Le bon sens a quitté définitivement la classe politique. La dernière en date ce sont les députés Renaissance qui ont changé de nom depuis qu’ils ne sont plus en marche, mais ils bougent encore, et disent toujours des âneries comme le fait que la pollution des voitures fait 40 000 morts par an ce qui est un chiffre stupide car il est assez difficile de demander à un crise d’asthme mortelle si elle est due aux particules diesel de la mère Michu ou à un cancer des poumons si c’est le gasoil au père Michu ou… les particules encore plus toxiques et nocives des centrales à charbon allemandes qui ne cessent de nous polluer chaque année.
Ce n’est ni de la science, ni de la santé, c’est juste de l’idéologie.
L’idéologie écologiste européiste.
Il faut des ZFE.
Il faut interdire. Encore. Toujours plus d’interdictions pour toujours moins de liberté.
Il faut des énergies renouvelables.
C’est un dogme.
Cela pollue plus, cela détruit notre compétitivité, cela ne changera rien au climat et l’on délocalise nos pollutions ailleurs, là-bas, bien loin.
On détruit nos industries, on détruit notre agriculture.
Le bon sens a quitté la classe politique et dans ce monde d’Ubu seul les députés RN parfois surnagent dans la bêtise ambiante les idéologues leur ayant laissé le bon sens… ce dont ils viendront se plaindre après ne comprenant pas pourquoi les gens votent pour eux !
️ « La physique, elle, ne ment pas : les énergies pilotables et concentrées sont et seront toujours bien plus efficaces que les énergies diffuses et intermittentes. »
C’est une réalité physique, pas une opinion politique.
Et pourtant, des milliards continuent d’être… pic.twitter.com/z7OclrTZWo
— Maxime Amblard (@MaximeAmblard5) June 16, 2025
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
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– Le gigantisme des réseaux fait perdre de la puissance et génère des sur-coût, …
– Il existe, entre les deux, une solution intermédiaire des micro-centrales :
– Dans les années 2010, la Russie avait planifié l’électrification des zones polaires par des micro-centrales nucléaires à partir de plateformes mobiles types moteur atomique de brise-glaces.
– Les USA (et Bill Gates) envisagent depuis 5/7 ans cette solution pour les petites villes.
– Le gigantismes est devenu trop complexe.
Les ecolos ont un grand ennemi contre lequel ils ne peuvent rien: la physique
Et le GIEC est la plus grande escroquerie de tous les temps: comment des scientifiques peuvent-ils se prêter au discours que le climat si complexe de toute une planète ne dépend que de la concentration d’un seul gaz présent pour 0,0412% ! Evidemment parler de 412 ppm permet de mieux tromper les gens
L’hydroélectrique, c’est une énergie colossale. La puissance de l’eau. Et vous pouvez sur un même parcours en disposer plusieurs.
La géothermie, c’est une énergie continue, gratuite et illimitée.
Pour ces deux sources d’énergie, pas d’intermittence (contrairement aux éoliennes et panneaux solaires). Durée de vie des installations de plusieurs décennies (deux décennies maximum pour éoliennes et panneaux solaires).
Charles vous faites erreur, comme beaucoup, en attribuant les calamités actuelles au manque d’intelligence de nos dirigeants; eux-mêmes n’ont aucune liberté et subissent la tyrannie venue de Bruxelles, c’est pourquoi il etait si important de faire passer le Traité de Mastricht qui permet à des Leyen non elues de gouverner notre pays en nous laissant l’illusion d’un parlement reduit à un theatre d’ombres…
« la décarbonation » : toujours ce vocabulaire abscons. Tant qu’il ne sera pas rayé des discours, la gabegie continuera.
Charles,
Ne vous battez pas contre les Délires idéologiques Francais,
ce n’est que pur perte de temps, attendez plutot …..
le mur de la réalité va leur péter en pleine tronche……
Pays merveilleux: Face à la montée des prix de l’électricité, j’ai fait installer des panneaux solaires, espérant un retour sur investissement de l’ordre de 10 à 15 ans. C’était avant que les règles ne changent et que le prix du solaire ne soit abaissé. Ça ne donne pas vraiment envie d’investir, quel que soit le domaine. Pas de vision stratégique de la part de ceux qui nous gouvernent, gestion à la petite semaine.
L’Europe est un des meilleurs clients du pétrole russe, c’est un fait !
La Macronnerie a été formée avec les plus tocards de la politique locale, du moins dans mon département.
A ce niveau, ça ne peut être une coïncidence.
