« L’écologie politique conduit à une catastrophe environnementale »
“Pour Jean-Loup Bonnamy, l’écologie politique prônée et menée par certaines classes favorisées, est en réalité nocive pour l’environnement et aggrave le rejet de CO2. Une politique ambitieuse de préservation de l’environnement doit être ancrée sur des réalités et pas des principes idéologiques ou affectifs, expose-t-il”.
Pour ceux qui comme moi pensent que l’écologie est un sujet majeur, bien trop important pour qu’on le laisse aux mains d’écologistes illuminés et trop souvent extrémistes et sans nuance, des idéologues se transformant en très dangereux Khmers verts, alors cette Tribune du Figaro vous alimentera intellectuellement grandement.
C’est un peu long à lire, mais c’est riche, utile, et pertinent.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
A lire la suite sur le site du Figaro.fr ici
“Dixième principe: Mettre en place une diplomatie de l’écologie. La France n’a pas à rougir de son propre bilan: avec une industrie peu polluante et grâce au nucléaire, elle émet moins de 1% du CO2 mondial”
Sophisme ! La France n’a pratiquement plus d’industrie et importe la quasi-totalité de sa consommation manufacturière.
De fait, la France a “exporté” ses industries polluantes chez ses fournisseurs.
Nous polluons par procuration.
Bonjour. Les psychopathes de l’écologie!!!!!
Excellent article de Jean-Loup Bonnamy. Puissent nos dirigeants s’en inspirer.
Hahahahah, l’écolofigarologie….
Voilà ce qui va se passer, l’Ecologie va rester une vaste bidonnerie car personne (sauf qq illuminés visionnaires) n’accepte de baisser son niveau de consommation.
Les politicards ne peuvent se faire élire sur du concret (il n’y a qu’a voir les foudres qui tombent à la moindre petite phrase)
Tout le monde va être très très content de la course à l’échalotte de la croissance sur notre planète finie.
Puis viendront les temps des pleurnichards et des premiers affamés..
Et enfin la guerre civile générale pour bouffer et boire..
et…. internet … le figaro et écolos et les croissantistes réalisto-raisonnés….. disparaitront en poussière
Bon WE
Toujours la même erreur originelle…
Le CO2 n’est PAS le bouton de contrôle du climat !!
Mais bon, ce n’est plus un problème scientifique …
L’histoire de la reprise du Zoo de Pont Scorff par Rewild avec les soutient entre autre de la fondation de brigite bardot est édifiante sur le sujet.
On allait voir ce qu’on allait voir…
Et bien on a vu… Les camions de l’équarissage qui ont débarassé des tonnes , je dit bien des tonnes d’animaux morts, et au final une mise en liquidation judiciaire.
J’ai voté longtemps écolo et à force de me former, d’écouter Jancovici, de vérifier et revérifier moi même les données: les écolos se foutent de notre pomme et n’ont rien comprs au monde réel.
Ce sont des bobos déconnectés des réalités et en plus des gauchistes mondialistes qui fricotent avec l’islamisme ce qui montre bien la dérive idéologique d’une partie de la gauche.
Par contre j’aimerais bien de temps en temps que les gens qui critiquent l’écologie politique regardent un peu les rapports du GIEC qui ne sont qu’un aggrégat soft de la recherche mondiale dans le domaine.
Oui soft, car il faut un consensus, du coup que les éléments qui sont dans le consensus sont acceptés et non pas tous les travaux, les très pessismistes ont tendance à être écarté semble-t-il, d’ou les vilaines surprises qu’on a régulièrement quand on checke le terrain.
Le problème, c’est que ces rigolos servent le pouvoir en place. Tout ce qui va dans le sens d’une privation de liberté et de surveillance généralisée est bonne à prendre pour eux.
