La raison d’État est le principe politique en vertu duquel l’intérêt de l’État, conçu comme une préoccupation supérieure émanant de l’intérêt général, peut nécessiter de déroger à certaines règles juridiques ou morales, notamment dans des circonstances exceptionnelles.
Le narcotrafic menace notre raison d’Etat.
Pas les fraudeurs fiscaux.
Pas les non vaccinés.
Pas les automobilistes allant dans une ZFE sans leur vignette.
Pas les agriculteurs qui arrachent une haie quand il ne faut pas et quoi qu’en pensent nos pandores de la “police de l’environnement” les deux termes n’allant profondément pas ensemble.
Les narcotrafiquants eux, menacent directement notre stabilité politique et sociale.
Par leur capacité de corruption, de violence et de destabilisation ils constituent une menace évidente aux intérêts supérieurs de notre nation.
C’est une évidence politique, historique économique.
Il suffit de savoir ce qui s’est passé en Colombie, en Italie pour ne citer que ces deux pays pour anticiper déjà ce qui va se passer dans notre pays dans les mois qui viennent si nous continuons à être passifs et envoyer nos gendarmes contrôler madame Michu au volant de sa voiture qui a glissé le stop (ce qui n’est pas bien mais moins grave qu’une rafale de Kalach).
Ceux qui nous dirigent se trompent d’ennemis depuis trop d’années.
Ils se trompent d’ennemis et tapent toujours sur les mêmes, ceux qui bossent et globalement essaient de respecter les lois sans toujours y arriver parfaitement mais qui ne représentent aucune menace pour nos intérêts vitaux.
Les dernières déclarations d’Amélie de Montchalin sur ce sujet vont dans le bon sens, mais que de temps perdu.
Que de faiblesse contre les narcotrafiquants et que de force injuste contre les non-vaccinés et le contrôle zélé des passes sanitaires d’un vaccin qui au mieux ne servait à rien.
«Nous ne pouvons pas vivre les mêmes attaques qu’en Belgique», Amélie de Montchalin, ministre chargée des comptes publics, sur le narcotrafic dans #LaGrandeInterview pic.twitter.com/EOO7zdbCdK
— CNEWS (@CNEWS) March 17, 2025
Amélie de Montchalin, ministre chargée des comptes publics, veut «taper au portefeuille des trafiquants» dans #LaGrandeInterview. pic.twitter.com/Np0sr63DOR
— CNEWS (@CNEWS) March 17, 2025
Charles SANNAT
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Quand on veut faire la guerre au narco-trafic on a pas comme général Amelie de Montchalin.
Bonjour. Situations exceptionnelles, mesures exceptionnelles. 49-3 La légion, paras, commandos… Le grand nettoyage!!!
C’est marrant de voir nos politiques-consommateurs de ces produit illicite et / ou bénéficiaire d’argent sale pour leurs campagnes venir dire “la dreug ceymal !”
Le poisson pourrit par la tête…
Le narco trafic ne prospère que parce qu’il y a des consommateurs. Et l’augmentation incontrôlable du nombre des consommateurs est un bon indicateur de l’effondrement en cours de notre société.
“Pas les fraudeurs fiscaux.” … Euh …
Priver l’Etat de ses ressources n’est pas innocent.
Après, ce que l’Etat fait (ou ne fait pas) de ces ressources, c’est un autre problème.
Paroles paroles… Ça les arrange bien cette économie parallèle
sans être complotiste ou survivaliste ou tout ce qui finit en iste, on devrait plutôt s’interroger sur la raison pour laquelle on ne réagit pas vraiment contre les narcos; ils ont mis la misère aux citoyens pour le covid, mais là il n’y a pas grand monde pour agir, en revanche pour la com comme toujours ils sont forts; la corruption est telle que comme dans beaucoup d’états ils sont corrompus au plus haut niveau, et s’enfarinent tous la tête pendant que nous devons être de bons écos citoyens, foutaises, mais qui les mettra dehors????
Quand la corruption commence à grignoter certains secteurs de la fonction publique le mal est irreversible et la perte de souveraineté de l’Etat sur son territoire ira croissant tel un cancer qui finira par tuer son hôte.
BONJOUR.Et le pognon saisi en cas de démantèlement d’un réseau de trafic de drogue,où va t il?Est-ce qu’il est transmis au ministère des finances?Est-ce considéré comme argent sale ou utile pour renflouer les caisses?
La prohibition s’est arrêtée lors que l’alcool est devenu légale. De plus il rapporte de l’argent à l’état. On peut toujours informé et dissuader de boire ou fumer, à chacun de choisir son destin.
Pour la drogue si on faisait la même chose …
Plus de guerre dans les rues, des recettes pour l’état, et marginalement un taux de décès similaire.
Certains pays ont légalisé la drogue et ne sont pas plus mal que nous….
Quoi faire déjà quand le président est un toxicomane ?
(On laissera de côté son entourage !)
………
Il y a narco-trafic parce qu’il y a consommateurs.
Il y a consommateurs parce que le Système en place encourage certains comportements qui lui permettent de contrôler le soumis, l’addict, grâce aux substances.
Comme pour le reste, ce problème est pris à l’envers.
LES RESPONSABLES de leur soumission sont LES CONSOMMATEURS, pas les crapules qui profitent et s’engraissent en fourguant les drogues.
Dans ce domaine, comme dans la vie en général, il n’existe qu’une porte de sortie :
Faire triompher SA VOLONTÉ et ne pas accepter sa propre soumission et dépendance.
À rien.
Ni à des produits, ni à des situations, ni à des gens…
Il faut commencer par avoir une exigence envers soi-même avant d’´en avoir envers les autres.
C un vieux truc.
Ça s’appelle LA VOLONTÉ d’avoir LA LIBERTÉ de ses comportements..
Ça n’existe plus de nos jours…
Surtout pas…!!!!!!
Car la LIBERTÉ implique la RESPONSABILITÉ….
Préparez vous.
VG
Comme disait ma grand-mère, on ne peut pas être au four et au moulin!
Traquer l’automobiliste en cramant son argent de toutes les façons possibles, c’est moins dangereux et plus rentable que d’aller déloger les narcotrafiquants des quartiers émotifs bardés de kalachnikovs et autres mortiers d’artifice. On mène dans ce pays les guerres qu’on peut, et malheureusement, comme disait ma grand-mère, on peut peu!
Ils ont l’habitude de se choisir les “ennemis” les moins dangereux, c’est moins risqué !
Comme l’Australie, des prisons sur une île. Comme le Salvador, une méga-prison de 40.000 places
si pas de consommateurs, pos de vendeurs !: il faut commencer par là; suivre les conseils de Jean Merson.
Arrêter de prendre en charge financièrement des gens qui dépensent les aides de l’état en engraissant les trafiquants de drogue.
A Vincent GITE,
Vos commentaires n’ont d égal que celle de la qualité d’un couteau Suisse, toujours aussi précis et incisif, un Grand Merci à vous.
Va falloir créer une agence nationale des drogues et gérer les trafics. En plus y cillet la tva de luxe …. c’ pas une idée aussi conne que leurs invebtions ça ? Moi aussi j’en trouve des idées connes mdrrrrrrr
Une seule solution, éliminer définitivement les trafiquants,du simple guetteur au patron, on les connait, même les reporters les rencontres pour faire de l’audience et les Services de police ne sont pas capables de les supprimer, arrêtons les conneries et frappons la tête du serpent.