Le but de mes écrits n’est pas de vous faire peur, mais de vous préparer, car c’est en sachant les choses qu’on peut mieux les gérer. Je m’attache à avoir une réflexion factuelle, sur « un temps long » et à ne pas donner dans le catastrophisme, sans pour autant éluder les réalités « dérangeantes ».Les analyses que je vous propose étant l’expression de « ma vérité » au moment de leur rédaction, je vous donne l’accès à mes sources, afin que vous soyez en mesure d’avoir VOTRE appréciation, éventuellement différente des miennes et ainsi construire VOTRE vérité, la seule qui vaille à mes yeux.Bonne lecture.

 UN SUJET D’ACTUALITÉ

Il n’est pas un jour sans que nous n’entendions prononcer ce mot de « pollution », au point qu’il finit par perdre son sens et surtout, de nous en préoccuper sérieusement. En consultant « la bible d’aujourd’hui » pour beaucoup, c’est-à-dire le célèbre Wiki, ce ne sont pas moins de 8 770 mots sur 21 pages qui nous éclairent sur ce terme de pollution. Sacrifiant à « la rapidité » contemporaine (21 pages, c’est beaucoup trop long à lire…), je me replie sur « la bible d’hier », autrement dit le dictionnaire Larousse, qui nous définit ainsi le mot pollution :

  • Dégradation de l’environnement par des substances (naturelles, chimiques ou radioactives), des déchets (ménagers ou industriels) ou des nuisances diverses (sonores, lumineuses, thermiques, biologiques, etc.). [Bien qu’elle puisse avoir une origine entièrement naturelle (éruption volcanique, par exemple), elle est principalement liée aux activités humaines.]
  • Émission involontaire de sperme, le plus souvent pendant le sommeil.

Vous connaissez depuis longtemps ma pratique du « multisources ». Celui-ci me guide naturellement vers mon site préféré en la matière, le centre national de ressources textuelles et lexicales (CNRTL), qui nous apprend que ce mot de pollution est emprunté au latin pollutio et qu’au XIIsiècle, il avait le sens de souillure. En 1314, il désigne une « projection de semence sans avoir le tans que c’est fait ». En 1690, il s’applique à la notion de profanation d’un lieu sacré et pour la première fois en 1874, désigne une souillure par des déchets « pollution des eaux de la Seine ». Ce mot désigne actuellement « l’action, le fait de souiller le milieu naturel avec des polluants ou des déchets, ainsi que l’état de dégradation et de perturbation de l’environnement, souvent nocif à l’homme et aux autres êtres vivants ». Voici pour ce qui est de la définition de pollution.

Je vous invite maintenant, chers lecteurs, à faire ensemble l’effort de prendre le temps du recul, de l’analyse et de la compréhension qui nous permettra de franchir sereinement la période d’extrême confusion actuelle, pour nous diriger résolument vers le « monde de demain » qui, n’en doutons pas, sera placé sous le signe de l’humanisme et de la spiritualité. Coucou Monsieur André MALRAUX.

Développons quelques exemples des pollutions :

  • Sonores. Le dernier rapport (12 octobre 2018 ) de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) nous apprend que la deuxième cause de mortalité liée à l’environnement est… le bruit. Le Conseil national du bruit (CNB) ainsi que l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) estiment le coût social du bruit à 57 milliards d’euros pour la France. Au-delà de ces chiffres mis en avant par une « foultitude » d’organismes privés ou d’État, il me semble judicieux de pointer ici nos contradictions. Historiquement, les aéroports se construisent loin des agglomérations. Avec le temps, l’urbanisation galopante finit par « encercler » ce lieu et les riverains se regroupent alors en association de défense contre les nuisances sonores des avions !!! Mon voisin du dessus fait « beaucoup de bruit ». Alors, dans le meilleur des cas, je vais déposer plainte au commissariat ou pire, je prends un fusil (évidemment non muni d’un silencieux) et tire un coup de feu à travers sa porte pour lui signifier les limites de ma tolérance à « SES bruits » !!! N’oublions pas de mentionner une pollution sonore « invisible », mais ô combien préjudiciable à notre monde animal : les sonars équipant la quasi-totalité des navires qui sillonnent les mers et océans poussant les baleines « au suicide ». C’est avéré.

