Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Vite, Taxaman, vite, Taxman au secours, vient nous aider en taxant les méchants riches ! Ici Zucman, j’ai une idée de nouvelle taxe… et si on taxait les gros riches !
Mais quel génie ce Taxman qui mange tous les sous…
Bon et pour les dépenses ?
Silence, ça pousse… silence radio, sauf du côté de l’Insee qui est quand même l’organisme officiel qui nous donne le vrai chiffre, celui qui va servir pour toute la comptabilité publique et ce vrai chiffre est une véritable catastrophe financière et économique pour le pays. 3 416.3 milliards d’euros. Un nouveau record (Insee source ici)!
Voici l’essentiel du communiqué de l’Insee, je vous reprends après.
Au deuxième trimestre 2025, la dette publique augmente de 70,9 Md€ et s’établit à 115,6 % du PIB
À la fin du deuxième trimestre 2025, la dette publique au sens de Maastricht s’établit à 3 416,3 Md€, soit une augmentation de 70,9 Md€, après +40,2 Md€ au trimestre précédent. Exprimée en pourcentage du produit intérieur brut (PIB), elle s’établit à 115,6 %, après 113,9 % au premier trimestre 2025. Contrairement au trimestre précédent, l’augmentation de la dette publique s’accompagne d’une hausse de la trésorerie des administrations publiques (+16,2 Md€ après -11,4 Md€), si bien que la dette nette augmente un peu moins que la dette brute (+55,5 Md€) et s’établit à 107,3 % du PIB après 106,1 % au premier trimestre.
Comprendre la dette en deux graphiques !
Je vous invite à bien regarder ces deux graphiques de l’Insee que vous pouvez retrouver dans le lien de l’Insee donné plus haut au début de cet article.
Comme vous pourrez le voir sur le premier graphique la dette en montant ne fait que monter, comme la petite bêbête de notre enfance, elle monte, elle monte mais ne descend jamais !
Pourtant sur le 2ème graphique toujours de l’Insee vous remarquerez que la dette en pourcentage de PIB est passé de presque 120 % à seulement 109 % du PIB entre 2021 et 2024 comme si la France s’était désendettée ! Evidemment c’est faux !
Si la dette en pourcentage de PIB baisse de presque 10 points ce qui est considérable cela veut dire que le PIB a augmenté de 10 % alors?
Et bien oui !!!
Mais si nous avions eu 10 % de croissance cela se saurait me direz-vous !
Et bien oui !!!
Cela se saurait et si vous ne le savez pas c’est qu’il n’y a pas eu 10 % de croissance.
Alors par quel tour de magie me direz-vous ce ratio a-t-il baissé ?
Par la magie de l’inflation mes amis !
Le PIB prend en compte l’inflation.
Si l’inflation est de 10 %, le PIB augmente de 10 %…
Ici en gros on a eu 20 % d’inflation pendant la période concernée Covid, pénuries, guerre en Ukraine, gaz, machin toussa.
Et donc le ratio dette sur PIB aurait baissé de 20 %, mais comme on a augmenté la dette de 10 % et bien le ratio ne s’est « amélioré » virtuellement « que » de 10 % et se redégrade depuis.
Quand vous voyez ces chiffres, vous savez que la dette est hors de contrôle.
Totalement hors de contrôle.
Si la seule réponse c’est l’augmentation des taxes, alors cela veut dire que la fiscalité sera elle aussi hors de contrôle.
Ce n’est donc évidemment pas solution et la solution c’est de tout changer, à commencer par la fiscalité qui taxe le travail ce qui est d’une stupidité sans nom si on veut que les gens travaillent !
Il faut donc taxer la consommation, les importations, les machines, les IA et les robots qui justement prennent du travail. Il faut taxer les délocalisations et donc les importations.
C’est une évidence aussi.
Mais nous ferons tout l’inverse, donc.. nous allons nous crasher.
Ici Flight France 007… mayday, mayday mayday….
