François Villeroy de Galhau, Gouverneur de la Banque de France, en réalité ne nous apprend rien.
Ce qui est ici important c’est que ce soit lui qui tienne ces propos et pas moi !
Dans une interview donnée au Journal La Croix il a fait part de son inquiétude redoutant « le risque d’un étouffement progressif », car si l’agence de notation Moody’s a maintenu notre note elle a assorti sa décision d’une perspective négative, qui implique que la prochaine fois ce sera la dégradation.
« Toutes les agences s’alarment de l’instabilité politique et de notre sérieux problème budgétaire ». Si notre pays n’est « pas menacé de faillite », « notre problème spécifique est budgétaire », a ajouté François Villeroy de Galhau, pour qui le dérapage des finances de l’Etat « suscite de sérieuses questions et affecte la crédibilité de la France, donc son influence en Europe ».
La France court le risque d’un « étouffement progressif »: le gouverneur de la Banque de France alerte sur la situation budgétairehttps://t.co/Da22PZpHwQ pic.twitter.com/ixpr0Hu0ax
— BFM Business (@bfmbusiness) October 25, 2025
Nos finances publiques sont hors de contrôle parce que nos dirigeants sont tous hors de contrôle et que les nuls ont pris le pouvoir en se croyant bons ! C’est valable à tous les niveaux. Du local au national.
C’est une véritable catastrophe. Notre pays est aux mains de minables et d’un ramassis de nullards qui « jouent » à « et si c’était nous kon dirige ».
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
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Bonjour Charles. Tout à fait logiquement le gouverneur de la BDF pousse des portes ouvertes. Avec un peu d’honnêteté intellectuelle on aurait tout de même pu imaginer les conséquences de notre comportement indigent depuis quelques décennies. Nous pleurons, enfin pas tout le monde, sur l’ignominie de nos élites dirigeantes, mais au demeurant nous avons ce que nous méritons. Quand on est prof de gym agrégé à 4000 euros par mois, quand on est employé de mairie ou secrétaire dans une fac ou agent du service publique et que l’on passe trop de temps à consulter le catalogue des chocolats de Noël ou bien des cadeaux pour les enfants ou bien des prochaines vacances financées par le comité d’entreprise, quand dans le privé on « se met en arrêt maladie » car c’est trop dur, quand on est médecin ou infirmier libéral et que l’on cote à l’assurance maladie des actes injustifiés ou inexistants, quand « pauvre immigré » gâté par le système social on ne dénonce pas son fils dealer, quand installé dans les hautes fonctions de l’état on passe tout ses caprices et avantages personnels en note de frais….et dieu sait si la liste de l’indécence est longue, quand on fait tous le constat de ce gaspillage honteux, ça n’est pas très compliqué de savoir qu’un jour tout ça finira mal. Depuis 1973 on a commencé à financer le pays par la dette, depuis 1981 c’est un festival de générosité encore plus assis sur la dette, depuis l’avénement de la mondialisation le jeu de la dette est une problématique unique des pays dits développés, depuis 2008 on applique le principe du « trop gros pour chuter « sauf pour Chypre et la Grèce », depuis les manigances du traité de Minsk ( dixit F. Hollande et Merkel ) on a cru qu’on pourrait dépouiller une Russie riche en réserves naturelles, dans la fameuse construction Européenne on a espéré que l’Allemagne et les pays du nord financeraient notre pays à l’image intra-muros du secteur privé qui finance le secteur public, et puis quoi encore… sommes nous à ce point des princes de droit divin à qui on doit tout pardonner ? Il n’est pas étonnant au bout de cette route naïve qu’il y ai partition entre ceux qui souhaitent faire payer les « riches » et ceux qui souhaitent se séparer du coût abyssal de l’immigration, cette sécession coure en fait depuis 1981. Jusqu’à peu il s’agissait simplement de joutes politiques, mais depuis les attentats de Charlie Hebdo en fait les choses se sont radicalisées : les enfants de l’immigration ont pris le chemin exponentiel de la violence et la gestion du pays est devant une situation de blocage politico-insitutionnel. À partir de là, l’issue dans le calme est improbable, et à mon sens le plus grave n’est pas la dette nationale mais plutôt la dette des ménages, devant nos perspectives de guerre civile ou de guerre tout court, l’aliénation diabolique par le crédit de beaucoup, nous obligera à risquer notre vie dans la machine infernale d’une guerre au sens large; le fait que le ministère de la santé prépare nos hôpitaux illustre bien que mes craintes sont justifiées.
Cher Charles, non les politiques ne sont pas nuls, ils sont très compétents lorsqu’il s’agit de détruire les acquis sociaux et créer de la dette et du chômage.
L’agent Rottschild est très efficace sur la dette.
Il s’agirait de ne pas les sous estimer non plus.
Tout ceci est scripté, programmé, fomenté, prémédité pour qu’à la fin nous ne possédions plus rien. #great-reset
Il sait de quoi il parle avec une rem à 6 chiffres pour pas grand chose et une indemnité de logement alors qu’il habite chez lui ….et on va encore nous dire oui mais ce n’est pas ça qui coûte !
L’étouffement progressif à commencé il y a 50 ans …..Il est temps de se réveiller cher Monsieur. (surtout qu’il est bien placé pour le savoir.)