Poutine est méchant.

La Russie est méchante.

Les Russes disposent de réseaux secrets en France…

MAIS, s’il est de bon ton de vomir sur la Russie, le gaz russe lui reste bon et utile!

Le gaz ruse est aussi bon pour les Allemands comme nous l’avions vu dans cet article et même pour… les Américains qui se chauffent aussi au gaz russe!

Charles SANNAT

Gazprom a augmenté ses livraisons de gaz en France.

Depuis le début de l’année, le groupe gazier russe Gazprom a augmenté ses exportations de gaz en France de presque 2 %, ce qui représente environ 2,5 milliards de mètres cubes. Les termes de la coopération entre Gazprom et l’entreprise française Engie ont été discutés lors d’une rencontre de leurs dirigeants à Saint-Pétersbourg ce vendredi.

Les livraisons de gaz russe de ce début d’année 2019 en France ont augmenté de 1,9 % en comparaison avec celles de la même période l’année précédente, soit jusqu’à 2,5 milliards de mètres cubes, a informé Gazprom dans un communiqué diffusé à l’issue d’une rencontre organisée ce vendredi 15 mars à Saint-Pétersbourg entre le président de Gazprom, Alexeï Miller, François Fillon et Isabelle Kocher, la directrice générale d’Engie.

De plus, «selon les résultats de l’année 2018, Gazprom a augmenté ses exportations vers la France de 5,4 % par rapport à l’année précédente pour atteindre les 12,9 milliards de mètres cubes».

Lors de la rencontre, les parties en présence ont examiné les tendances du développement du marché européen, et notamment français, du gaz. Elles ont également souligné le travail fructueux autour de la conduite du gazoduc Nord Stream2, et l’importance de la réalisation de ce projet pour l’augmentation ultérieure de la sécurité énergétique des pays européens.

Le projet Nord Stream 2 est réalisé par la société russe Gazprom en coopération avec les entreprises européennes Engie, OMV, Shell, Uniper et Wintershall. Ce programme prévoit la construction d’un gazoduc d’une capacité de transfert de 55 milliards de mètres cubes par an depuis la Russie jusqu’à l’Allemagne en passant par la mer Baltique, soit une longueur de plus de 1.200 kilomètres. Les États-Unis s’y opposent énergiquement.

Source Agence russe Sputnik.com ici

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