Quand on ne faisait pas la guerre, on subventionnait le gasoil parce qu’on ne savait pas quoi faire du surplus après raffinage.
Quand on fait la guerre, on supprime gasoil, mazout et super aux gueux pour remplir la Machine à broyer des os et ne servir que les copains.
Pensez donc aux pauvres bateaux à moteur dans les ports de plaisance, qui ne demandent qu’à s’abreuver à outrance de ces élixirs à prix détaxés…
Bref, toujours la même histoire de corruption, ça en devient lassant…
Si la soit disante transition écologique ne devait pas rapporter énormément d’argent à des lobbys et à des décideurs bien placés, elle n’aurait pas lieu tout simplement. Croyez le
Il est tout à fait vrai que le bon sens a définitivement quitté la classe politique, comme le prouvent les députés Renaissance. En effet, changer de nom tout en continuant à « bouger » montre bien qu’ils ne savent pas où ils vont ! C’est presque aussi absurde que de penser que 40 000 morts par an dus à la pollution automobile peuvent être liés à des crises d’asthme ou à des cancers. Après tout, pourquoi s’inquiéter des particules de diesel quand on peut simplement blâmer le charbon allemand ? C’est évident que les particules ne sont pas les mêmes et qu’on ne peut pas vraiment les comparer.
Ensuite, l’idée de restreindre la liberté avec des zones à faibles émissions (ZFE) est tout à fait pertinente. Après tout, quel sens cela a-t-il de donner aux gens la liberté de respirer en toute tranquillité ? Il est bien connu que les interdictions créent toujours plus de liberté, comme lorsque l’on interdit de danser dans la rue pour promouvoir la joie de vivre.
Quant aux énergies renouvelables, il est évident que leur seule existence est un dogme. Après tout, il est bien connu que l’énergie solaire est plus polluante que le gazole, et qu’interdire les voitures polluantes ne fera que déplacer les problèmes ailleurs, créant ainsi un monde où la pollution n’existe plus, juste parce qu’elle est invisible ! C’est un peu comme si on pensait que les problèmes d’élevage en France s’éliminent parce qu’on achète de la viande ailleurs !
En somme, il est normal que les députés RN semblent parfois avoir du bon sens. Ils sont les seuls à comprendre que le bon sens ne peut exister que dans un monde où les gens votent pour eux, sans jamais réaliser que ce choix pourrait avoir des conséquences. En fin de compte, si le bon sens a quitté la classe politique, c’est peut-être parce qu’il était trop occupé à réfléchir à des choses sérieuses, comme pourquoi les poissons ne volent pas.
Certains problèmes pulmonaires seraient dus aux particules fines provenant de l’usure des pneus ….
Les pneus s’usent et volatilisé dans l’air que nous respirons
Réacteurs nucléaires à neutrons rapides, un enjeu majeur de souveraineté
Un rapport d’alerte, rendu public le 16 juin par l’Ecole de guerre économique, rappelle combien l’innovation en matière nucléaire et plus particulièrement les réacteurs de quatrième génération, dits à neutrons rapides, peuvent assurer la production sur très longue période d’une électricité décarbonée, abondante et souveraine. Car cette technologie permet notamment d’utiliser comme combustibles les déchets nucléaires accumulés depuis des décennies et ainsi d’en incinérer une bonne partie, notamment les plus radioactifs. Une technologie qualifiée de « nucléaire durable » que la France a dominé avant qu’elle ne soit sacrifiée pour des raisons politiciennes inavouables par Lionel Jospin avec la fermeture du réacteur Superphénix et, 20 ans plus tard, par Emmanuel Macron avec l’abandon en 2019 du projet ASTRID. Mais le Conseil de Politique Nucléaire de mars 2025 a acté un revirement, dont Emmanuel Macron est coutumier, et la relance d’un programme de développement d’un réacteur à neutrons rapides. Il est indispensable, affirme l’Ecole de guerre économique, qu’il se concrétise rapidement.
L’avenir de l’énergie nucléaire passe par un changement de technologies. La fusion qui fait rêver, peut-être à la fin du siècle, et plus proches de nous car déjà expérimentés les réacteurs de quatrième génération, dits à neutrons rapides. Ils offrent de considérables avantages. Ils
Fusion nucléaire, peut-on vraiment y croire? – Transitions & Energies
Permettre à l’humanité de maîtriser le processus qui alimente les étoiles fait rêver depuis des décennies à la f…
permettent d’utiliser et de recycler les déchets nucléaires accumulés depuis des décennies. Ils permettent ainsi de boucler le cycle du combustible, comme disent les experts, et de se débarrasser au passage d’une bonne partie de ses déchets. La France dispose ainsi de quoi faire fonctionner un parc de centrales pendant des centaines d’années sans avoir besoin d’importer le moindre gramme d’uranium. D’autant plus que les neutrons rapides permettent la surgénération, ce que le réacteur expérimental Phénix avait montré. Ils donnent la possibilité de produire plus de plutonium qu’ils n’en consomment.