 

  • Lumineuses. Bien que peu médiatisée, cette pollution a de réels impacts, hormis celui de « gêner » les astronomes amateurs et professionnels. Un bon éclairage nocturne doit permettre de bien voir sans être ébloui, ce qui n’est pas toujours le cas à certains carrefours routiers et encore moins celui des véhicules dont les phares sont très trop souvent mal réglés. De quand date le dernier contrôle du réglage des phares de notre véhicule habituel ? Pourtant, des solutions simples existent. Plus préoccupants, les effets sur notre horloge biologique et aussi celle des animaux. Avez-vous une idée des effets pervers de la lumière bleue (copieusement diffusée par nos écrans de télévision et d’ordinateur, mais surtout par nos téléphones mobiles) ? L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) nous informe que cette lumière bleue excite 100 fois plus les cellules photoréceptrices de notre rétine. Là aussi, des solutions de bon sens existent. Pour notre santé, n’oublions pas de diminuer drastiquement notre exposition à la lumière entre 30 minutes et une heure avant le coucher. C’est un véritable « suicide lent » que d’avoir un poste de télévision dans sa chambre et de s’endormir en regardant « le dernier film à voir absolument ». Cette pratique est juste bonne à enrichir les pharmaciens et surtout les multinationales du médicament.
  • Chimiques. Commençons par l’eau dont je vous avais informé de la fragilité dans mon billet titré « L’eau, ce bien si précieux ». Dans son rapport du 16 janvier 2018, l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) fait le triste constat que de nombreuses substances présentes dans les réseaux d’eau échappent à la surveillance, mettant en avant « l’effet cocktail » qui est toujours mal compris. Effet cocktail dont l’institut national de la recherche agronomique (INRA) nous démontre la dangerosité en matière de pesticides présents dans notre alimentation. Effet cocktail qui pollue aussi le sang des bébés, sans parler de sa potentielle implication dans « l’affaire des bébés nés sans bras » dont les investigations sont toujours au point mort !!! Cette même Europe qui n’hésite pas à prolonger l’utilisation des pesticides, dont le trop célèbre glyphosate. Un espoir… limité ? Le tribunal administratif de Lyon a annulé, le 15 janvier 2019, l’autorisation de mise sur le marché du « pesticide vedette » de MONSANTO, le Roundup. En plus des 10 billets que j’ai consacrés à Monsanto, Bayer et le glyphosate depuis le 14 octobre 2017, il est « amusant » de noter que l’inventeur de ce produit, la société américaine Monsanto, a été rachetée 64 milliards de dollars par son « concurrent », la multinationale allemande BAYER, en juin dernier, et que celle-ci s’est empressée de supprimer le nom de Monsanto de ses produits. Transaction qui a été autorisée par la Commission européenne. Transaction qui a entraîné, tout à fait « logiquement », la suppression de 12 000 emplois de par le monde. Cet achat place Bayer en situation de contrôle mondial de l’alimentation (semences), des engrais (glyphosate) et des médicaments (aspirine). N’oublions pas que Bayer fabrique le tristement célèbre GAUCHO, autrement dit le tueur d’abeilles. Cette multinationale allemande maîtrise parfaitement l’art de la communication, mettant en avant ses atouts : « De la protection des cultures agricoles, à l’Aspirine et aux nombreux médicaments, en passant par le Makrolon® et les polymères, les chercheurs de Bayer ont fait un nombre considérable de découvertes. Elles sont autant de choses concrètes qui facilitent notre quotidien et sont autant de ressources mises à disposition. » Mais en allant « un peu chercher » … on trouve des faits nettement moins flatteurs au sujet de cette entreprise, au rang duquel « l’achat de lots de femmes à Auschwitz » pour expérimenter ses produits. En recherchant plus avant, on découvre que l’un des administrateurs d’IG Farben (nom du groupe pendant la Seconde Guerre mondiale) n’est autre que Paul WARBURG… bien connu des lecteurs de mes billets. En effet, notre « ami Paulo » a très activement contribué à la création de la Réserve fédérale américaine (FED) dont je vous ai expliqué par le menu dans mes trois billets consacrés à son histoire, comment 12 banquiers privés se sont arrogé le pouvoir d’émettre et vendre aux États, la monnaie du monde (le dollar) avec la complicité des hommes politiques qu’ils ont achetés et mis en place. Nous retrouvons là nos « chers banquiers » Rockefeller et Rothschild. STOP. Je dois IM-MÉ-DIA-TE-MENT préciser ici que s’agissant de corruption d’hommes politiques et de grands banquiers… toutes ressemblances avec des personnages existants ne pourraient qu’être le fruit du plus pur des hasards et non pas de mon imagination totalement débridée… Quoique !!! Mes doutes s’appliquent bien sûr au qualificatif de mon imagination. Maman, si tu m’entendais, me lisais, tu aurais honte de ton fils … Re quoique !!!
