La précarité étudiante est une réalité.

Je ne vous parle pas de celle un « i-phone » à la main, qu’il faut balayer d’un revers de la même main parce que ceux qui râlent ainsi sont indignes de le faire, de même que ceux qui partent à Copacabana.

Je vous parle de la vraie, celle où nos gamins ne peuvent même pas trouver une place dans des dortoirs ou des chambrées de 4 ou même 8 étudiants !

La réalité, c’est que nous devrions proposer non pas des chambres individuelles avec grand luxe, mais un lit à tous ceux qui en ont besoin, ainsi qu’un repas… vous savez, un peu la même qu’en caserne ! Mais au moins, même les plus pauvres pourraient étudier sans avoir à aller livrer les pizzas et risquer aussi de mourir pour que la livraison se fasse en moins de 30 minutes, la pizza étant tiède… de même que le corps du gamin renversé pour 350 euros par mois.

Nos gamins.

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