ÇA-VA-MIEUX nous explique notre traîne-savates élyséen, mamamouchi décrépit que plus personne n’estime ni n’écoute. Pourtant, « une étude de l’Insee, publiée hier mardi, fait un état des lieux des conséquences de la crise de 2008 en France. Résultat : le niveau de vie médian a diminué tandis que la pauvreté, notamment celle des enfants, a augmenté car les familles monoparentales et nombreuses ont été le plus affectées »…

Voilà l’effroyable bilan des deux derniers quinquennats, et face à succès, la petite caste politique veut nous proposer le plus sérieusement du monde de choisir à nouveau entre deux mauvais présidents terminant de faire ainsi de l’élection présidentielle une vaste mascarade démocratique qui ne fait plus guère d’illusion.

« Entre 2008 et 2013, le niveau de vie médian (une moitié de la population gagne plus, l’autre moins) a diminué de 1,1 % à 20 000 euros par an, soit 1 667 euros par mois. Cette baisse de 0,2 % en moyenne par an est toutefois « modérée par rapport à d’autres pays européens », a souligné devant la presse Julie Labarthe, chef de la division « revenus et patrimoine des ménages » de l’Insee »…

Oui, c’est sûr que c’est pire ailleurs, comme en Grèce, en Espagne ou au Portugal, mais l’Europe c’est génial, l’euro c’est fabuleux, il nous en faut encore plus, encore plus de ce qui ne marche pas en espérant que ça ira mieux – ce qui est une ineptie intellectuelle.

« Les enfants ont vu leur taux de pauvreté augmenter sans interruption entre 2008 et 2012 (plus 2,6 points), avant de se replier légèrement en 2013 (moins 0,8 point) pour s’établir à 19,6 %, soit un enfant sur cinq »…

Pour aider, le gouvernement fait tout par idéologie « progressiste » afin de ringardiser l’idée de famille, alors que la famille est évidemment le premier rempart à la crise ainsi qu’à la pauvreté des enfants et des jeunes en particulier. Favoriser la famille et les couples c’est améliorer la résistance à la crise, ce qui ne veut pas dire interdire le divorce, évidemment !! Tel n’est pas mon propos.

Dans tous les pays d’Europe du Sud où la crise est encore plus forte, les gens ne tiennent que grâce aux solidarités familiales. C’est ainsi et cela dure depuis la nuit des temps.

Charles SANNAT

Source AFP via Boursorama ici

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