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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Je ne comprend pas l’étonnement, tant qu’il y a déficit, la dette augmente et comme est à son plus haut niveau elle ne peut que battre des records de mois en mois !
« Toujours plus « de Closets
1982 non seulement rien n’a changé mais cela a empiré!
Poutant la compta. c’est simple, si vous avez compris en gros « DEBIT– CREDIT » Les BAC plus 30!! temps perdu!!
Tous en coeur : « On est les champions, on est les champions…. » 😉
Gaspillage scandaleux et rien n’est fait pour enrayer ça …ruiner la France pour la mettre à genoux et la faire intégrer à un gouvernement mondial, c’est le but des mondialistes. Macron et les précédents, des traitres sont les exécutants serviles de ce programme. Il serait plus que temps de réagir.
Le pib est une supercherie il y est inclus sur l’ordre de Bruxelles les recettes des péripatéticiennes et de de la vente de drogue !!! je sais pas comment ils peuvent calculer ça .Je me suis renseigné et au moins pour les dames elles n’ont pas de… sexmètres , comme les parkings ont des parcmètres,pour la dope c’est encore moins facile.Surtout ça ne tient pas compte du hors bilan et là nous passons avec allégresse les 8000 milliards !!!tiens pour faire passer ça je vais réinvestir dans le Ravioli
Bonjour Charles,
C’est quand même dingue que vous aussi vous ne pensez qu’à taxer et ne parlez pas des économies qui pourraient être faites sur le fonctionnement de l’état…
On a un état mammouth, il faudrait en profiter pour dégraisser au maximum.
Depuis des années, voire des dizaines, on désindustrialise, on n’enseigne plus la valeur du travail et on distribue des aides tous azimuts ce qui incite beaucoup à ne pas travailler et on s’étonnerait de voir la dette continuer à augmenter. Ce n’est même pas en taxant à outrance que l’on arrêtera le processus …triste France!
Héritage Giscard et de ses électeurs.
Si mes souvenirs sont encore bons, taxer les robots avait été envisagé en 1991. Sauf qu’il y avait eu une levée de boucliers de la part des industriels. L’objectif était de faire payer les sommes qu’auraient dues verser les entreprises à l’URSSAF et aux assurances vieillesse et chômage si elles avaient conservé les emplois humains.
A l’époque 1 robot de peinture remplaçait 24 employés travaillant en 3×8 et créait 3 emplois de maintenance ers (en théorie). Coût jugé inadmissible par les entreprises alors qu’un seul robot était amorti en moins d’un an. L’idée était juste mais inacceptable, un des arguments revenants était le retard technologique imposé par une telle mesure. Ils ont donc décrété qu’en fait. Les robots ne faisaient que déplacer la main d’œuvre. Pas tout à fait vrai, car ces machines n’étaient pas fabriquées en France, donc ce sont des emplois étrangers qui étaient préservés.
« Quand vous voyez ces chiffres, vous savez que la dette est hors de contrôle. »
Hé oui, Charles, « J’adore quand un plan se déroule sans accrocs » nous disait Hannibal de l’Agence Tous Risques car quand on relit le Protocole de Toronto :
« ….Ces transferts offrent plusieurs avantages pour nous. Ils contribuent à entretenir ces nouvelles
populations dans l’illusion d’une « Libération Economique », d’une « Liberté Politique » alors qu’en réalité, nous les dominerons par l’appétit du gain et un
endettement dont ils ne pourront jamais s’acquitter. Quant aux populations occidentales, elles seront entretenues dans le rêve du [Bien-Etre Economique]
car les produits importés de ces pays ne subiront aucune hausse de prix. Par contre, sans qu’elles s’en aperçoivent au début, de plus en plus d’industries seront obligées de fermer leurs portes à cause des transferts que nous aurons effectués hors des pays occidentaux. Ces fermetures augmenteront le chômage, et apporteront des pertes importantes de revenus pour les Etats-Nations…. »
très gauchiste ça, tendance mélenchoniste
Il faut donc taxer la consommation, les importations, les machines, les IA et les robots qui justement prennent du travail. Il faut taxer les délocalisations et donc les importations.
