauffage et en ayant une garde-robe pas couteuse .
Aimant la forêt , je suis comblé !
Votre avis sur le statut d’autoentrepreneur est à nuancer , spécialement celui de microentrepreneur :
Le nombre d’échecs est très élevés .
Mais peut être dus aux personnes confondant le chiffre d’affaire avec l’argent disponible pour soi ……
Comme vu souvent par ici .
Salutations
Ces échanges me laissent perplexe… Quelques remarques :
1/ Quand j’étais gosse, les adultes travaillaient jusqu’à 65 ans et faisaient 45H / semaine. Dur, pas dur, c’était comme ça.
2/ Des boulots pénibles et des chefs chiants, il y en a toujours eu. On serrait les dents.
3/ Les loisirs existaient mais étaient plus modestes et moins coûteux. Nous n’allions pas aux Maldives, la belle affaire ?
4/ En revanche, le rapport au travail n’avait rien à voir. On travaillait pour gagner sa vie. Le chômeur, sauf exception, était un feignant ! On ne s’interrogeait pas sur le sens du travail…
5/ Travailler et gagner un salaire décent, c’était le coeur de la qualité de la vie, de la fierté du travail honnête et bien fait.
Contrairement à votre expression, il n’y avait pas, d’un côté la qualité de vie et de l’autre, en opposition, le travail ! C’est une vision moderne, marxiste, qui veut que le travail soit obligatoirement aliénant et déshumanisant. Comme si la vie normale devait exclure le travail.
6/ Par contre, comme vous, je critique la management des petits chefaillons aux diplômes en peau de lapin, incapables de motiver leurs équipes, ni amortisseurs des erreurs de la DG, ni entraîneurs des énergies. Juste des minables kapos obsédés par les objectifs annuels.
7/ Relire les attendus du CNR en 1945 sur les conditions des retraites par répartition : génération N inférieure à génération N+1. Génération N+1 au salaire supérieur à celui de la génération N. Ces hypothèses, vraies pendant les 30 Glorieuses, se sont avérées fausses dès 1983 ! On n’a donc pas le choix.
Bref, il y aurait tant à dire sur ce sujet !
Merci pour vos avis si sincères et généreux.
@Marc
Au vu du nombre de fois où les Américains se sont fait rincer leur retraite par capitalisation…
De mémoire, il y a quelques années, un Américain a foncé avec un Cessna sur un centre d’impôts. Cet Américain avait perdu DEUX FOIS les économies d’une vie qu’il s’était mises de côté pour sa retraite. 2 fois perdu.
J’ai pris ma retraite à 65 et commencé à bosser à 17 ans comme manœuvre sois 192 trimestres de cotisations j’en ai à ce jour 76 ans et en bonne santé certainement mieux que des planqués des différentes administrations ou types SNCF EDF RATP qui sont en retraite depuis leur tendre enfance à se demander si meme le mot travail est connecté