  • Continuons avec l’air. L’OMS nous indique que 92 % de la population urbaine ne respire pas un air sain. L’Andalou que je suis devenu constate bien ce phénomène, lors de ses courtes escapades parisiennes ☹☹ ☹. La Fédération française des associations de protection de la nature et de l’environnement « France nature environnement » nous précise que 500 000 Européens, dont 48 000 français, meurent chaque année de la pollution de l’air. Mais au fait… la Délégation à la sécurité routière (DSR), une des branches du ministère de l’Intérieur, n’en fait-elle pas « trop » avec l’abaissement de la vitesse de 90 à 80 km/h pour « diminuer le nombre de morts sur les routes » qui est, pour le dernier bilan publié (2017) de … 3 684 morts (métropole et outre-mer) ? Ce bilan est en baisse depuis 2000, et c’est tant mieux, mais n’y a-t-il pas là « deux poids, deux mesures » ? Nous restons dans « les contradictions Z’officielles » avec la pollution due aux moteurs de véhicules, petits et gros. En effet, il fut un temps où, en France, le moteur diesel était roi, puis vint la disgrâce. Il suffisait de « changer de thermomètre ». En effet, le diesel émet moins de dioxyde de carbone (CO2) que le moteur essence, MAIS il dégage des particules fines et du dioxyde d’azote (Nox). Puis vint « le scandale Volkswagen » de la fraude aux émissions de CO2 sur ses moteurs diesels puis essence. Maintenant que le gouvernement a condamné le diesel au profit de l’électrique, il est difficile de faire un « choix raisonné » en matière de motorisation, tellement les automobilistes sont manipulés. D’autant plus que des tests fiables existent aujourd’hui en matière d’émission polluante. Et, « curieusement », ON découvre que finalement « la pollution » augmente quand même. Mais quand arrêtera-t-on de croire le monde politique ? Des « solutions » existent là encore, mais peu de médias s’y intéressent. Dans mon billet de juin 2017, je vous informais d’une nouvelle petite centrale à charbon qui ne rejette plus de CO2. Dans celui de décembre 2017, je vous faisais part du projet d’éolienne pivotante pour la traction électrique de navires, ainsi que l’expérimentation par AIRBUS de l’expérimentation d’une « aile volante » pour assister le moteur classique des navires.
  • Plastiques. Haro sur le plastique, tous les plastiques, et Dieu sait si nous en consommons des plastiques. C’est le dernier « joujou médiatique tendance ». Ne l’avez-vous pas encore entendu ? Avissse à la population : « Oyez, oyez, braves gens, les déchets plastiques polluent ! » Depuis le 1er janvier 2017, les sacs en plastique jetables, c’est fini ! Figurez-vous qu’en se dégradant, les déchets de plastique libèrent de l’éthylène, un gaz à effet de serre… Si si, ce sont des chercheurs de l’université des science et technologie d’Hawaï qui l’écrivent. Il faut prendre conscience de notre inconscience, en matière de gestion des déchets. Chaque minute, entre 80 et 120 tonnes de déchets arrivent en mer, pas de quoi être fiers. Récemment, les plages de Saint-Domingue ont été submergées par 60 tonnes de déchets de plastique en seulement 6 jours. Cette pollution est telle qu’actuellement, cette « mer de plastique » représente le 7e continent par sa surface.
  • Électromagnétiques. Notre corps est vibration. Il émet donc en permanence des ondes électromagnétiques. Dans le cadre d’une électroencéphalographie, un appareil transforme les ondes du cerveau en un graphique qui permet d’étudier les différentes ondes cérébrales (alpha, bêta, thêta et delta). Dans le cadre d’une électrocardiographie, c’est l’analyse des ondes cardiaques qui sont étudiées. Les différents organes de notre corps ainsi que toutes nos cellules vibrent à des fréquences qui sont affectées par la proximité des appareils émettant aussi des ondes électromagnétiques tels que les transformateurs électriques, les radars, les lignes haute tension, les appareils de radio et de télévision, les téléphones mobiles… Ces ondes invisibles, dont nous sommes de plus en plus « bombardés », sont source de dérèglements du bon fonctionnement de notre corps. Certaines personnes dites électrohypersensibles doivent vivre en se protégeant totalement de tous ces rayonnements électromagnétiques. L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) veille à l’information du public sur ces rayonnements. Il ne faut pas ignorer, comme je vous l’ai rapporté dans mon billet de mai 2018, que des recherches sont faites pour contrôler nos cerveaux à distance par induction électromagnétique. Comme toujours, des solutions existent pour se prémunir, au moins partiellement, des méfaits de ces phénomènes. Exemple d’une bonne mise à la terre des installations électriques des lieux d’habitation, ou de housse de protection faisant « cage de Faraday ». Le choix d’un bon câblage des installations électriques domestiques fait « normalement » partie des connaissances d’un professionnel digne de ce nom. Le bon sens implique de ne pas mettre en deçà d’un mètre cinquante de son lit (surtout de son oreiller), quelque appareil électrique (comportant un transformateur) que ce soit. Pour les geeks, je vous ai informé de la sortie d’une « appli » vous permettant de mesurer l’importance du bombardement des ondes du WIFI dont vous êtes les victimes.

Je vous donne rendez-vous le 23 courant pour d’autres pollutions et « le chemin » qui nous mènera jusqu’à « notre bien aimé président ».

D’ici là chers lecteurs, prenez bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.