Donc on n’a pas fini d’en bouffer, du réchauffement climatique dû aux activités humaines (et de rien d’autre, bien entendu, le nier serait anti-scientifique)
Retraité de l’agriculture, grand jardinier ayant toujours l’œil affûté, observant les cultures de mon fils successeur et faisant, en voiture, la lecture du paysage cultural(au risque de louper un virage) je peux vous dire que je suis affolé de voir la dégradation, vitesse grand V de l’état des cultures de notre Sud Ouest. Souvent, je m’étonne du piteux état des terres sur-travaillées ainsi que des cultures qui les couvrent. J’essaie de relier ce constat aux conditions climatiques mais en réalité, les conditions ont été clémentes. C’est alors que petit à petit mon raisonnement s’élabore. En fait ces cultures sont tout simplement bio. C’est-à-dire en gros, 2 à 3 fois moins pour le rendement et 2 à 3 fois plus pour le prix.<<<que l'on me dise quel agent économique peut se permettre une telle prouesse ? Si l'agriculture conventionnelle empoisonne, il faut l'interdire et demain, tous bio et après demain la révolution parce que selon la pyramide de Maslow, l'alimentation est un besoin de base et il y a inélasticité entre l'offre et la demande (effet King). Si les patates sont abondantes, donc pas chères, je n'en mange guère plus, s'il y a pénurie, elles sont hors de prix et je suis prêt à mettre n'importe quel prix parce que c'est vital. Avec le bio, tout deviendrait hors de prix, ce qui n'est pas un problème pour certains bobo mais pas pour le Rmiste.
Sans parler des dégâts occasionnés sur les terres par le travail répété et conventionnel pour se débarrasser des herbes indésirables. La terre étant fragilisée à chaque intervention, ce qui la rend sensible à l'érosion. Sans parler des consommations de gasoil et de l'usure des tracteurs et outils qui font 3 à 4 fois plus d'heures que la normale Il n'empêche que les agriculteurs bio ont les + beaux parcs de matériel, outils en tout genre excepté le pulvé, magnifiques tracteurs, tout cela grâce aux aides de reconversion. Les produits bio devraient être encore + chers au rayon s'ils intégraient les subventions spécifiques au bio.
Le pire c’est que nous sommes submergés de messages subliminaux nous incitant à faire ceci ou à ne pas faire cela au nom de l’écologie.
Désormais au quotidien qui n’entend pas au moins une fois le mot “éco” quelque chose, ou bien “solidaire”.
Il ya quelques années vous aviez des moutons dans un pré, ça s’appelait un “élevage de moutons dans un pré”. Aujourd’hui il faut dire de “l’éco pâturage” quand il est pratiqué par des écolos bobos avec 10 animaux.
Mais quel est donc le rapport avec le CO2, uniquement leur idéologie, qui voudrait que seuls ces gens là auraient le droit de vivre puisque seuls eux savent ce qu’il faut faire pour sauver la planète et tous les autres ne sont qu’à éliminer.
S’il fait chaud c’est le réchauffement climatique et s’il fait froid, aussi, Dans tous les cas ils clament qu’ils ont raison, tout en niant que le climat de la terre change régulièrement avec ou sans nous.
“… l’écologie politique prônée et menée par certaines classes favorisées”. Pour preuve, les grosses voitures ont bien un malus, mais cela ne les empêchent pas de polluer, les bateaux de plaisance, eux n’ont pas de malus, pour les avions, il n’y a qu’à consulté le fameux site qui permet de suivre les avions, actuellement, il y a plus d’avions privés qui survolent notre territoire que d’avions de ligne… En résumé la véritable écologie, (surtout ces contraintes), doit être supportée que par les sans dents… Fini le tourisme de masse, la démocratisation des loisirs… On revient lentement, mais surement au temps des Seigneurs!
Bonne nuit aux barjots de l’écologie, dormez bien et surtout dormez très très longtemps…..
Très bon article, il y a juste ce mélange fréquent Co2 = pollution or le Co2 n’est pas un gaz polluant.
Le problème qu’il pose sont ses rejets en excès et son effet de serre.
On ne peut pas gouverner ou proposer quelque programme politique que ce soit en étant basé sur de l’affectif. C’est là où les écolos se trompent lourdement et conduiront à des catastrophes d’abord environnementales puis sociales.
C’est d’ailleurs exactement ce qui se passe avec la gestion du covid 19. Chantage affectif basé sur la peur de la maladie et donc de la mort avec un virus dont la létalité est de l’ordre de 0,07% voire moins.
