Vous avez aimé la série il faut sauver les banques françaises ?

Puis l’épisode des banques espagnoles.

Puis celui des banques portugaises ?

Puis enfin les banques grecques ?

Eh bien là, c’est il faut sauver les banques grecques saison 3 épisode 2, tout en sachant que l’on va avoir la même chose avec les banques italiennes… puis ibériques, puis françaises.

Pourquoi ?

En cause, partout dans le monde, les crédits dits « non performants ». Comprenez, derrière cette litote, les crédits pourris, moisis, que personne ne peut plus rembourser.

« La Grèce travaille à la création d’un filet de sécurité pour aider ses grandes banques aux prises avec des créances douteuses qui se chiffrent en milliards d’euros, a annoncé vendredi un porte-parole du gouvernement.
« En plus d’accélérer les efforts pour nettoyer le bilan des banques », le gouvernement prévoit de « créer un schéma de protection des actifs » bancaires, a expliqué Dimitris Tzanakopoulos à la radio 24/7. « Ce n’est rien de plus qu’un parapluie pour protéger le système bancaire », a-t-il poursuivi, assurant que le gouvernement n’avait pas l’intention de créer une « bad bank » (structure de défaisance) ni d’adosser le schéma de protection à des fonds publics. « Les banques ont des fonds propres en quantité suffisante », a-t-il fait valoir. »

Le MES attentif aux banques

« Le Mécanisme européen de stabilité (MES), destiné à aider les États de la zone euro en cas de crise de la dette, a affirmé dans un communiqué n’être pas à la manœuvre. « Le MES suit attentivement la situation du secteur financier grec comme cela lui incombe en tant que principal créancier de la Grèce. Cependant, les informations de presse affirmant que le MES est impliqué dans l’élaboration d’un plan d’intervention en faveur des banques grecques sont fausses. »

Source AFP via La Tribune ici

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