Emmanuel Macron a inauguré les nouveaux locaux de JP Morgan Chase mardi matin à Paris.
Pour ceux qui ne la connaisse pas, la JP Morgan Chase c’est un peu avec Goldman Sachs les deux banques qui dirigent le monde.
Elles détiennent un pouvoir immense. Aujourd’hui, JP Morgan Chase est la plus grande banque des États-Unis
Emmanuel Macron rencontre Jamie Dimon, le PDG de JP Morgan (@FredericBianchi) pic.twitter.com/UOHFMxDG5C
— BFM Business (@bfmbusiness) June 29, 2021
« Mon ennemi n’est pas la finance »…
Si son prédécesseur, nous a laissé en héritage sa tirade sur son ennemi sans visage à savoir la finance, il n’en reste pas moins que dans un monde ouvert, mondialisé, et financiarisé expliquer que votre ennemi c’est la finance, c’est le chemin le plus court pour vous scier la branche sur laquelle vous êtes assis.
Je suis profondément pragmatique.
Je connais les dégâts du lucre et de l’appât du gain.
Mais dans un monde ouvert, mondialisé, et financiarisé, vous devez faire avec la finance, sinon, vous fermez vos frontières, vous avez votre souveraineté monétaire, vous payez votre indépendance au prix qu’elle co6ute à savoir celui de l’effort et de la bonne gestion.
Si la Russie est le pays le moins endettés aujourd’hui c’est parce que Poutine qu’on l’aime ou non, ne veut pas être dépendant de la finance… donc il fait sans.
Et faire sans l’argent de la « finance » c’est ne pas avoir de dettes.
C’est simple de ne pas avoir de dettes.
Il suffit de ne payer que ce que l’on peut.
Autant vous dire qu’en France cela reviendrait à diviser au moins par deux nos dépenses.
De quoi faire couiner partout dans le pays.
Donc Macron a raison de ne pas traiter la finance comme notre ennemi, car, nous en avons besoin. Et ne venez pas me faire des procès en « Macronlâtrie », car ce n’est pas mon genre. Mais soyons objectif en toutes choses.
Je le déplore, mais les 40 dernières années de gestion de ce pays nous ont mis dans une terrible situation de dépendance.
Charles SANNAT
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Ce qui est sûr c’est que le lucre nourrit le diable éthique.
Et pendant que l’on coupe des rubans et que l’on vide des coupes, Warren Buffett démissionne de la fondation Bill et Melinda Gates.
Mouillez votre doigt et mettez le au vent, vous admettrez qu’il tourne.
a l’epoque des rois quand la dette devenait trop elevée la solution etait simple..
il suffisait de pendre les banquiers et creanciers
Eh oui, c’est le but… Rendre un pays dépendant des banques pour mieux le dépecer sans crainte et sans état d’âme (voir la Grèce)..
Hollande avait besoin d’un argument marketing pour l’emporter(et pas des idées).
En ce sens, il a été encore pire et plus cynique que son prédécesseur…
On va de pire en pire… Attention les yeux à la prochaine élection… Ca va être quoi le slogan ? :si vous votez pour moi, je vous promets d’etre élu ?
C’est quoi le geste que fait macron avec ses doigts à la 29eme seconde de la vidéo?
Un lien avec le rachat des actions LCL par cette banque ?
Belle déclaration positive , quel amour !!!
Que devient Larry Fink, le vice-president français, patron de Blackrock ?
Ben voyons c’est la suite normale de recevoir un des complotiste de l’ile Jeckyll maintenant que le job est quasi fini,allez champagne pour cette réussite majistrale en 70 ans ils ont bouuffé la totalité de la richesse mondiale !!!
J’aime beaucoup quand Jimmy loue la qualité du système de régulation en France ! C’est sublime !
C’est pas la même banque qui s’occupe de l’or de la France…
La JP Morgan avec Blythe Master, ils ont ruiné des millions et des millions d’américains et de français avec la crise provoquée des subprimes. Macron est le valet des banques américaines.
L’on peut rajouter les 10 années précédentes, ou presque, car qu’on le veuille ou non, c’est bien la loi finance dite Giscard-Rotschild de janvier 73 qui a lancé cette soumission à la finance.
Et pas uniquement en France ! La courbe de l’endettement de tous les pays occidentaux démarre au même moment… Menant son point culminant d’aujourd’hui à une hauteur dépendant du degré d’industrialisation subsistant dans chacun d’eux. Degré d’industrialisation dépendant de l’investissement des dirigeants dans l’adaptation de leurs pays au libéralisme marchand le plus abouti.
J’ai, pour ma part, encore en mémoire les mantras psalmodiés par nos »experts » médiatiques en économie qui voulaient que l’industrie n’avait plus sa place dans un pays moderne, ou que la finance se devait d’être débarrassée de toute réglementation, le marché ayant la capacité de se réguler lui-même…
On voit aujourd’hui où cela nous a mené.
La différence entre les oiseaux et les hommes politiques c’est, que les oiseaux par moments s arrêtent de voler !
Houla, Brigitte est en danger… il va draguer Jaimie…
Sans compter que JP avait versé une belle somme pour le 93
Il a enfin compris son futur sort et s’apprête à pantoufler