Nous n’avons pas encore touché le fond, mais on s’en approche maintenant à vitesse supersonique. Nous vivons une incarnation des plus intéressantes !
@persylvain Si je comprend bien votre message il vaut mieux polluer les sols et bouffer du pesticide que se diriger vers du bio ?
Bien entendu le bio dans sa conception actuelle est à chier (on en revient au final à de la culture intensive avec des substances chimiques toujours plus nombreuse que l’UE considère ok pour le bio).
Le fait que les grandes surfaces s’en emparent ajoute à l’incohérence de vouloir consommer du bio (tous les produits bio en grande surface son emballés dans du plastique…)
Cependant un vrai progrès ne serait pas un réel retour à la terre, un retour de l’intérêt des gens pour manger une alimentation de qualité, produite localement, sans trop de merde dedans (car le paysan n’aura pas envie de faire bouffer de la merde aux clients à qui il vend directement).
Il serait bien entendu question aussi de payer à juste prix ceux qui nous nourrissent, qui sont une pierre angulaire de la vie d’une société.
Votre vision “on a toujours fait avec les pesticides et il n’y a que ça qui marche”, au delà d’être discutable, fait froid dans le dos.
L’écologie politique conduit à une catastrophe environnementale : c’est une vision beaucoup trop simpliste, puisque nous courrons à la catastrophe environnementale quoi que puissent être nos politiques . En effet une croissance démographique perpétuelle entraîne une augmentation de la catastrophe écologique…. c’est fou comme la démographie galopante de notre espèce est un sujet TOTALEMENT tabou… bref l’épuisement des ressources en cours va remettre l’église au milieu du village…
Il n’y a rien de plus puissant que le déni …
Etre écolo c'”est (ou ce devrait être) vivre avec la nature
être écolo c’est (ce devrait) être économe, consommer le moins possible donc limiter la pollution et la surexploitation, ici ou ailleurs,
le reste c’est du baratin…dangereux
Nouvelle donne dans mon petit village, je ne peut amener qu’un m²/jour à la décharge, donc comme j’ai 4m² je ferais 96km au lieu de 24 et cela me prendre 4heures au lieu d’une.
Tout ce que les gouvernements touche se transforme en catastrophes.
L’article nous présente une écologie conservatrice opposée à une écologie progressiste. J’ai toujours eu du mal avec les dirigeants écolos et leurs priorités sociétales. L’écologie, c’est “conserver” un environnement vivable pour l’espèce humaine, non ?
Vous avez vu ce paradoxe :
– Avril 2020 est le 3ème mois le plus chaud depuis 1900.
– Avril 2021 est un des pires mois pour le gel : les coûts sont estimés à au moins UN MILLIARD d’euros ! Du jamais vu. Plein d’agriculteurs ont tout simplement tout perdu !
une image d’Epinal bien réelle:
L’écolo de la rue du village qui laisse son jardin en friche par respect de la bio diversité et va installer ses chaises et table de jardin dans la prairie mitoyenne entretenue..je ne blague pas.. 🙂
“Au contraire, il est urgent de construire une autre écologie politique réaliste, alternative et crédible. Il doit s’agir d’une écologie populaire et patriote. Qu’on le veuille ou non, les faits sont les faits: l’urgence écologique est là et remet en question la pérennité de notre Nation et de nos modes de vies. Chaque année un à deux millions de personnes meurent en Chine à cause de la pollution. Idem en Inde. La pollution tue donc plus dans ces deux pays que le Covid-19 dans le monde entier. Et en France, la pollution menace notre santé.” Non ! Tout ceci est faux. la pollution diminue et, pour la Chine et l’Inde, ils sont comme nous il y a 100 ans, en pleine croissance industrielle et, comme nous, ils commencent à lutter contre la pollution ! La CO2 ne pollue pas et ne dérègle pas le climat !
L’écologie est une arnaque et une fausse science.
renvoyez les verts d’où ils viennent c’est à dire du néant et là vous ferez un vrai geste pour sauver la planète !
