Plongé dans un conflit majeur, Israël voit son économie bousculée. La secousse initiale a été financière, mais la rupture ne viendra pas de là. Le principal indice boursier a peut-être décroché après les attentats du 7 octobre mais il s’est rapidement redressé, atteignant même un niveau record. Le taux de change du shekel a suivi le même type de trajectoire : tombé face au dollar à son plus bas niveau depuis 14 ans, il s’est repris et surpasse son niveau d’avant le début des hostilités. Malgré le renchérissement des produits frais (qui attise le mécontentement de la population), l’impact de la guerre sur l’inflation reste modéré à ce stade. Elle est descendue sous 3% et se situe dans la cible fixée par la Banque d’Israël ce qui l’a conduit à réduire son principal taux directeur en début d’année.
Du côté des Palestiniens, il n’y a évidemment plus d’économie du tout à Gaza, où les habitants sont passés en mode survie. Du coté de la Cisjordanie, si les destructions ne sont pas comparables avec ce qu’il se passe à Gaza, tous les Palestiniens qui travaillaient en Israël sont privés de leur accès au travail et donc de revenus.
Charles SANNAT
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Et Israël en début de semaine, a commencé à négocier avec BP, concernant l’implantation de plates-formes pétrolières dans les eaux Palestiniennes.
Encore une fois la finalité d’une guerre consiste à s’approprier le bien d’autrui.
Le bénéfice pour Israël sera à long terme puisque cette guerre lui permettra d’exploiter l’immense gisement de gaz au large de ….GAZA , d’accroitre son accaparement de terres en Cisjordanie, donc in fine, de se renforcer durablement !
… Mais comme Israël va « récupérer » les ressources de gaz au large de Gaza …
BONJOUR.C’est un secret de polichinelle .Au large de GAZA,il y a un immense gisement de gaz et de pétrôle .Donc les bénéfices avant l’humanitaire !
IL pleut aussi sur israel des milliards de dollars venus de la diaspora améeicaine principalement.
Vous pensez bien que la conquête de rafah permettra à l’entité de construire son canal concurrent à suez! Lorsqu’elle en disposera, son économie explosera. C’est tout l’enjeu qui se joue aujourd’hui à coup de massacres civils.
Bonjour à Tous
Dès le début de la guerre d’Israël contre Gaza , après la tuerie perpétuée par le Hamas , j’avais écris dans l’indifférence générale que le but de guerre réel d’Israël était de faire main basse sur le gaz et le pétrole situé dans les eaux territoriales de Gaza ……..
Un territoire indépendant sous le joug d’Israël , je le rappelle
Apparemment certains rares commentateurs en ont pris conscience ………
Merci à @Frederick de nous rappeler cette « veille Lune » de projet de canal de Suez bis , déjà nommé Ben Gourion , je l’avais complètement oublié :
La place de son implantation a été « nettoyée .
Salutations aux colonialistes
Euh ! conclusions ci-dessus un peu hâtives, et ça gaze pas du tout :
On n’e sait rien des intentions réelles et de ce qui peut se passer..
1– par exemple, une compagnie comme BP n’ira surement pas se compromettre, et risquer de se mettre à dos le monde arabe !!!
2– Israel vient de conclure un accord sur ses frontières maritimes avec le Liban… Y compris concernant les réserves de gaz. Tout ça, c’est de la grosse machinerie internationale, et ne se décide pas dans nos bars… ou alors, peut-être en buvant un Grand cru millésimé de chez « Clos Vougeot », par exemple…
Bref, tout ça au delà de notre petite comprenette, et n’en déplaise aux ceusses qui sont un p’tit peu, un p’tit peu… pouett, pouett, tra-la-la !!!!
Cher Frédéric ci-dessus . Un canal concurrent à celui de Suez ??? Avec l’aide du Messie, sans doute !!! Et où ça ???????
je vous signale que malgré le conflit et l’opposition de certains partis, depuis le mois de mai, il y a quand même + 10.000 gazaouis qui viennent travailler chaque jours en Israel.
Selon les données des services de sécurité, le nombre qui travaillent dans les zones industrielles de Judée Samarie, dans les usines et dans certaines communes a déjà dépassé les 10 000. Environ 8 000 travaillent dans l’industrie, environ 1 500 dans les services, et environ 1 300 personnes travaillent dans le bâtiment. D’autres travaillent dans l’agriculture et d’autres industries. Selon les responsables de la sécurité, la demande de travailleurs arabes dans les communes provient des entreprises sous-traitantes dont le travail a été interrompu et endommagé, ainsi que des communes elles-mêmes.