«Avec les réacteurs à neutrons rapides, nous avons des milliers d’années…
Un entretien avec Joël Guidez, expert des réacteurs à neutrons rapides, ancien du CEA (Commissariat à l’énergie …
En outre, les réacteurs à neutrons rapides offrent un potentiel de sûreté supérieur à celui des réacteurs actuels en étant refroidis par du métal liquide (sodium, voire du plomb) et non pas par une circulation d’eau sous très haute pression. Enfin, autre avantage, la France a longtemps dominé cette technologie. Même si elle a été sabotée et abandonnée sous la pression des écologistes par Lionel Jospin d’abord avec la fermeture du réacteur Superphénix (voir la photographie ci-dessus) et 20 ans plus tard par Emmanuel Macron avec l’arrêt en catimini en 2019 du projet de réacteur ASTRID (acronyme de l’anglais Advanced Sodium Technological Reactor for Industrial Demonstration) . Mais il s’est produit un petit miracle avec le revirement d’Emmanuel Macron, dont il est coutumier, et la décision du Conseil de politique nucléaire de mars 2025 de relancer un projet de réacteur à neutrons rapides.
La relance du nucléaire en France patauge – Transitions & Energies
En février 2022, à la surprise générale, Emmanuel Macron se ralliait à l’énergie nucléaire qu’il n’avait cessé p…
« Cette décision ne peut rester symbolique »
Mais faut-il encore que cette promesse se concrétise… Tel est en substance le message du rapport d’alerte de 40 pages que vient de publier le 16 juin l’Ecole de guerre économique. Il est intitulé : Réacteurs à neutrons rapides, une relance stratégique pour une souveraineté énergétique durable. « En lançant son programme de réacteurs à neutrons rapides (de Rapsodie à ASTRID en passant par Phénix et Superphénix), la France s’était dotée d’une stratégie claire, structurée et séquencée. Forte de plus de 60 années d’exploitation cumulée de cette technologie, elle disposait d’une avance technologique incontestable. Pourtant, cette filière a été progressivement démantelée, non par manque de résultats, mais sous l’effet de revirements politiques successifs… Si le Conseil de Politique Nucléaire (CPN) de mars 2025 marque un revirement salutaire en annonçant la relance d’un programme RNR, cette décision ne peut rester symbolique. Elle doit s’accompagner d’une véritable stratégie industrielle, dotée de moyens et d’un calendrier précis », écrit l’Ecole de guerre économique.
Elle ajoute qu’il s’agit d’une question devenue essentielle de la souveraineté énergétique du pays. « L’absence de stratégie industrielle claire pour cette filière pourrait affaiblir progressivement la position technologique de la France. Aujourd’hui, ce désengagement fait peser un risque historique pour le pays : celui d’une colonisation technologique inversée, où la France, jadis leader mondial, pourrait devenir à terme cliente de technologies étrangères dans un secteur qu’elle a longtemps dominé. Car États-Unis, Chine, Russie ont su voir dans cette technologie tout son potentiel… faute d’une relance claire, forte et durable… la France s’expose à un double déclassement : devenir dépendante de technologies étrangères qu’elle a elle-même contribué à développer, tout en restant captive des fluctuations d’une ressource critique, l’uranium qu’elle ne possède pas sur son territoire ».
Une technologie plus prometteuse que celle des EPR
En fait, la technologie des réacteurs à neutrons rapides est plus pérenne et sûre techniquement et économiquement que celle des EPR. Elle permet de consommer comme combustibles les déchets accumulés depuis des décennies par les réacteurs en service (uranium appauvri et plutonium) et d’en avoir pour des milliers d’années de fonctionnement… Elle permet également de produire peu de déchets qui ont en plus une durée de vie radioactive limitée et enfin d’être, de par sa conception, plus sûre. Les systèmes de refroidissement utilisent un métal liquide, en général le sodium, ce ne sont plus des canalisations d’eau à haute pression. Enfin, la technologie a été maîtrisée. La France a fait fonctionner le réacteur Phénix pendant trente-cinq ans et il a prouvé la réalité de la surgénération.