Bon en même temps se référer à un article du Figaro pour régler l’écologie c’est un peu demander à Pfizer une étude sur les vaccins.
Je partage l’evidence exprimée par Marc000:
Problème écologique N°1 : la SURPOPULATION HUMAINE .
Population mondiale multipliée par 3 en 60 ans ,du jamais vu dans l’histoire de l’humanité.
Inutile de par ler écologie sans commencer par solutionner ce problème là.
Y en a qui veulent supprimer le CO2: donc, plus d’arbres! et je suis certain qu’ils vont y arriver!
Et le Méthane, personne n’en parle! Ça me fait bien c…!
Monsieur Bonnamy est sérieux, c’est toute la différence avec les idéologies. Troisième erreur à ne pas commettre en Mai 2022….Macron… Lepen et Khmers verts…
Je pense que nous vivons une époque dominée par quelques énormes escrquéries comme: le bio, les éoliennes, les panneaux solaires et l’automobile électrique. Il y des gens que cela rend riches!
Pour ma part j’ai lu cet article et je n’ai rien lu d’intéressant. L’article n’apporte aucune solution. C’est juste une prise de position idéologique, une tentative de décrédibiliser l’écologie politique (ce qui m’est égal) et en fait l’idée même d’écologie. C’est que l’écologie gagne du terrain dans les urnes et risquerait bien de remettre en question les intérêts de quelques uns. D’ailleurs depuis les dernières élections européennes, l’espace médiatique mainstream (la téloche quoi) s’applique consciencieusement à diaboliser les écolos jusque là marrants.
Mais reprenons l’article: “surtout, il ne faudrait pas s’émouvoir”. Parce que là, nous dit-on, nous risquerions de prendre de mauvaises décisions.
C’est vrai que lorsque l’on comprend que les océans sont truffés de plastiques en voie de fragmentation et que ces fragments sont pour certains si petits qu’ils pénètrent les organismes marins en passant les parois digestives. On se rend compte alors que manger des moules, des huîtres, du poisson c’est absorber du plastique. Personnellement cela m’émeut et je me dis que nous devrions au moins réduire la quantité de plastique produite. Ah oui mon bon monsieur, mais là vous êtes décroissant et votre posture va conduire à fermer des usines et à licencier des ouvriers. De plus en imposant par la loi cette réduction de la production vous faites dans le punitif.
De même, comprendre que la surpêche menace réellement le vivant dans les océans: cela peut paraître émouvant. Je me dis mangeons un peu moins de poisson. Halte là mon bon monsieur: vous allez mettre des pêcheurs au chômage et remettre en question les profits des armateurs qui doivent rentabiliser leurs bateaux-usines (il s’agit plutôt, il faut bien le reconnaître, de cupidité et du fol espoir de devenir très riche: mais pourquoi faire ? Ca… ).
Bref, il en va de même pour les émissions de gaz à effet de serre, pour l’extraction minière (il suffit de regarder un paysage minier pour comprendre que plus rien ne vit dans une carrière), pour l’agriculture chimique (cherchons les vers de terre), pour la production massive de viande, etc…
Personne ne veut rien faire, ne rien changer. Les gens semblent ne pas comprendre ce qui est en train de se passer ou sont de mauvaise foi (de toute façon je serai mort avant que cela ne tourne mal) ou croient qu’une application androïd disruptive sauvera le monde. Certes, la plupart des conséquences sont souvent encore lointaines, peu palpables. Et bien attendons. Soyons les spectateurs amusés d’un réchauffement de 4 à 5 °C de moyenne en 80 ans !!!!!!! Pour sûr, très vite, il n’y aura plus de pêcheurs, ni d’agriculteurs. Préparez vos fusils.
LD
Un pays se porte d’autant mieux que le gouvernement est moins visible.
Mieux vaut faire confiance aux écologues qu’aux écologistes de pacotille. En général ils font partie de la gauchiasserie voulant installer des régimes staliniens. ce sont les nouveaux Khmers. L’environnement ne leur appartient pas, ils s’en servent pour arriver au pouvoir. Mieux vat éviter.