Voilà une presque bonne nouvelle !! Quoi Charles optimiste et béat réjoui ? Eh bien non !! Rassurez-vous, on ne se refait pas et j’ai gardé toute ma tête et ma lucidité !!

Vous comprendrez aisément que se réjouir de repasser devant les Anglais, c’est de bonne guerre, surtout avec cette histoire de tapis rouge de Cameron qu’il prend dans la figure comme un boomerang, non, le truc, c’est que c’est l’économie anglaise qui est “dévaluée”, ce n’est pas l’économie française qui est en croissance.

C’est comme se féliciter de gagner parce que les autres concurrents déclarent forfait pour raison de santé… vous gagnez par défaut. Il n’y a aucune saveur là-dedans et nos problèmes restent les mêmes, c’est juste que les Anglais en ont momentanément des plus gros que nous.

Pas de quoi pavoiser donc.

Charles SANNAT

Le vote en faveur de la sortie de l’UE a entraîné une chute de la livre sterling par rapport à la monnaie unique européenne.

L’Hexagone s’est imposé en tant que cinquième économie mondiale après la baisse de la livre sterling britannique consécutive au référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. Selon les évaluations fournies par le Fonds monétaire international (FMI), à l’issue de 2015, le PIB national britannique s’est élevé à 1 864 milliards de livres. Recalculé en fonction du taux de change actuel, ce chiffre constitue un équivalent de 2 172 milliards d’euros, alors que le PIB français enregistré au terme de l’année 2015 était de 2 182 mds EUR.

Auparavant, la livre sterling est tombée à son niveau le plus faible face à l’euro depuis 2013 sur fond de craintes des investisseurs et des marchés financiers liées à la décision des Britanniques de quitter l’Union européenne. La Grande-Bretagne avait dépassé la France en termes de PIB en 2014, six ans après la plongée de la livre sterling due à la crise financière de 2008.

Please complete the required fields.