Que se passerait-il s’il n’y avait plus du tout d’essence, que nous en arrivions à la dernière goutte, et que nombreux seraient ceux qui veulent “rentrer chez eux”, ou “partir en province” selon le principe que la misère est moins pénible au soleil et surtout à la campagne loin des grandes villes ?

Vous avez là un scénario qui part du postulat d’un effondrement brutal et pas lent. La violence ou les dérapages prévisibles dans un tel cas, pourraient dans le cas qui est le nôtre, ne pas être le scénario le plus probable.

Si l’effondrement est plus progressif et cela peut être tout de même rapide les autorités auront le temps d’organiser et de structurer la pénurie, ce qui signifie coupures tournantes, rationnements etc… mais plus de stabilité sociale et entre deux maux, il faut choisir le moindre !

Je vais vous expliquer (et justifier) tout cela dans un flash d’alerte stratégies sur lequel je suis en train de travailler. Je vous rappelle au passage que le dossier STRATEGIES de juin consacré à la protection de ses valeurs est en ligne dans vos espaces lecteurs ici. Pour vous abonner tous les renseignements sont ici.

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »

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