Moscovici, qui est un gus assez nul et peu travailleur soit dit en passant, a été envoyé paître de façon fort peu sympathique aussi bien par les Allemands que par les Néerlandais qui viennent de lui expliquer vertement qu’il ferait mieux de se taire…
Ambiance !
Il faut dire que le Pierrot, il est français, et que la France a disparu des écrans radars du monde comme de l’Europe grâce à la présidence Hollande.
Dans sa tournée d’adieu, Obama est allé voir Merkel, sans même passer par Paris… Cela en dit long sur l’importance d’Hollande… Dramatique.
Bref, en Europe, c’est Angela qui commande et elle a dit “tout le monde au travail et rigueur pour tous”… Évidemment, cela affaiblit tous les concurrents potentiels de l’Allemagne en Europe, ce qui a forcé d’ailleurs les Anglais au Brexit.
Il ne faut pas se leurrer. L’Allemagne n’est pas notre amie. Elle nous soumet.
Charles SANNAT
Les ministres allemand et néerlandais des Finances, Wolfgang Schäuble et Jeroen Dijsselbloem, ont réagi négativement vendredi à la recommandation européenne les invitant à augmenter leurs dépenses publiques.
Le commissaire européen aux Affaires économiques et financières avait invité mercredi les bons élèves de la zone euro, comme le Luxembourg, les Pays-Bas et surtout l’Allemagne, à “dépenser et investir plus pour eux-mêmes, dans l’intérêt de tous”, afin de soutenir la reprise. Une “expansion budgétaire” qui pourrait atteindre, selon la prescription européenne, jusqu’à 0,5 % du PIB de la zone euro prise dans son ensemble.
Cette proposition ne semble toutefois pas trouver grâce aux yeux de MM. Schäuble et Dijsselbloem, qui appellent vendredi le commissaire Moscovici à se concentrer sur le respect par les pays européens des règles en matière de déficit plutôt que de leur donner des recommandations d’investissement. “Il est ambitieux sur un terrain où il n’a pas voix au chapitre, alors qu’il pourrait l’être plus dans les domaines le concernant”, a commenté Jeroen Dijsselbloem.
Wolfgang Schäuble estime par ailleurs qu’avec de telles recommandations, M. Moscovici allège la pression sur les pays qui ne respectent pas les règles budgétaires européennes et n’engagent pas de réformes pour rendre leurs finances publiques plus saines, et ainsi renforcer leur potentiel de croissance.