François Hollande, le petit roquet de l’Élysée, hésitait à recevoir Poutine… en sortant ses petits crocs de pilote de scooter. Pas de quoi impressionner un Poutine et encore moins les Russes.

Tout cela est absurde et la politique étrangère française de cette administration française sans courage et sans conviction est pitoyable. Pitoyable et, encore plus grave, inféodée aux intérêts américains au détriment de nos propres intérêts nationaux.

La position traditionnelle de notre pays est un non-alignement et notre rôle, celui de pont entre Russie et Amérique.

Quant au prix du pétrole, Poutine fera payer le prix fort à l’Occident dès qu’il le pourra, et il appuiera évidemment l’OPEP si l’OPEP veut faire monter les prix.

Charles SANNAT

Prenant la parole au Congrès mondial de l’Énergie, Vladimir Poutine a indiqué que la Russie était prête à geler la production pétrolière.

Le prix de l’or noir a enregistré un plus haut de l’année suite au discours du président russe à Istanbul.

Intervenant au Congrès mondial de l’Énergie, Vladimir Poutine a déclaré que la Russie était prête à envisager un gel, voire une réduction de sa production pétrolière en coopération avec l’OPEP.

Cette tendance permet d’espérer que le marché pétrolier trouvera enfin l’équilibre entre l’offre et la demande, relate le quotidien américain le Wall Street Journal.

Comme l’indique le journal, les déclarations du chef d’État russe ont incité à l’optimisme les acteurs du marché pétrolier, qui espèrent désormais que Moscou « fermera les robinets » avec l’OPEP.

Le cours du baril de « light sweet crude » (WTI), référence américaine du brut, a monté hier de 1,54 dollar à 51,35 dollars sur le contrat pour livraison en novembre au New York Mercantile Exchange (Nymex), un niveau qu’il n’avait plus atteint à la clôture depuis juillet 2015.

L’annonce surprise de la décision de l’OPEP de ramener sa production à un niveau de 32,5 à 33 millions de barils par jour, contre 33,47 mbj en août avait orienté les cours à la hausse mais les doutes subsistaient sur sa mise en application qui doit être finalisée lors d’une réunion fin novembre. Autre signe encourageant lundi, le ministre saoudien de l’Énergie, poids lourd de l’OPEP, a estimé qu’un baril de brut à 60 dollars était envisageable d’ici la fin de l’année.

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