C’est voulu et organisé :
– le budget de l’État était équilibré avant 1972 ( 1972 est-ce une éternité ?) … Puis « on » a décidé de faire systématiquement 3% de déficit budgétaire ( quelque soit les gouvernement) … Hummm.
– L’INSEE ment et truque les chiffres : Comment expliquer, sinon, qu’un pays (la Russie) ayant le PIB entre l’Espagne et l’Italie puisse financer une guerre depuis 3 ans sans être ruiné contrairement à la coalition de plus de 30 pays dit « riches » qui sont en train de se ruiner ?? (l’endettement de la Russie restant vers les 19% )
– Rappel : Si on reprend vos chiffres : 20% d’inflation en 4 ans, c’est 4,66% d’inflation par an soit 17/365.
Cela veut dire que l’on travaille 1 an mais que l’on est payé un demi mois en moins (en pouvoir d’achat).
DONC sur 4 ans (en calcul composé) c’est : 64 jours de perte de salaire !!
DONC, depuis le COVID, les gens ont perdu 2 mois de salaire pour 1 an de travail !!
Ne cherchez plus a (encore) économiser sur vos dépenses courantes, il faut trouver de nouveaux revenus et se délocaliser hors des villes pour un loyer supportable.
Et ça fait combien par habitant ? par exemple un ménage de quatre personnes doit combien ? Et ça fait combien par producteur ( qui travaille ) ? Celui qui travaille va travailler combien d’années – sans dépenser – pour payer la dette ? je ferme la fenêtre de peur de m y jeter ….
Selon Pierre deGaulle, économiste, la dette réelle de la France est de 8.000 milliards
« Tout détruire pour mieux reconstruire ». » Parce que c’est notre projet « .
Ce n’est pas de moi…
Ce matin RTL, nous apprend que pour la premiere fois, le commerce extérieur de l’agriculture est déficitaire par rapport à nos importations agricoles alors que dans le passé c’etait le 2em poste excédentaire important des exportations, on est mal, on est mal. Les agriculteurs ont bien raison de manifester, la destruction de cette activité a commencé, merci l’Europe.
Il faut changer la classe politique des copains et des coquins et ce à tous les niveaux de la représentation (communale, départementale, régionale et nationale). Cela suppose d’abord de reconstruire un système d’information pluralisme et independant suivant l’Article 1 de la constitution des États-Unis.
moi je vois aussi l’effet Sarko de la crise de 2008 et l’effet Macron du quoi qu’il en coute….
sans ces deux effets, la dette ne serait « que » à 80-90% du PIB ce qui serait de toutes façons encore bien trop
Le problème des déficits jumeaux des comptes publics et du commerce extérieur provient largement du manque de compétitivité de l’économie française, grevée par le poids des prélèvements obligatoires sur les facteurs de production (le travail et le capital).
Toute hausse de la pression fiscale sur les facteurs de production, même s’il permettait de réduire le déficit à court terme, serait suicidaire à moyen et à long terme en incitant à la délocalisation et
Dans l’impossibilité (sauf FREXIT) de recourir à la dévaluation à cause de la monnaie unique, et aux droits de douane (à cause du marché unique et des accords de libre-échange , il ne reste, comme moyen de rééquilibrage des comptes publics et de la balance extérieure, que la TVA sociale, engagée en 2012 mais malheureusement abandonnée après l’élection Hollande après seulement quelques mois
Que pensez-vous des propositions de Sarah Knafo pour économiser rapidement et sans douleur 63Mdrs d’euros ?
Bonne ou mauvaise idée ?
Conséquences néfastes ou positives ? Seul un économiste professionnel peut nous éclairer.
Merci.