« La surgénération, ce ne sont pas des rêves de savant fou » – Transitio…
Un entretien avec Dominique Grenêche. Docteur en physique nucléaire, il a travaillé au Commissariat à l’énergie …
Pour alimenter un réacteur à neutrons rapides, il faut du plutonium et de l’uranium appauvri qui est le résidu de la fabrication de l’uranium enrichi qui se trouve dans les réacteurs actuels comme combustible. Le réacteur à neutrons permet aussi la surgénération, c’est-à-dire qu’il produit à la longue plus de plutonium qu’il n’en consomme.
« Avec les réacteurs rapides, le potentiel énergétique est presque illimi…
Un entretien avec Joël Guidez, expert des réacteurs à neutrons rapides, ancien du CEA (Commissariat à l’éner…
La France a aujourd’hui 350.000 tonnes d’uranium appauvri stocké et en ajoute 7 000 tonnes de plus tous les ans dont elle ne sait que faire. Il est très peu radioactif car il a été appauvri et facile à stocker. Il est disponible gratuitement. Le plutonium également. La France en produit 10 tonnes par an à La Hague dans l’usine de retraitement et a en stock environ 200 tonnes. Ce n’est pas un plutonium militaire. Il est « plein » d’isotopes très gênants pour faire une bombe. En quelque sorte, il est sale.
Des milliers d’années de combustibles gratuits
Cela signifie que la France détient en quantités considérables tous les matériaux, dont elle ne sait que faire, pour alimenter le fonctionnement de dizaines de réacteurs à neutrons rapides pendant des milliers d’années… Avec 20% de plutonium et 80% d’uranium appauvri, le réacteur démarre et tous les ans il faut rajouter de l’uranium appauvri pour maintenir la réaction. Un réacteur rapide d’une puissance d’un GW consomme une tonne d’uranium appauvri par an. La France a aujourd’hui une puissance nucléaire installée de 63 GW. Pour produire le double, soit 126 GW avec des réacteurs à neutrons rapides, il lui faudrait y consacrer tous les ans 126 tonnes d’uranium appauvri. Avec son stock actuel, elle en a suffisamment pour 2 778 ans… Plus besoin d’importer de l’uranium et de faire fonctionner des usines d’enrichissement.
« En développant ses réacteurs à neutrons rapides, la France pourrait exploiter des ressources énergétiques présentes sur son territoire pour plusieurs millénaires, renforçant ainsi durablement sa sécurité énergétique et la compétitivité des secteurs qui en bénéficient. Loin d’être une alternative, cette filière s’inscrit en parfaite complémentarité avec la filière historique des réacteurs à eau pressurisée (REP), formant ensemble un modèle nucléaire intégré et pérenne… Relancer la filière des réacteurs à neutrons rapides au sodium [refroidis au sodium liquide] selon une approche duale (combinant réacteurs de puissance et petits réacteurs modulaires) représente une opportunité majeure pour la France. Cette stratégie permettrait de renouer avec un leadership historique dans le domaine nucléaire », résume l’Ecole de guerre économique.
« Le nucléaire durable »
C’est aussi ce qu’écrivait déjà avec force en janvier 2024 dans les Annales des Mines Yves Bréchet, ancien haut-commissaire à l’énergie atomique et ancien titulaire de la chaire innovation technologique du Collège de France.
« Pour relancer durablement le nucléaire, il faut réaliser que c’est une énergie durable et pas une énergie de transition. Tant que les énergies renouvelables, par nature intermittentes, n’auront pas capacité à être stockées efficacement, et tant que le vecteur électrique ne pourra pas être efficacement remplacé, le recours au nucléaire et à l’hydraulique sera incontournable. Parier sur des développements “à venir” (pour le stockage) au moment où il y a urgence à décarboner notre économie en réponse à la crise climatique relève de l’inconscience. Renoncer à une version “durable” de cette énergie en fermant le cycle du combustible par le moyen des réacteurs à neutrons rapides, ce qui est exactement ce qu’a fait le gouvernement en arrêtant le projet Astrid à l’automne 2019, est une faute historique… Une relance durable du nucléaire signifie aussi une relance du nucléaire durable, et une relance du nucléaire durable nécessite un programme de recherche, porté par l’État, pour développer un prototype de réacteur et d’une usine de fabrication du combustible, pour être en état de déployer cette filière le moment venu. Ce projet doit être lancé maintenant, en repousser le lancement expose à une perte des compétences acquises et à se trouver contraints d’acheter à terme, à des investisseurs plus clairvoyants, une technologie dont nous sommes les inventeurs, et dans laquelle nous avons été jusqu’à récemment, les leaders. »